A tous ceux qui seraient passés à côté de l'excellent spectacle présenté en ces mêmes lieux l'an dernier : ne ratez pas la nouvelle prestation du studio Maho dans la belle salle du Tarmac.
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Son texte :
« La question que l'on doit se poser est la suivante : la municipalisation accélérée peut-elle arrêter le terrible phénomène de l'exode rural qui vide tant de localités et de villages ? La réponse est aussi simple que positive : cette politique aménage, construit et modernise la campagne en créant du même coup de nombreux emplois pour la jeunesse.
« À travers la modernisation des cités rurales, les infrastructures économiques, sociales, culturelles, sportives et administratives qui, hier, étaient une exclusivité des villes de Brazzaville, Pointe-Noire, Dolisie, Ouesso, Nkayi et Mossendjo sont en train d'être construites un peu partout », disait récemment un groupe de jeunes rassemblés au sein d'une association humanitaire œuvrant pour le bien-être de la population là où elle vit. Et, de fait, la municipalisation sédentarise la population en créant un mouvement migratoire inverse à l'exode rural.
Les grands chantiers d'aménagement, dans les chefs-lieux des départements et de districts, font appel à une main d'œuvre abondante et les jeunes, au lieu de rester oisifs et d'errer ici et là, tournent le dos aux grandes villes car l'espace rural est en train de s'urbaniser à un rythme rapide. Autre constat, les travaux réalisés dans les départements qui ont déjà bénéficié de la municipalisation accélérée créent chez la plupart des ressortissants de ces localités l'idée de célébrer le centenaire de leur ville ou de leur village.
Et cet effet d'entraînement engendre un autre phénomène. Si, hier, ce sont les pêcheurs, les chasseurs, les agriculteurs, les éleveurs qui assuraient la construction des villages avec des maisons en matériaux non durables, aujourd'hui, la donne a changé. Aux campagnes de modernisation conduites par l'État s'ajoutent maintenant celles des cadres, des intellectuels, des opérateurs économiques de ces mêmes localités. Comme ces derniers construisent de jolies bâtisses et des édifices dans lesquels ils pourront exercer des activités économiques, l'architecture des cités change radicalement. Le rural s'urbanise et se modernise tout en produisant des activités économiques aux retombées importantes.
Pourquoi, dès lors, aller à Brazzaville, à Pointe-Noire, à Mossendjo, à Dolisie, à Ouesso, à Nkayi si l'on peut trouver sur place du travail à durée indéterminée ou renouvelable ? D'où cette remarque, que l'on entend de plus en plus, de la part des jeunes :« aller en ville, pourquoi faire puisque la ville s'est transportée en campagne qui s'est modernisée et offre des possibilités d'embauches équivalentes ? »…
Au rythme où vont les choses, s'il nous est permis de rêver, le vocable « exode rural » ne sera bientôt qu'un vieux souvenir grâce à la municipalisation accélérée.
Qui s'en plaindra ? »
Nous n’hésiterons pas à le contredire. Construire les villes à la campagne, comme le disait Alphonse Allais, n’est en rien arrêter la désertification des terres cultivables. Le seul résultat que l’on puisse en espérer c’est que les populations se déplacent un peu moins loin et que l’afflux vers les mégalopoles du pays diminue.
L’exode rural désigne le déplacement durable de populations quittant les zones rurales pour aller s'implanter dans des zones urbaines. Il s’agit donc davantage du changement de statut du travailleur de la terre, le paysan, en ouvrier de l’industrie. Cette formule ne peut résoudre les problèmes alimentaires gravissimes auxquels est confronté le pays. Force est de constater que le secteur agricole est au Congo totalement sinistré. Nous savons tous que le slogan mythique d’une époque « Autonomie alimentaire pour l’an 2000 » est un échec consommé et que jamais le Congo n’a été plus dépendant des importations pour nourrir ses habitants avec les conséquences économiques qui en découlent.
Si l’habitat rural et les conditions de vie dans les campagnes doivent être améliorés, c’est à partir de la revalorisation des métiers agricoles que l’on doit compter pour enrayer l’exode rural et pas en construisant des villes nouvelles qu’on espère pourvoir d’hypothétiques activités durables quand on est déjà incapable d’en créer suffisamment dans les urbanisations existantes et où les facilités sont déjà en place.
Ce qui est impératif, c’est de moderniser l’agriculture, de rendre ses métiers attrayants et faire en sorte que les mots paysans et villageois perdent leurs connotations péjoratives qui font que de nos jours ils sont considérées comme des insultes dans la société congolaise.
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Afin d’augmenter le potentiel d’élevage bovin du Congo, l’Etat vient de recevoir 502 têtes de bœufs, sur une commande de 800 bêtes. Le bétail est constitué de bœufs gras de100 à120kg de race Ndama acquis en République démocratique du Congo.
Après une période de quarantaine sanitaire observée au parc de quarantaine de Loufoula (à 40km de Brazzaville), les animaux vont être répartis, à fins de reproduction, dans les centres d’appui techniques de Boundji (Cuvette), de Diesse (Bouenza) et de Mindouli (Pool).
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Le cheptel congolais est passé en quelques années de 10 000 à 30 000 têtes, ce qui reste très en deçà des besoins nationaux. Pour restaurer l’élevage bovin en République du Congo, il faudrait disposer d’au moins un million de bêtes au bénéfice des opérateurs agro-pastoraux.
La Ndama, ou N'dama, est une race bovine d'Afrique occidentale et centrale. Elle est trypano-tolérante et résistante à la piroplasmose transmise par les tiques, ce qui fait d'elle la seule race pouvant être élevée sans trop de problèmes en Afrique équatoriale.
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Leur article :
Dans ce pays où règne une situation d'impunité généralisée dans les milieux dominants, Monsieur Basile Ikouébé, ne se gène pas, comme la majorité de ses collègues (qui se ressemble s'assemble) de faire les poches aux congolais afin de satisfaire ses petits plaisirs.
Ci-dessous la facture:
Sous réserve du nombre de places à bord, les relations diplomatiques entre Kinshasa et Brazzaville ont leur part de contraintes. La proximité tant appréciée génère, au-delà des rencontres formelles instituées, telle la commission mixte des deux Congo, des concertations à caractère quasi permanente. Les moyens de locomotion disponibles exercent le commerce de transport de voyageurs et du frêt. Locomotion inappropriée aux hauts fonctionnaires des AE, concernant les horaires de travail. L'immobilisation temporaire de locomotion pour impératif d'état, non souhaitée, est toujours mal perçue par les usagers journaliers des deux rives, en raison des désagréments susceptibles de leur être causés. "Un délit d'empêchement à l'exercice de leur commerce", disent- ils. Le canot rapide existant, sous réserve de son état de fonctionnement, est toujours sollicité, heure à heure, par les commerçants patrons. Ceci explique cela.
Invité pour la troisième fois à ce festival, l’artiste musicien s’est réjoui de sa participation à cette série de concerts, car « tout ce qui concerne l’Afrique me touche directement », a-t-il dit. Par sa présence, il encourage l’initiative prise par les organisateurs de l’Afrique dans tous les sens qui prônent en premier lieu l’amour, la paix et l’unité, comme le titre de son single sorti dans les bacs intitulé Unity. Selon Fredy Massamba, l’Afrique se relèvera si et seulement si elle reste unie.
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Seul artiste congolais à être nominé au Cora Awards en 2012 à Abidjan, Fredy Massamba porte son pays partout où il va. Dans ses textes, il parle beaucoup du Congo, de la guerre de 1998, qui l’a énormément affecté et qui l’a forcé à s’exiler. « J’aime mon pays plus que tout et je le déclare aussi dans mes textes. Quand je vois les jeunes de Brazzaville, si battants et si créatifs, j’ai de l’espoir. Le Congo est dans mon sang et restera dans mon son », a-t-il confié. Ayant fait plusieurs tournées mondiales (Inde, Sénégal, Gabon, RDC, etc.), Freddy Massamba souhaite intégrer dans ses dates de concerts le Congo-Brazzaville, qui n’a jamais répondu à ses demandes.
Né au Congo en 1971, l’artiste congolais intègre les Tambours de Brazza en 1991 et commence une tournée mondiale. En 1997, il est contraint de quitter son pays à cause de la guerre. Après ces tournées avec les Tambours de Brazza, il sort en mars 2011 son premier album solo, Ethnophony, un mélange de soul, hip-hop, funk, reggae, de rythmes et sonorités africaines. Ses textes sont écrits en kikongo, une langue du sud du Congo et en lingala.
Durant sa carrière il a collaboré avec de nombreux artistes comme Didier Awadi, Zap Mama, Manou Gallo et fait des rencontres exceptionnelles avec « The Dragon » Elevado, qui a mixé son deuxième album intitulé Makasi (The Dragon est un célèbre artiste qui a travaillé sur les albums de Jay-Z, The Roots, Erykah Badu).
Pour cette édition du festival l’Afrique dans tous les sens, un hommage sera rendu à l’homme qui aura marqué la fin du XXe siècle, Nelson Mandela, dont une œuvre d’art majeure sera dévoilée. L’Afrique du Sud sera naturellement à l’honneur, mais aussi les cultures de quatorze pays à travers cinq villes dans la région d’Île-de-France, à savoir Paris, Montreuil, Orsay, Aulnay-sous-Bois et Le BlancMesnil, pendant treize jours, du 17 mai au 2 juin.
L’Afrique dans tous les sens présente une trentaine de concerts en live, un défilé de mode en plein air, des échangesdébats, des bals, des expositions, des projections de films dont un cycle de cinéma sud-africain, des ateliers de dégustation en arts culinaires et plusieurs autres spectacles. C’est un espace où se propage l’unité africaine.
Information transmise par Willy Zekid
A l'attention des femmes et hommes de théâtre du Congo Brazzaville et de la République Démocratique du Congo
mai 2013 - appels à contributions / candidatures
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S.E. Dr. Mohammed Bin Saleh Al Sada, Ministre de l’Energie et de l’Industrie du Qatar et Président de QPI, souligne qu’il s’agit d’une étape supplémentaire dans la mise en œuvre de la stratégie de QPI consistant à développer son activité à l’étranger et particulièrement en Afrique. Il salue également l’occasion de renforcer les relations entre le Qatar et le Congo et soutient Total E&P Congo dans son programme de développement.
Christophe de Margerie, Président-directeur général de Total, se réjouit de ce nouvel accord, qui s’inscrit dans le cadre du partenariat stratégique en Afrique signé entre Total et QPI le 25 mars 2010. Il souligne que cet accord renforcera à la fois les liens bien établis avec QPI et l’engagement de Total à poursuivre le développement de l’industrie pétrolière au Congo.
S.E. Jean-Jacques Bouya, Ministre à la Présidence chargé de l’aménagement du territoire et de la délégation générale aux grands travaux de la République du Congo, présent au Doha 13th Forum et mandaté par S.E. Denis Sassou-Nguesso, Président de la République du Congo, exprime sa satisfaction à propos de la collaboration de QPI avec la République du Congo et Total, valorisant ainsi le développement des ressources pétrolières du Congo. Ce partenariat ouvre une étape nouvelle de coopération entre la République du Congo et le Qatar.
A propos de Qatar Petroleum International (QPI)
Créée en 2006, QPI est une filiale à 100% de Qatar Petroleum, la société pétrolière nationale de l’Etat du Qatar. QPI a été établie en vue de promouvoir à l’échelle mondiale les intérêts de l’Etat du Qatar dans les secteurs de l’amont, de l’aval, du gaz et de l’énergie.
QPI, en tant que partie prenante de la stratégie de diversification, d’expansion et d’investissement du Qatar et à travers ses partenariats stratégiques avec des sociétés internationales du secteur de l’énergie, met progressivement en place son rôle d’investisseur international majeur dans ce secteur.
QPI s'est bâti une réputation dans l’amont pétrolier, l’aval pétrochimique , le gaz et l'électricité en explorant, et capitalisant sur les opportunités d’investissement et d’acquisition. Le portefeuille de QPI, de plusieurs milliards de dollars, est d’envergure mondiale, comprenant des partenariats en Afrique, en Amérique du Nord (États-Unis et Canada), à Singapour, au Royaume-Uni, en Italie et au Vietnam.
Pour plus d’information sur QPI, visitez le site www.qpi.com.qa
A propos de Total
Total est l’un des tout premiers groupes pétroliers et gaziers internationaux, exerçant ses activités dans plus de 130 pays. Le Groupe est également un acteur de premier plan de la chimie. Ses 97 000 collaborateurs développent leur savoir-faire dans tous les secteurs de ces industries : exploration et production de pétrole et de gaz naturel, raffinage et distribution, énergies nouvelles, trading et chimie. Ils contribuent ainsi à satisfaire la demande mondiale en énergie, présente et future. www.total.com.
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Le premier cargo de marchandises made in Rwanda a quitté Kigali le 6 mai 2013 en direction de Brazzaville. C’est un fait qui doit marquer les annales des relations bilatérales entre la République du Congo et le Rwanda car les échanges commerciaux sont parmi les priorités de ces relations.
Le lancement officiel du commerce entre le Rwanda et le Congo Brazzaville a eu lieu sur le tarmac de l’aéroport international de Kigali et le ministre rwandais du commerce et de l’industrie M. François Kanimba a interpellé la communauté d’affaires du Rwanda de faire sienne cette initiative qui sans doute sera plus bénéfique « Nous sommes ici pour assister au premier chargement de marchandises destinées au marché du Congo Brazzaville. Il s’agit essentiellement de produits agricoles comme la viande, le haricot et de petits poissons séchés »
La Compagnie Rwandaise de navigation aérienne, la Rwandair Express a dernièrement ouvert une ligne Kigali-Brazzaville-Libreville et la clientèle est abondante. Par après, une délégation rwandaise s’est rendue a Brazzaville et à Libreville au Gabon pour tester la demande sur le marché local, le constat a été que les produits rwandais sont très appréciés d’où la décision d’exporter les produits agricoles du Rwanda car le pays est essentiellement agricole.
Selon le ministre Kanimba, les farines de manioc et de mais, les graines de haricot, la viande, les fruits, les légumes peuvent trouver d’acheteurs a Brazzaville. Il a demandé de produire davantage afin de satisfaire la demande sans doute qui va augmenter. Il a ajouté que la balance commerciale du Rwanda reste déficitaire et a insiste sur le fait que les opérateurs économiques rwandais doivent augmenter les produits d’exportation.
Chaque semaine, un cargo de 30 tonnes quittera désormais l’aéroport International de Kigali pour l’aéroport de Mayamaya – Brazzaville (vol de 2 heures) et l’on compte disponibiliser un cargo de 60 tonnes si les marchandises à exporter deviennent nombreuses.
Par un accord avec la compagnie Ethiopian Airlines, il y aura un avion cargo qui permettra aux commerçants rwandais d’exporter leurs marchandises sur les marchés des pays de la sous région.
Les produits rwandais vont faire le bonheur de ceux qui fréquentent les marchés de Potopoto, Mungali et des comptoirs de vente situés ici et là dans tout Brazzaville. La viande de bœufs du Rwanda va permettre aux Brazzavillois d’avoir une autre alternative à la viande de brousse, au poisson fumé ou salé (les maboke et les makayabu), la rare viande de bœuf a Brazzaville provenait du Tchad.
Les produits agricoles comme le haricot et les légumes proviennent du Cameroun, le riz est importe d’Indochine. La République du Congo fonde son économie essentiellement sur l’exploitation de ses ressources naturelles notamment le pétrole, le bois et les minerais dont les revenus constituent l’essentiel de son PIB. La population congolaise qui se concentre dans trois villes à savoir Brazzaville (capitale administrative), Pointe noire (capitale économique) et Dolisie.
Pour le Rwanda, le cargo, de retour, peut ramener les produits manufacturés tels que les serrures de Cabinda, la verrerie, les parures, les pagnes, les pierres de joaillerie… qui feraient le bonheur de consommateurs rwandais.
PASCAL NIYONSABA
NDLR : L'économie du Rwanda est principalement marquée par sa forte dépendance à l'agriculture (40 % du PIB, 87 % de l'activité nationale), une croissance annuelle de plus de 6 %, un développement des services, une faible industrialisation et une très forte densité démographique (>300 hab./km²).
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L’accident s’est passé mardi, dans le quartier de Nkouikou, aux environs de 17 heures. À la suite d’une défaillance mécanique à la hauteur de la pâtisserie Le Dénisia, le véhicule, en provenance
Le véhicule semi-remorque appartient à la société forestière United Transport Africa (UTA).
Le bilan, encore provisoire, fait état de sept morts et d’importants dégâts matériels. Il semblerait que le système de freinage du grumier soit à l’origine de l’accident. Le chauffeur et son aide de bord sont morts sur le coup. Huit voitures ont été percutées (trois Toyota RAV 4 et cinq taxis) et sont irrécupérables.
À la suite du drame, de nombreux riverains ont mis à sac le véhicule en s’emparant de son contenu (rondelles d’eucalyptus et gas-oil). L’arrivée des forces de l’ordre sur les lieux les a dissuadés de le brûler. La récurrence de ce genre d’accidents en ville est inquiétante, d’autant que ces véhicules ont du mal à respecter les heures de circulation en vigueur.
Malgré la gravité de l’accident, les autorités de la ville et du département ne se sont rendues sur les lieux du drame qu’aux premières heures de la matinée.
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Les lecteurs se souviennent que, dans sa livraison du mardi 30 avril 2013, La Semaine Africaine, sous la plume de Victor Guembela, évoquait le phénomène Kata-Kata qui a créé un climat de terreur à Ouesso, à cause des assassinats en série perpétrés par un réseau de bandits appelés Kata-Kata, à partir de 2011. Les assassinats visaient, particulièrement, les femmes allant seules au champ. Les populations étaient en colère contre les autorités locales, accusées de laxisme devant ce phénomène de criminalité, à l’origine d’un climat d’insécurité dans le district. Conséquence: les femmes ne s’aventuraient plus seules, au champ ou même en dehors de la commune. La nuit, il fallait éviter d’être seul. On compte au moins une dizaine de victimes, dont trois grièvement blessés, ayant échappé à leurs agresseurs.
C’est dans un contexte social tendu, à Ouesso, que la direction générale de la police a pris l’affaire en main. Jusqu’à l’enquête de police qui a permis l’arrestation de cinq personnes, à Ouesso, dont un jeune autochtone considéré comme le principal présumé auteur des crimes, grièvement blessé au bras, par balle, lors de son interpellation. Les cinq prévenus ont été transférés à Brazzaville, et le blessé admis à l’hôpital militaire Pierre Mobengo. Les renseignements tirés des personnes interpellées ont permis aux enquêteurs de remonter le fil jusqu’au maire de la commune de Ouesso, Siméon Mobondé, membre du P.c.t (Parti congolais du travail). Ce dernier a été interpellé à Pointe-Noire, où il séjournait, et transféré dans la capitale, Brazzaville.
De source proche de l’enquête, les assassinats rentraient dans le cadre de crimes rituels. Ils étaient commandités par des Bantous et perpétrés par un réseau de bandits comptant des Bantous et des Autochtones. Il fallait livrer au féticheur autochtone, du vin rouge, de la chair et du sang humains, etc.
Si les crimes rituels attribués à des minorités font, souvent, parties des légendes, à Ouesso, c’est bien une triste réalité que les populations ont vécue avec le phénomène Kata-Kata. Comme ce phénomène de criminalité implique des Autochtones, le gouvernement devra, sans doute, veiller à ce que les populations ne nourrissent pas un instinct de vengeance ou des ressentiments contre les peuples autochtones. L’arrestation du maire de Ouesso semble indiquer que les acteurs politiques ne sont pas, totalement, étrangers à ces pratiques macabres de sacrifice humain pour assouvir leurs ambitions. A Ouesso, les populations soupçonnaient, depuis des mois, des décideurs publics d’être derrière ce phénomène, au regard de leur laxisme à l’éradiquer. En tout cas, l’enquête de police, menée depuis Brazzaville, ne leur a pas donné tort. D’autres personnalités sont même citées. Pour l’instant, l’enquête suit son cours.
Suite à la mort de son jeune frère, les sages vilis sont persuadés que le maire de Pointe-Noire a "bouffé" mystiquement celui-ci afin de conserver son poste lors des locales. L'affaire fait les gorges chaudes des converations dans la ville océane et nombreux sont les porteurs du chapeau à quatre pointes qui s'en font l'écho.
Le 12 juillet 2012, François Soudan écrivait dans Jeune Afrique cet article plutôt bien documenté :
C'est certainement en Afrique subsaharienne que le monde de l'invisible côtoie avec le plus d'assiduité celui de la politique. Voyage dans les arrière-cours des Palais pour partir à la rencontre des marabouts, féticheurs et autres magiciens...
Attention : terrain marécageux, de surcroît miné de clichés et autres préjugés. Et politiquement incorrect, puisqu'il renvoie volontiers - et bien évidemment à tort - l'image d'une Afrique captive des traditions et figée dans le temps. Et pourtant : le monde invisible et son peuple de sorciers, magiciens, féticheurs, marabouts, guérisseurs, sangomas, ngangas et autres ndokis sont plus que jamais une donnée incontournable de la vie privée et publique sur le continent. Au coeur du jeu politique et économique, au point qu'il est permis de se demander si l'Afrique avec laquelle discutent les bailleurs de fonds et les chancelleries n'est pas un trompe-l'oeil. Ce recours à l'occultisme de la part des puissants n'est certes pas une spécificité africaine. Il n'est pas rare en Asie et, même s'il s'agit là d'un secret bien gardé, nul parmi les initiés n'ignore qu'en France les présidents Mitterrand et Chirac ainsi qu'un certain nombre deigures connues de la IVe République comme Edgar Faure ont été des « clients » assidus de cet univers fascinant.
Dans le monde arabo-musulman, des leaders politiques aujourd'hui disparus tels Hassan II, Kaddafi, Saddam Hussein ou le roi Hussein de Jordanie ont arpenté ces territoires inconnus et volontiers consulté des entremetteurs de l'invisible. Sans doute n'étaient-ils pas les seuls à le faire. Mais nulle part ailleurs qu'en Afrique subsaharienne ce phénomène culturel est aussi ancré. Du Sénégal à l'Afrique du Sud, point de carrière politique sans « protection » contre les adversaires, quitte à ce que cette attitude défensive se double parfois de pratiques sorcières à visées criminelles. Tout comme il n'est point de mariages, de matchs de football, d'examens, de maladies, de morts, de gestion d'entreprises ou d'escroqueries qui ne tiennent compte de ce contexte. Une chose est sûre : contrairement à une idée répandue à l'époque des indépendances, la sorcellerie n'a pas disparu avec la généralisation de l'électricité et de l'éducation. Elle s'est adaptée au progrès économique et politique. Cinquante ans plus tard, elle ne s'est même jamais aussi bien portée.
Marabouts
À l'époque des partis uniques et des chefs omnipotents, jusqu'au début des années 1990, c'est sans excès de pudeur que les « présidents à vie » s'entourent de marabouts et de féticheurs et adhèrent à des confréries devenues ipso facto des agences d'ascension sociale. Houphouët, Mobutu, Eyadéma, Ahidjo, Bokassa, Sékou Touré... La liste est longue, d'autant que la lutte politique, féroce et souvent sanglante, est volontiers assimilée à la traque des sorciers. L'amalgame est alors fréquent entre opposants et « forces obscures ». Daniel Arap Moi, Hastings Banda et les très progressistes Mathieu Kérékou et Thomas Sankara n'étaient pas les derniers à user d'un vocabulaire zoologico-mystique pour dénoncer les « hiboux », les « serpents » et autres « tortues à double carapace ».
On envoie des sorts et on se les renvoie, on se "blinde" pour s'en protéger, on enterre des animaux vivants...
C'est en les accusant de sorcellerie que le chef de l'Unita, Jonas Savimbi, fit exécuter certains de ses propres concurrents, et même le très pondéré Thabo Mbeki, chef de l'ANC en exil, n'hésitait pas à mobiliser ses partisans contre son rival zoulou Buthelezi - grand féticheur devant l'Éternel - au cri de « bulala aba thakathi ! » (« tuez les sorciers ! »). Mais nulle part ailleurs que dans l'ex-Zaïre de Mobutu Sese Seko le recours aux entrepreneurs en occultisme aura été aussi massif. Au milieu des années 1990, lors de la fin crépusculaire du maréchal miné par le cancer, les marabouts loués à prix d'or par ses proches au Sénégal, en Mauritanie et au Mali occupaient un étage entier de l'hôtel Intercontinental de Kinshasa, et l'on sait depuis, par les témoignages qu'ont livrés Dominique Sakombi Inongo et Nguza Karl-I-Bond, à quel point la sorcellerie était au coeur de cette république pourrissante. Faut-il rappeler le cas de ce ministre qui avoua publiquement avoir dormi aux côtés de cadavres dans le cadre d'un pacte avec le diable censé lui assurer la pérennité de son poste ? Si un régime mérita un jour la dénomination de « pouvoir sorcier », c'est peut-être celui des dernières années de Mobutu...
Sorts
Les choses ont-elles changé depuis, avec l'arrivée aux affaires, dans maints endroits du continent, d'une classe politique plus jeune, plus démocratique et de plus en plus mondialisée ? Rien n'est moins sûr. Si très rares sont aujourd'hui les leaders politiques ou d'opinion à reconnaître pareil recours à des techniques dites traditionnelles, force est de constater que ces dernières cohabitent parfaitement avec l'usage d'internet. De Bamako à Brazzaville, pas d'élection sans intervention de cet ordre, pas de portefeuille ministériel sans intercession et pas de tentative de coup d'État qui se priverait d'un tel atout. Les périodes préélectorales ou celles qui précèdent les remaniements gouvernementaux sont de loin les plus propices. On envoie des sorts et on se les renvoie, on se « blinde » pour s'en protéger, on enterre des animaux vivants, on avale toutes sortes de décoctions, on se fait scarifier, et les journaux à scandale camerounais, gabonais, mais aussi sud-africains, kényans ou nigérians se sont fait une spécialité de rapporter les crimes rituels, les muti murders commis parfois sur de jeunes enfants.
La quasi-totalité des acteurs sociaux, y compris les prêtres, les pasteurs et les imams, croit en la force maléfique de l'invisible à laquelle certains tentent d'échapper par le versant religieux en multipliant les rites de désenvoûtement. Avec d'autant plus de facilité que les nouveaux entrepreneurs en mysticisme sont fréquemment des hybrides, bergers le jour, Bible à la main, sorciers la nuit avec leur petite sacoche emplie d'amulettes. L'ancrage est à ce point profond que même les politiciens qui n'y croient pas se doivent de donner le change, ne serait-ce que pour rassurer leur entourage et leurs partisans. S'il est une question sans objet en effet, c'est bien celle de la crédulité. La sorcellerie existe parce qu'il y a des millions de gens qui en sont convaincus, et les faits, aussi irrationnels qu'ils puissent paraître, sont avérés du moment qu'on y croit. Aucune personnalité publique ne peut en Afrique faire comme si ce phénomène relevait du simple fantasme, au risque d'apparaître comme un ovni aux yeux des populations.
Occulte
À quelques variantes près, les chefs d'État (et leurs épouses) de la génération postindépendance n'ont pas grand-chose à envier à leurs aînés. Le Sud-Africain Jacob Zuma n'ignore rien des talismans zoulous, et l'Ivoirien Laurent Gbagbo, qui a toujours refusé de pénétrer dans la chambre de la résidence présidentielle de Cocody, où dormait Houphouët-Boigny (contrairement à sa femme Simone, qui, elle, « a eu ce courage », nous confia-t-il un jour), craignait les sorciers baoulés tout en vouant une confiance totale à des pasteurs sulfureux. Tel ne sort jamais sans être accompagné de sa mallette magique, tel autre cache ses féticheurs dans une salle adjacente du Palais des congrès où il doit prononcer une allocution, un troisième s'enduit les mains d'un baume protecteur avant chaque audience afin d'assurer sa domination sur son interlocuteur, un quatrième a dans sa salle de bains privée une impressionnante collection de fioles au contenu étrange. Tous ou presque, y compris ceux qui, profilés Bretton Woods, affectent de dédaigner ces « superstitions » politiquement incorrectes, consultent des spécialistes de l'art avant chaque nouveau gouvernement, chaque grande décision politique et chaque déplacement un tant soit peu à risques. Ces conseillers occultes et marginaux constituent collectivement une sorte de Premier ministre fantôme. Ils sont en général craints et détestés par les collaborateurs du chef, qui ont évidemment recours au même type de pratiques pour conserver poste et influence.
Plus les pouvoirs seront transparents, plus l'explication mystique diminuera.
Pourquoi une telle résilience de l'invisible dans un monde censé devenir de plus en plus visible ? En ouvrant l'arène d'une compétition féroce entre politiciens ambitieux, les démocratisations africaines et l'irruption du multipartisme ont démultiplié le marché de la sorcellerie. L'ouverture politique a inauguré une ère d'incertitudes et de vicissitudes propice aux forces occultes et aux professionnels du genre, qui rivalisent entre eux sur fond de bonnes affaires à saisir. Le meilleur « médicament » appartenant à celui qui paie le mieux, les pouvoirs en place sont réputés disposer des meilleurs sorciers, ce qui n'empêche nullement les opposants - particulièrement en Afrique centrale - d'en recruter aussi au sein de leur village et de leur ethnie.
Népotisme
Même si les pouvoirs ne s'exercent plus à huis clos comme autrefois, nourrissant les rumeurs récurrentes de sabbats nocturnes, le côté imprévisible, abrupt, parfois illogique et souvent subjectif des décisions au sommet de l'État - comme ces remaniements ministériels annoncés aux concernés par un communiqué radiotélévisé - fait que le recours à l'occultisme est bien souvent le seul moyen de les expliquer, le seul moyen aussi d'influer sur des mécanismes opaques et insaisissables. Idem pour la course à l'enrichissement dans des pays en pleine croissance : faute d'état de droit en effet, les critères qui président à l'obtention des marchés ou à la régulation de la concurrence sont loin d'être respectés et obéissent à des impératifs aussi peu objectifs que le tribalisme, le népotisme ou la jalousie.
Dans le monde aseptisé de l'économie, les bureaux climatisés des grandes banques ou les locaux des sociétés pétrolières, il n'est donc pas rare que l'on fasse appel aux talents des déchiffreurs de l'invisible pour comprendre les motivations d'un décret gouvernemental ou à ceux des sorciers pour paralyser le soumissionnaire concurrent d'un appel d'offres. Il va de soi que le sympathique fonctionnaire européen en mission pour le FMI ou la Banque mondiale n'y verra que du feu. Il va de soi aussi que, dans le domaine des affaires et de leur accumulation, les forces irrationnelles offrent une explication commode aux ambitions contrariées. Ainsi, au Cameroun, pour les Bétis réputés peu doués en la matière, le succès financier des entrepreneurs bamilékés s'expliquerait largement par des formes de sorcellerie appropriées.
Secret
Pour comprendre enfin cette extraordinaire capacité d'adaptation, d'intégration, presque d'ingestion réciproque du sorcier africain et du développement économique, il faut toucher du doigt la politique par le bas. Au-delà du village, c'est au sein de la famille, au coeur de l'intimité, que se nouent, pour les responsables comme pour les anonymes, les complots les plus inquiétants. Les attaques les plus dangereuses, comme celles qui, dans les deux Congos ou au Gabon, par exemple, conduisent un oncle à « manger » son neveu, ou tel ministre à « vampiriser » l'un de ses propres enfants pour mieux asseoir son pouvoir, ne sont pas que des fantasmes, mais des soupçons fréquents et parfois des réalités meurtrières. Nul homme ou femme politique n'échappe à ce côté obscur de la parenté où l'on se comprend à demi-mot, où l'allusion est la règle et le malentendu souvent tragique.
Reste que si cette forme de croyance est sans doute trop profondément ancrée pour disparaître et si la généralisation des nouvelles technologies, loin de les faire régresser, a au contraire étendu la caste des sorciers auxquels les puissants ont recours aux gourous indiens, aux vrais-faux rabbins versés dans la Cabale et aux sectateurs européens ou japonais, la revendication d'un nombre sans cesse croissant de citoyens du continent à plus de transparence dans les affaires publiques pourrait bien avoir raison de la magie du pouvoir. Tant que la conviction populaire persiste, que le secret est consubstantiel à l'exercice de l'État, ce dernier peut jouer à sa guise de son caractère mystérieux. Mais plus les pouvoirs seront forcés d'être transparents, donc lisibles, plus le caractère automatique de l'explication sorcière de leurs actes diminuera et plus ils seront démystifiés. Ce mouvement est en marche, et le temps est proche où en Afrique ne résistera plus que le noyau dur de la sorcellerie intime et quotidienne des temps de crise et d'incertitude. Comme dans cet Occident prétendument « désorcelé » où fleurissent encore, telles des plantes vénéneuses, ces théories du complot truffées d'insinuations, d'interprétations et d'occultations, qui soutiennent que Kennedy a été assassiné sur ordre de Johnson, que le 11 Septembre n'a jamais eu lieu et que Mohamed Merah était un agent des services de renseignements français...
Recette de survie en période électorale
C'est un exemple parmi tant d'autres : au Congo-Brazzaville, où se tiendront le 15 juillet des législatives très attendues, les féticheurs sont débordés. Nombre de candidats ont recours à leurs services rémunérés afin de se protéger contre les mwanzas (mauvais sorts entraînant une maladie foudroyante) que leurs adversaires ne manquent pas de leur lancer par sorciers interposés. Recette de base pour se défendre : une petite cérémonie, chez vous ou en pleine nature, au cours de laquelle l'expert vous fera ingérer une demi-douzaine de boulettes à base d'herbes et d'huile de palme, des noix de cola et une boisson amère, après vous avoir enduit le front et les joues de craie blanche. Le tout accompagné d'incantations. Si vous souhaitez que votre blindage soit assez puissant pour renvoyer le mwanza à son expéditeur avec une force décuplée, il vous faudra fournir au minimum sa photo, un objet lui appartenant ou alors, fin du fin, quelques-uns de ses cheveux et des fragments de ses ongles - ce qui nécessite des complicités dans son entourage. En général, 30 000 F CFA (environ 46 euros) et le prix de la course en taxi suffisent pour cette opération élémentaire. Mais il en existe d'autres, nettement plus sophistiquées et nettement plus chères. Enterrer des boeufs vivants par exemple, comme cela se pratique en période préélectorale, nécessite d'en avoir les moyens. F.S.
Le président du Parti social-démocrate congolais (PSDC), Clément Mierassa, a animé une causerie-débat sur l'alternance politique dans la perspective de l'élection présidentielle de 2016
En échangeant sur l'actualité politique concernant la révision ou non de la Constitution du 20 janvier 2002, les étudiants congolais présents au débat ont été invités, le 26 mai à Brazzaville, à prendre le relais des anciens en prônant la politique de bonne gouvernance.
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Certains intervenants ont pensé que la révision de la loi fondamentale ne conduirait pas le pays à l'émergence. Pour eux, il est temps que l'opposition travaille de front avec le pouvoir en place, en protégeant les intérêts de la nation, au lieu de se lancer dans le combat effréné de l'accession au pouvoir. « L'opposition doit également contribuer au développement du Congo. Les expériences africaines sont malheureuses, car, malgré le temps que nous passons à l'opposition, nous n'arrivons pas à en tirer des leçons. Une fois au pouvoir, nous faisons pire que nos prédécesseurs », a reconnu Clément Mierassa.
Selon lui, l'année 2016 ouvrira la voie à l'alternance politique en privilégiant la force des idées, l'acceptation de la confrontation, de la différence et de la tolérance. Plaçant cette année sous le signe du renouveau, il a ainsi exhorté les jeunes à s'impliquer suffisamment en politique. « Nous faisons de la politique à des fins personnels. Or il faut que les jeunes en fassent autrement, en s'inspirant des démocrates indépendants qui ne subissent aucune pression et qui ont pour ambition de conduire leur pays au développement », a-t-il déclaré.
Le président du PSDC a affirmé que l'enjeu de l'alternance politique était un défi à relever dans la démocratie congolaise, afin que les politiques et le peuple soient en harmonie, pour faire évoluer le processus démocratique. « Ce changement sera, sans doute, exaltant pour le peuple congolais. L'arrivée du pluralisme politique dans notre pays a été un pas important vers la démocratie. Mais elle stagne. Nous devons la faire avancer. Le peuple congolais doit choisir ses dirigeants en toute liberté, en mettant un terme au culte de la personnalité pour favoriser la mise en place d'institutions fortes », a affirmé Clément Mierassa.
Après une expérience démocratique de plus de cinquante ans, le Congo a changé, à huit reprises, ses Constitutions qui, du reste, ne sont pas conformes aux réalités du pays. Selon le président du PSDC, la fonction principale du président de la République consiste à veiller au respect de la Constitution en vigueur, car tenter d'abuser de ses fonctions trahirait le serment qu'il a prêté devant la nation.
Faisant l'historique des différentes Constitutions congolaises, Clément Mierassa a indiqué que les élections devaient être organisées de façon consensuelle et transparente. Parlant du rôle de la jeunesse, Clément Mierassa a expliqué qu'elle devrait mener une lutte acharnée contre les antivaleurs dans le but de bannir le tribalisme et autres vices sociaux.
Autour d'un débat enrichissant, le philosophe Nybaurine Dhublysh a, pour sa part, affirmé que ni l'opposition, ni le pouvoir en place ne sauraient orienter le Congo vers un avenir meilleur. « Les jeunes non corrompus doivent s'impliquer afin de vaincre les pratiques antidémocratiques et anticonstitutionnelles. Nous devons prendre des initiatives en faveur du pays pour contribuer au développement de cette nation car, tout Congolais est éligible », a-t-il signifié, avant d'ajouter : « La mauvaise gouvernance n'est pas causée par la Constitution. Nous qui jugeons le pouvoir en place, nous serons également jugés demain ; car nous ne saurons faire mieux. »
Pour les orateurs, les détenteurs du pouvoir doivent respecter les lois et règlements de la République. Ils envisagent, par ailleurs, de mener un combat afin que soit respectée l'alternance, car, disent-ils, « on ne peut être en démocratie et rejeter ce principe ».
Josiane Mambou-Loukoula
© Les Dépêches de Brazzaville
En vue de faciliter ses déplacements sur le terrain, la société pétrolière Total E&P Congo a remis, le 28 mai à Brazzaville, deux véhicules tout terrain à l'Association des sites préhistoriques et écologiques au Congo
Frédérick Okassa Léboa, enseignant chercheur à l'Université Marien-N'Gouabi, et directeur de l'Association des sites préhistoriques et écologiques au Congo (ASPEC), a engagé des recherches depuis une année dans le département du Pool, accompagné par les étudiants de l'université et avec l'appui des experts étrangers.
Les outils offerts par Total E&P Congo permettront aux équipes de fouille de poursuivre leurs recherches archéologiques menées dans les quatre grottes de Kindamba (Malala, Bitorri, Meya Djouari et Mpoka), situées dans le Val de Louolo, dans le Pool.
Selon le chercheur, la première mission sur les douze déjà effectuées, a été marquée par la découverte pour la première fois au Congo, d'œuvres d'art pariétales. Une fois rassemblés, ces éléments datant de 200 000 ans permettront de décrire l'évolution de l'homme au Congo.
Notons que cette aide s'inscrit dans le cadre de la convention de partenariat tripartite signée entre Total E&P Congo, l'ASPEC et l'Université Marien-Ngouabi, depuis 2011. Elle est également le fruit de l'accord-cadre signé la même année entre Total et les ministères de l'Enseignement supérieur et des Hydrocarbures. Le représentant de la société pétrolière, Jean Fournier, a déclaré sa satisfaction de contribuer à la relance de cette science, en apportant de la logistique appropriée pour exécuter les travaux.
Présente en République du Congo depuis 1968, rappelons que la société Total E&P Congo intervient dans ce pays dans les domaines de la santé, de l'éducation et de l'environnement.
Qu'est-ce que l'archéologie ?
L'archéologie est la reconstitution de l'Histoire de l'homme à partir de vestiges matériels (artéfacts) mais aussi de pollens et de sédiments. À partir de ceux-ci, on construit un cadre chronologique (datation). Cette recherche chronologique est dominante lorsque l'on cherche des fossiles directeurs, caractéristiques d'une couche sédimentaire. Actuellement, cette science s'intéresse également au contexte économique et culturel, aux savoir-faire, aux religions, ainsi qu'aux modes de vie et de pensée.
Source : african-archaeology.net
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- LOMBARD (J.), 1930, Présentation d'objets préhistoriques d'A.E.F. par J.Lombard, l'Anthropologie, 40, pp.285-286.
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La production et la consommation d'eau potable
L’eau potable est une ressource inégalement répartie et sa consommation est très variable d’un pays à un autre. Si chaque français en consomme habituellement 150 l/j, les habitants de certains pays aux ressources extrêmement limitées en consomment à peine 5 l/j chacun !
Pour produire de l’eau potable, il faut lui faire subir de multiples traitements.
L’eau est tout d’abord prélevée dans les ressources superficielles (rivières, lacs) ou souterraines (nappes, sources) puis dirigée vers une usine de traitement. Dans cette usine, l’eau y est décantée, filtrée puis désinfectée pour être transformée en eau potable. La potabilisation de l’eau fait appel à des produits chimiques rigoureusement règlementés et péremptibles (ils ont une date limite d’utilisation).
Elle est ensuite transportée pour être stockée dans des réservoirs qui alimentent tout un réseau de canalisations au bout duquel se trouve notre robinet.
Tout au long du circuit (prélèvement, traitement et distribution), l’eau exige une surveillance permanente. Tout son process doit être soumis à des contrôles rigoureux et doit faire l’objet de l’application d’un PAQ* (Plan Assurance Qualité). Il en va de la santé publique. Il semble pourtant qu’au Congo, aucun contrôle rigoureux n’existe.
On sait que les réseaux de transport et de distribution congolais sont anciens et vétustes. On suppose que de 30 à 60% de l’eau puisée se perd en fuites alors qu’une grande partie des populations, même en ville, manque du précieux liquide. La SNDE tente avec beaucoup de mal à étendre son réseau aux quartiers nouveaux, elle n’opère donc de travaux sur les réseaux anciens que dans le cas de ruptures complète. Très souvent ses interventions sont très tardives.
Tant que la pression demeure dans les tuyaux, l’eau conserve peu ou prou ses qualités, mais, dans le cas où cette pression baisse, ce qui arrive à chaque délestage électrique, l’eau qui s’est échappée des tuyaux, y retourne polluant l’ensemble de la ligne.
*Dans le cadre d’un PAQ, toutes les opérations sont contrôlées 4 fois :
1- Contrôle intérieur interne : L’entreprise exécutante contrôle que le travail de ses agents est réalisé selon les normes et les règles de l’art.
2- Contrôle intérieur externe : Les travaux et les contrôles de l’entreprise exécutante est contrôlée, à ses frais, par un organisme agréé extérieur.
3- Contrôle extérieur interne : Le maître d’ouvrage contrôle à son tour.
4- Contrôle extérieur externe : Les constatations du maître d’ouvrage sont validées, à ses frais, par un organisme agréé extérieur.
Rien de tel que l'Agenda des actions africaines en région parisienne de Jean-Paul Vanhoove, pour faire mentir ceux qui disent que les français se foutent de l'Afrique et des africains en confondant politiciens et société civile.
Pour faire paraître vos propres actions les transmettre en temps voulu à cette adresse : jp.vanhoove@wanadoo.fr
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Anniversaire, commémoration, journées mondiales …
le 4 juin : Journée internationale des enfants victimes innocentes d'agression
le 5 juin : Journée mondiale de l'environnement
du mercredi 12 au samedi 15 juin : 6ème édition du Festival du Film Humanitaire centrée cette année sur la thématique "Espoir et résilience". Cet évènement citoyen et éducatif, a pour objectif de sensibiliser et d’informer sur l’action humanitaire par la promotion de films visant la promotion et la protection de la dignité humaine en temps de conflits, de catastrophes naturelles ou de crises. - Lieu : à Paris et à Créteil. - Rens. ffh.communication@gmail.com http://www.festivaldufilmhumanitaire.com
le 12 juin : Journée mondiale contre le travail des enfants.
le 16 juin : International Day of the Africa Child / Journée internationale de l’enfant africain
le 17 juin : Journée mondiale de la lutte contre la désertification et la sécheresse
le 18 juin : Fête de la Constitution des Seychelles
le 20 juin : Journée internationale des réfugiés
le 21 juin : Fête de la musique
le 25 juin : Fête de l'indépendance du Mozambique
le 26 juin : Fête de l'indépendance de Madagascar
le 26 juin : International Day in Support of Victims of Torture / Journée internationale des Nations Unies pour le soutien des victimes de la torture
le 26 juin : Journée internationale contre l'abus et le trafic illicite des drogues
le 26 juin : Signature en 1945 de la charte des Nations unies
le 27 juin : Fête nationale de Djibouti
le 30 juin : Fête de l'indépendance de la République Démocratique du Congo (RDC)
Actions situées à Paris (75)
jusqu'au 14 juillet 2013, tous les jours, sauf le mardi et le jeudi de 11 h à 19 h : Exposition " Design en Afrique, s'asseoir, se coucher et ver er. Cette exposition s'attache à montrer comment le mobilier (tabouret, chaise, fauteuil, lit, appuie-tête...) répond tant hier qu'aujourd'hui à des besoins matériels et s'inscrit dans une dynamique sociale et culturelle. Le traditionnel et le contemporain offrent un intéressant dialogue de formes. Entrée libre. - Lieu Musé Dapper, 35 bis, rue Paul Valéry, Paris 16è - Rens. Réservation obligatoire au 01.45.00.91.75 - Rens. communication@dapper.com.fr www.dapper.com.fr
jusqu'au 31 décembre 2013 du mercredi à samedi de 13h à 20h : Exposition Afrique à vivre "Sentimental" de l'artiste malgache Joël Andrianomearisoa. Une exploration des sentiments, du désir et des corps au travers d'installations, de sculptures, de photos - Huit espaces, huit représentations du sentiment amoureux, des lettres d'amour parisiennes aux négociations sentimentales. Installations, objets, images et vidéos y représentent la dualité du cœur, entre douceur et caresse, froideur et fragilité, le tout façonnant une architecture sentimentale obsessionnelle, sensuelle, parfois sombre chère à l'artiste. Architecte de formation, Joël Andrianomearisoa propose des œuvres parfaitement construites, homogènes, à la coupe nette. Il en ressort souvent un appel à la libération de chacun, le droit au rêve et à être... librement. - Lieu : Maison Revue noire, 8 rue Cels, Paris 14è, M° Gaité ou Denfert Rochereau - Rens. 01 43 20 28 14 redaction@revuenoire.comwww.revuenoire.com et www.joelandrianomearisoa.com - Contacts : Hugo Gogart 06 87 16 76 08 hugo@revuenoire.com ou Elise Atangana : 06 14 18 77 97 elise@revuenoire.com
samedi 1er juin de 12h à 19h et dimanche 2 jusqu'à 16h : Exposition "l’AFRIQUE Révélée" Une sélection d’artistes du Sénégal : Camara Gueye – Piniang – Serigne Mbaye Camara – Aïcha Aïdara - Kré – El Hadj Sy - Pièces uniques : sculptures en bronze, pierre et bois. Objets de parure et de décoration - Lieu : Galerie Mailletz, 17 rue du Petit Pont, Paris 5è, M° St Michel, Cité, Cluny-La Sorbonne. RER : B, C - Rens. 06 60 24 06 26 audeminart@hotmail.comwww.lagalerieafricaine.com, www.africanmodernart.com
jusqu'au 6 juillet du lundi au samedi de 10h à 19h : Exposition « Nelson Mandela : de prisonnier à Président » Loin des représentations simplistes, cette exposition revient sur l’itinéraire de Mandela dans toute sa complexité, en mettant en lumière sa vie tout autant politique et publique que privée et intime. Au prisme de son parcours, qui couvre plus de 70 ans, c’est aussi l’histoire de l’Afrique du Sud qui est racontée, notamment celle de plus de 40 ans de ségrégation raciale. Au travers de multiples supports, le rôle essentiel qu’a joué Nelson Mandela dans la lutte contre l’apartheid est montré, ainsi que la manière dont il a bâti une nouvelle nation sur les ruines d’un conflit, en exploitant pleinement les “armes” dont il disposait : militantisme, amour, persuasion, pardon, sens aigu de la politique doublé d’un sens de l’humour à toute épreuve. - Lieu : Hôtel de Ville - 29, rue de Rivoli, Paris 4ème. Rens. www.international.paris.fr. www.institutfrancais.com ; www.apartheidmuseum.org www.mandeladay.com
jusqu'au 5 janvier 2014 : Exposition "Luba" (RDC) : une vingtaine de pièces représentatives de la statuaire et d'objets rituels de cette ethnie africaine. Bordant les rives de la rivière Lubu, non loin du grand lac Katanga, ce peuple fondé à la fin du XVIème siècle par le roi Nkongolo, fut un royaume florissant avant de disparaître, démantelé par l'exploitation des colons et missionnaires belges qui investirent les mines de l' Est de l'actuelle République Démocratique du Congo. A l'affiche : Le souffleur d'Olifant, attribué au maître de Kateba, dit « Maître de Buli » manifeste de part sa rareté , tant par la représentation masculine que par sa facture, d'un événement pour les amateurs de l'Art africain. La place de la femme dans la société Luba : Très souvent représentée dans son rôle de mère, se tenant les seins en signe de fécondité, elle est aussi la gardienne des secrets initiatiques et de la tradition. Ce qui explique sa présence sur de nombreux objets rituels : Calebasses de sorcier, hache, peigne. Armand Auxiètre a choisi de présenter une suite Kabuelulu, objets magiques utilisés par les sorciers, fin XIXème et début XXème, pour lutter contre les Pères Blancs. - Lieu - Galerie Art premier africain "l'Oeil et la Main", 41 rue de Verneuil à Paris, derrière le musée d'Orsay. - Rens. 01 42 61 54 10 contact@agalom.com www.african-paris.com
jusqu'au 30 juin : Découvrir l'Afrique à Paris - Les acteurs franciliens du tourisme responsable proposent de faire le tour du monde à Paris et de découvrir la première destination touristique mondiale en partant à la rencontre de ses habitants. Bals, balades, concerts, conférences, ateliers culinaires, etc. rythmeront un mois d’échanges et de fêtes entre touristes et habitants, quelques soient leurs origines. http://www.tourismesolidaire.org/paris-ville-monde/actualites/paris-vill... www.paris-ville-monde.com
samedi 1er et dimanche 2 juin de 10h à 20h30 : 2 ème Edition de "l’Afro Free Market Paris" de juin 2013 : le Salon des créateurs artistes sur une idée du styliste designer Mike Sylla, créateur de la marque Baïfall Dream, un événement multiculturel qui rassemble les créateurs, les artisans et de nombreux artistes pour un moment de partage et d’échange dans un lieu convivial et festif « La Station », une vision contemporaine de l’Afrique. - Le premier weekend de chaque mois, des artistes vous proposeront l’objet de leurs créations : mode et accessoires, chapeaux, bijoux originaux, beauté et produits naturels, gastronomie, produits écologiques et artisanaux, lampes inédites, … - Programme musicale : Kiane Keita, Lord Eraze, Captain Freddy, Mista Floy, Meusli Labaz, Freshady, Chama, Ibrahim Boo, Stimo, Jean-Paul Reynaud, Roc LMD, Jo & Les Yessaï, Roslana & Adama, Adja Blues & Philippe, Les Lémuriens Parisiens, Antonny Giannotta, Me-We, Vincent Duhazé, Sophie Delafine & Les Hâffreux, Ali Diop Aka Prine Baïfal, Souleymane Coundé, Adama, Les Tam Tam du Cœur, Tominioh, Jeremie Dhjan, Son do Barro, Laura Laquitaine, King Daddy Yod … - Lieu : Afro Free Market Paris, à La Station, 155 rue de Saussure, Paris 17è, M° Villiers, Wagram et Pereire / Bus 53 et PC3 Porte d’Asnières - Rens. 06 95 36 43 81 06 60 68 89 54 afrofreemarket@gmail.com www.afrofreemarket.com
samedi 1er juin de 10h30 à 22h et dimanche 2 juin de 13h30 à 19h30 : Festival du cinéma nigérian Nollywood en France ! Il comporte table rondes sur l'industrie du film au nigéria le 1er juin à 10h30 et des projections de films suivit d'échanges après le séance - Les septs films sont: On a échangé nos téléphones (Phone Swap) de Kunle Afolayan le 31 mai à 21h - Maami de Tunde Kelani le 1er juin à 17h - Inalé de Jeta Amata & Keke Bongos le 2 juin à 15h45 - La Tango se Danse à Deux (Tango with Me) de Mahmood Ali-Balogun le 1er juin à 15h et le 2 juin à 13h30 - Ijé de Chineze Anyaene le 1er juin à 21h - Man on Ground de Akin Omotoso le 1er juin à 13h - Aller sans Retour (Last Flight to Abuja) de Obi Emelonye le 1er juin à 19h et le 2 juin à 17h45 - Nollywood est le nom donné à l’industrie cinématographique du Nigeria. Nollywood c’est grosso modo une production de 1000 films par an en moyenne. Ce qui représente un peu moins de films que Bollywood mais plus que Hollywood. Nollywood est donc le deuxième producteur de films au monde. Aujourd’hui, Nollywood est le deuxième employeur du pays après l’agriculture et représente 5% du PIB nigérian. Phénoménal! - Tarif 8,50€ Pass à 40€ à la FNAC - Lieu : l'Arlequin - 76 rue de Rennes, Paris 6ème, M° St Sulpice . Rens. info@nollywoodweek.com www.nollywoodweek.com
samedi 1er juin de 10h30 à 12h30 et samedi 15 juin à 14h30 à 16h : Balades Urbaines au marché africain de Château Rouge sur les thèmes des échanges et pratiques culturelles, du patrimoine des migrants maliens en Île de France ainsi que sur la notion de voyage de proximité… Le nombre et la qualité des produits vendus ici éveille vos papilles, éblouit votre regard, égaye vos sens… Le marché de Château Rouge égalise les meilleurs marchés de Bamako ou Dakar : partout ce ne sont que capitaines, tilapias, machoirons, ignames, patates douces, piments, gombos, sauce graine ou arachide…Ces lieux de vie demeurent emblématiques de la geste ouest-africaine à Paris. L’Initiateur tentera de vous introduire au monde du «Petit Mali» : il interprète les différents usages des victuailles ou objets sur les étalages, il part à la rencontre des commerçants (vendeurs de primeurs, de pagnes africains, de pharmacopée traditionnelle. Il évoque l’histoire du quartier, ses différentes influences et le lien ténu qui existe entre ce dernier et son village de Marena Diombougou dans la région de Kayes au Mali. Parfois des habitants interviennent spontanément aux échanges. En fin de journée, si vous avez un petit creux, vous pouvez terminer le serpentin trajet dans un maquis africain de la Rue Poulet afin de goûter aux condiments si savamment exposés pendant le voyage - Organisé par l'agence de voyage Baština - Lieu : Rendez-vous au marché africain de Château Rouge au sortir du métro (angle Boulevard Barbès et Rue Poulet devant le kiosque) dans le 18° à Paris. - Réservation : 0805 69 69 19 (numéro vert) - bastina@bastina.fr
samedi 1er Juin 2013, de 14h à 18h : conférence débat sur le Tchad : Intervention militaire du Tchad au Mali. Les conséquences politiques internes : L’initiative militaire décisive du président François Hollande en janvier dernier, a provoqué un réveil chez les dirigeants africains, qui se sont empressés d’envoyer des forces au Mali. Le contingent tchadien s’est fait remarquer par l’importance de ses effectifs, la rapidité de son déploiement et l’intensité de son engagement sur le terrain. La rentabilisation de cette intervention en termes d'influence internationale pour le pouvoir de N'Djamena, a été largement analysée. Par contre l’usage politique interne de ce crédit diplomatique et médiatique pour renforcer le régime du général Idriss Déby Itno, est peu ou pas commenté. Il a fallu la répression récente, visant des députés, journalistes et cyber-activistes, pour qu'un bout du voile soit levé. Le CNCD (Conseil National pour le Changement et la Démocratie) vous invite à partager les informations et réflexions sur cet usage interne de l’intervention militaire tchadienne au Mali, à la conférence débat, animée par des démocrates, tchadiens africains et français. Organisé par le CNCD (Conseil National pour le Changement et la Démocratie au Tchad) - Lieu : Maison de l’Afrique, 7 rue des Carmes 75005 Paris 5è, M° Maubert-Mutualité (Ligne10) - Rens. Acheikh Ibn-Oumar 06 46 32 04 67 tchad.conf@gmail.comhttp://www.cncd-tchad.com/index.php/communiques-2/104-conference-sur-le-... ou 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
samedi 1 juin 15h à 17h et de 18h à 20h : Ballade dans l'Afrique de Ménilmontant avec l'association "Paris Par Rues Méconnues" - D’un continent à un autre, découvrez l’Afrique à travers ses différentes nationalités et cultures qui s’épanouissent à Ménilmontant - 15€ - Lieu de Rendez-vous : M° Ménilmontant, Paris 11è - Réserver 01 42 79 81 71 ou 06 69 00 59 53 http://www.paris-prm.com/pprm-contact.php
samedi 1er juin à 15h45 et dimanche 2 juin à 16h (durée 3h) : spectacle sur la «françafrique». Un road-movie théâtral, un spectacle-fleuve à visiter. Autant d’installations et de moments loufoques, où la petite anecdote rencontre l’Histoire, celle de la décolonisation. Ce spectacle évoque avec impertinence et dérision les échecs de la décolonisation, les scandales de la «Françafrique», les mirages de la libre circulation des hommes, dans une Europe au racisme persistant et aux frontières angoissées. Dans le cadre du festival Parade(s) des arts de la rue organisé par la mairie de Nanterre - Lieu : Terrain d’évolution Victor-Hugo, 2 rue Marcelin Berthelot à Nanterre, RER Nanterre Ville - Places à retirer sur le lieu du spectacle 15 min avant le début - Web: http://www.nanterre.fr/actualite/292/57-actualite.htm
samedi 1er juin de 20h à 23h : Cours sur le droit des étrangers : Recours administratifs - 1. Les interventions des tiers, inutiles ou néfastes - 2. Faire valoir les garanties constitutionnelles sans recours aux règles européennes (les recours prototypes génèrent des refus prototypes) - 3. La demande gracieuse de retrait au préfet - 4. La demande hiérarchique d'abrogation au ministre. - Ce stage de formation a été initié par l'Association Intercapa Solidarité en 1990-1991, Ouvert à tous, aucun pré requis n'est nécessaire pour suivre le stage, qui s'adresse aux militants des droits de l'homme désireux de participer à une permanence juridique de régularisation des étrangers en situation irrégulière, par une meilleure formulation de leurs recours devant les administrations et les juridictions. - Lieu : Maison des Syndicats du campus de Jussieu, 23, quai Saint Bernard, Paris 5e, M° Jussieu Sully-Morland ou Cardinal-Lemoine - (parking gratuit sur place, accessibilité) (près Institut du Monde Arabe) - Inscription : 06 11 99 88 00 et intercapa@yahoo.com http://www.demosphere.eu/node/33496
dimanche 2 juin à 14h : Marché africain sur les quais de la seine : Le marché africain proposera des objets de l?artisanat, des créations originales, des éléments décoratifs et des produits naturels. Du cuir au tissu, en passant par la céramique et la noix de coco, il y en aura pour toutes les envies et pour tous les âges. Diverses animations seront prévues. Festival l’Afrique dans tous les sens : véritable voyage initiatique durant lequel l’Afrique, se dévoile à travers la musique (le Bal de l’Afrique enchantée, Souleymane Faye, Oum, Gasandji, Meta, Sam Tshabalala, Mounira Mitchala, etc.), la mode, les arts plastiques, la gastronomie, la danse, les spectacles de rue…à 16h : Défilé de mode en hommage à la nation Arc-en-ciel avec Téné Wélé, jeune styliste sénégalaise qui allie parfaitement tradition et modernité? tout en habillant aussi bien les hommes que les femmes, stars ou anonymes - Dans le cadre du festival l'Afrique dans tous les sens - Lieu : Petit Bain, 7, Port de la Gare, Paris 13è Au pied de la BnF, à côté de la Piscine Joséphine Baker, M° Quai de la Gare (Ligne 6), Bibliothèque François Mitterrand (Ligne 14), RER C : Bibliothèque François Mitterrand, En plein air, gratuit Rens. http://www.lafriquedanstouslessens.com/
lundi 3 juin de 19h à 21h : Rencontre avec Lamine Ndiaye dans le cadre de l'Afrique en livres - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
mardi 4 juin de 13h à 15h : Des musées sans passé : zone grise et dénégations des violences esclavagistes en Martinique avec Patrick Bruneteaux (CESSP-CRPS, CNRS/Paris 1). En s'appuyant sur des données iconographiques, cette intervention a pour but de montrer que l'euphémisation des violences du monde plantationnaire dans la muséographie publique et privée a partie liée avec l'intention d'occulter la réalité socio-historique de la "tripartition". - Dans le cadre du séminaire du Centre d’Études Africaines "Réflexion croisée sur les constructions et les représentations identitaires". - Lieu : CEAf, salle 3, 105 bd Raspail, Paris 6è - Rens. hcnardi(at)gmail.com, leniperrier(at)yahoo.fr, ulrikezander(at)hotmail.com http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2012/ue/715/
du mardi 4 au samedi 15 juin du mardi au vendredi à 20h, le samedi à 16h : Représentation de Fadjiri avec Serge-Aimé Coulibaly, danse du Burkina Faso. Avec Fadjiri, il se laisse guider par les émotions, sans conformisme, sans règle ni retenue. Dans une scénographie à l'image de la vie, faite d'un sol fragile et instable, il résiste, il avance... il va au cœur de l'instinct, de l'humain ! - Tarif 5€ à 20€ - Lieu : Le Tarmac, La scène internationale francophone, 159 avenue Gambetta, Paris 20è, M° Saint-Fargeau - Rens. Réservation 01 43 64 80 80 communication@letarmac.fr www.letarmac.fr
mercredi 5 juin : François Hollande se verra remettre le prix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, en présence d’Alassane Ouattara. Des manifestation a prévoir (si pas interdites) pour s'indigner de la présence de ce monsieur installé militairement par la France à la tête de cette ex-colonie - Lieu : siège de l'UNESCO - Rens. : http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/reception-de-m-alioune-traore-secretaire-general-du-prix-felix-houphouet-boigny-pour-la-recherche-de-la-paix/
mercredi 5 juin de 15 à 17h : Retours de migrations et religions au Burkina Faso avec Alice Degorce - Dans le cadre du séminaire Anthropologie politique des religiosités contemporaines - Lieu : CEAf, salle de réunion, 2e étage, 96 bd Raspail, Paris 6è - Rens. Elisabeth Dubois eldubois@ehess.fr http://ceaf.ehess.fr/document.php?id=1000
mercredi 5 juin de 19h à 21h : Rencontre avec Ibrahima Abou Sall dans le cadre de l'Afrique en livres - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
mercredis 5, 12, 19 et 26 juin et tous les mercredi hors période scolaires de 19h30 à 22h: Cours de chant Gospel à Nation "RnH Gospel Choir : Pour apprendre à placer votre voix, être à l’aise dans les aigus et chanter plus haut, apprendre à gérer votre souffle, à utiliser votre colonne d'air, à chanter juste, les techniques vocales à régler des problèmes vocaux, retrouver ou acquérir des mécanismes naturels, à improviser à augmenter votre tessiture, à travailler un répertoire, à préparer une audition et performer en toute occasion… - de 19h à 20h30 : cours "débutants" travail des aigus - travail de la justesse - la respiration - découverte des différents styles de gospel - concerts - de 20h30 à 22h cours "confirmés" Travail des aigus et de la précision - la respiration - les registres - rythme et groove - harmonies complexes - concerts --- Une séance découverte offerte à tous ! - Lieu : Théâtre Comédie Nation, 77 rue de Montreuil à Paris, Métro/RER : Nation - Rens. Rythm'N Harmony School 06 64 02 98 84 info@rnh-school.fr www.rnh-school.fr
mercredi 5 juin de 20h à 23h: Concert " Na lingui yo " de Gasandji. Artiste originaire de la République Démocratique du Congo (RDC) qui porte bien son nom car en lingala signifie "celle qui éveille les consciences" - Tarif : 13,80 € - Les Trois Baudets - 64, bd de Clichy Paris 18ème, M° Blanche, Pigalle - Rens. 01 42 62 33 33, info@lestroisbaudets.com, http://www.lestroisbaudets.com
mercredi 5 juin à 20h30 : Projection de "Benda bilili !" de Renaud Barret de Florent de la Tullaye : Ricky a un rêve : faire de Staff Benda Bilili le meilleur orchestre du Congo Kinshasa. Roger, enfant des rues, désire plus que tout rejoindre ces stars du ghetto qui écument la ville sur des fauteuils roulants customisés façon Mad Max. Ensemble, il leur faut déjouer les pièges de la rue, rester unis, (...) - Dans le cadre des Ecrans d’Emmaüs, un cycle de cinéma sensible, emprunt d’humanisme, mêlant qualités artistiques, poésie, citoyenneté, tendresse... qui révèle l’engagement et la dignité de ses protagoniste - Lieu : Espace culturel Emmaüs Louvel-Tessier, 36, rue jacques Louvel-Tessier , Paris 10è, M° Goncourt - Rens. Réservation obligatoire 01 77 37 62 97 adelassus@emmaus.asso.fr
jeudi 6 juin à 19h : séance de dédicace de Guy Labertit et le Gri-Gri - Lieu : Libre-Ère, 111 bd Ménilmontant, M° Ménilmontant - Rens. Grégory Protche, Rédacteur en chef du Gri-Gri International, et Poseur de questions 06 87 21 30 19 gregoryprotche@gmail.com
vendredi 7 juin de 13h à 15h: Patrick Bruneteaux (CESSP-CRPS, CNRS/Paris 1), Des musées sans passé : zone grise et dénégations des violences esclavagistes en Martinique - En s'appuyant sur des données iconographiques, cette intervention a pour but de montrer que l'euphémisation des violences du monde plantationnaire dans la muséographie publique et privée a partie liée avec l'intention d'occulter la réalité socio-historique de la "tripartition". Le système concentrationnaire de l'habitation a en quelque sorte, structuralement, piégé les esclaves instrumentalisés chasseurs de fugitifs, les affranchis miliciens comme les propriétaires noirs d'esclaves, sans parler des Libre de couleurs revendiquant pour eux-seuls la liberté. C'est ce monde ternaire de l’alliance entre les colons et les esclaves qui est largement, mais pas uniquement, « sous-traité » par les élites mulâtres depuis la fin de l’esclavage. - Dans le cadre du séminaire du Centre d’Études Africaines "Réflexion croisée sur les constructions et les représentations identitaires". - Lieu : CEAf, salle des artistes, 96 bd Raspail, Paris 6è - Rens. hcnardi(at)gmail.com, leniperrier(at)yahoo.fr, ulrikezander(at)hotmail.com sg12@ehess.fr http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2012/ue/715/
jeudi 7 juin de 19h à 21h : Les rencontres de Polyglotte - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
vendredi 7 juin de 20h à 23h : Expo et Ciné concert : 20h : Expos photos : « Notre Regard » et « D’un voyage, que reste-t-il » ? autour d’un verre de bissap et de gingembre - 22h : Ciné Concert : La voisine de Malec de Buster Keaton et de Edward F. Clin, Accompagnement au piano de Maximilien Helle-Forget, Etats-Unis, 1920, 17min, Fiction : Buster et sa charmante voisine sont très amoureux et souhaitent se marier. Mais le père de la jeune fille est définitivement opposé à cette union. Buster va devoir faire preuve de beaucoup d’imagination et d’habileté pour arriver à ses fins. - Suivit de - Fantang ou les trois frères Peuls de Pierre Amiand en présence du réalisateur, France, 2011, 52 min, Documentaire : Pour les Peuls de l’extrême ouest africain, le Fantang est un air de musique, mais aussi un mythe qui relate l’origine des liens qui unissent toujours trois des groupes socioprofessionnels de la société peule. Après l’évocation des trois frères mythiques, le film parle de la vie de leurs descendants : les boisseliers, les pasteurs et les griots, dans un village de l’ouest du Mali et au cours des transhumances vers le sud, plus humide, et vers le nord, aux confins du désert. - Lieu : Foyer Lorraine, 13, rue de Lorraine, Paris 19ème, M° Ourcq ou Laumière - Rens.: infos @ attentionchantier.org http://www.attentionchantier.org/2013/05/18/programmation-5eme-festival-de-cine-des-foyers/
samedi 8 juin de 11h30 à 16h : Brunch des Acteurs du Tourisme Durable, les Acteurs du Tourisme Durable ouvrent leur porte… Les membres du réseau Acteurs du Tourisme Durable ouvrent leur porte... Venez les rencontrer dans leur nouvel espace de co-working dédié au tourisme durable au cœur de Paris...Voyagistes, hébergeurs, guides, magazines etc..unis pour un tourisme responsable vous accueilleront autour d' un brunch convivial aux saveurs d'ici et ailleurs..." - Lieu : ATD - Acteurs du Tourisme Durable, 21 Rue Blondel, Paris 2è, 1er étage - Pte gauche - Rens. 06 80 22 67 90 j.buot@tourismesolidaire.org ou 09 51 74 47 19 info@tourisme-durable.org http://www.tourisme-durable.org/a-propos/contact.html
samedi 8 juin de 14h à 18h : Conférence-débat " Combat de femme, femme de combat " au cours de laquelle nous rendrons hommage à Maryse CONDÉ, qui sera présente. Cette évènement sera également, l'occasion de remettre aux lauréats du concours de poésie "Le Prix Césaire de la langue française 2013". Organisé par l'Association des Étudiants Africains de la Sorbonne - Lieu : Amphithéâtre Henri Descartes, 1 rue Victor Cousin, Paris 5è, M° Cluny Sorbonne, RER St Michel ou Luxembourg - Rens. 06 30 47 95 30 (Samba) ou 06 60 29 70 57 (Koudiev) contact@adeas.fr ou adeas2004@yahoo.fr https://www.facebook.com/#!/groups/adeas/ web: www.adeas.fr - Inscription à adeas.sorbonne@gmail.com
samedi 8 juin de 14h à 18h : Association des étudiants Burkinabé - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
samedi 8 juin à 14h30 : Ciné rencontre Max et Mona, Un film de Teddy Mattera - Le jeune et naïf Max quitte son village pour Johannesburg où il va entrer à l'université. Il emporte dans ses bagages une chèvre, cadeau d'une villageoise à sa sœur, et son étonnant don de pleureur, hérité de son grand-père. S'étant attaché à la chèvre, il renonce à la livrer à une mort certaine et est obligé de se réfugier momentanément à Soweto chez son peu recommandable oncle Norman. Pour sauver ce dernier de malfrats, Max donne l'argent de ses frais d'inscription à l'université. Il se retrouve sans le sou. Mais Norman découvre le talent de pleureur de son neveu et décide de l'exploiter pour leur permettre de se tirer d'affaire. - Lieu : Musé Dapper, 35 bis rue Paul Valéry, Paris 16è, M° Victor Hugo - Réservation au 01 45 00 91 75 communication@dapper.fr www.dapper.com.fr
samedi 8 juin à partir de 16h : Projection de films et repas : 16h : Les sénégalaises et la sénégauloise d’Alice Diop, France/Sénégal, 2007, 56 min, Documentaire - La réalisatrice Alice Diop vient à Dakar pour la première fois. Elle accompagne la dépouille de son père, travailleur immigré en France, qui a voulu être inhumé dans sa terre natale. Étrangère à ce pays, elle découvre la cour où sa mère a grandi et où vivent des tantes, cousines et nièces qu’elle ne connaît pas. Ces femmes parlent de leur vie quotidienne, d’argent, de stratégies amoureuses, du mariage, de la polygamie et des hommes. Alice réalise ce qu’aurait pu être sa vie. Débat animé et retransmis par REC, la Radio des Foyers - 20h : l’heure du Thiep (riz sénégalais) – Restauration payante - 22h : Les très courts-métrages, du Collectif Tribudom en présence de certains réalisateurs - 3 épisodes de “Demain j’lui dis…la web série” : Lettre à jeannette , Le premier amour d’Aïda , La jeune fille et le militaire. - 2 épisodes réalisés dans le cadre de l’école du web documentaire Pointvue : C’est quand le changement, Elle. Madame Brouette de Moussa Sène Absa, Sénégal, 2002, 1h42, Fiction : Le quartier Niayes Thiokeer (« la colline aux perdrix », en wolof), aux petites heures du matin. Des coups de feu éclatent. Devant les voisins accourus, Naago sort en chancelant de la chambre de Mati et s’effondre criblé de balles. Celle que tout le monde appelle Madame Brouette s’accuse d’avoir assassiné son mari. Pourtant, dans le quartier, toutes les femmes s’accordent pour chanter les louanges de cette jeune femme divorcée, mère d’une petite fille et vendeuse ambulante de fruits et légumes. Qu’est-ce qui a pu provoquer un tel geste ? - Lieu : Foyer Bisson, 15, rue de Bisson, Paris 20ème, M° Belleville ou Couronnes - Rens.: infos @ attentionchantier.org http://www.attentionchantier.org/2013/05/18/programmation-5eme-festival-de-cine-des-foyers/
samedi 8 juin de 20h à 23h : Cours sur le droit des étrangers : Recours contentieux, les faits - 1. Les conséquences des faits connus ou avérés - 2. L'absence d'examen individuel de la demande, la non prise en compte de l'ensemble des faits du dossier- 3. La rédaction des faits probants. - Lieu : Maison des Syndicats du campus de Jussieu, 23, quai Saint Bernard, Paris 5e, M° Jussieu Sully-Morland ou Cardinal-Lemoine - (parking gratuit sur place, accessibilité) (près Institut du Monde Arabe) - Inscription : 06 11 99 88 00 et intercapa@yahoo.com http://www.demosphere.eu/node/33496
dimanche 9 juin de 14h à 18h : Urgence Guinée - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
lundi 10 juin : Journée "Innovation 2013" Séminaires du RRI - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
mardi 11 de 9h à 18h et 12 juin de 9h à 17h : Colloque international "Catastrophes, Migrations et droits de l'homme" sur les migrations et le climat - Le mardi 11 sur le thème : Catastrophes et droits de l'homme - Le mercredi 13 : Migrations environnementales et droits de l'homme - Dans le cadre du programme de l'Agence Nationale de la Recherche intitulé "Les Suds aujourd'hui" - Lieu : Sciences-Po, Amphithéâtre Jean Moulin, 13 rue de l'Université, Paris 7è, M° rue du Bac - Inscription obligatoire sur http://ipgr.fr/wp-content/uploads/2013/05/Programme.pdf - Rens. Stéphanie Bartkowiak, Centre international de Droit Comparé de l’Environnement (CIDCE), Faculté de Droit et des Sciences Économiques de Limoge 05 55 34 97 25 stephanie.bartkowiak@cidce.org www.cidce.org
mardi 11 juin de 14h30 à 17h : Conférence De la collecte ethnographique à la patrimonialisation : Herbert Pepper, premier ethnomusicologue de l’ORSTOM avec Nolwenn Blanchart, anthropologue, ethnomusicologue - Dans le cadre du séminaire "Le local dans la valorisation et la mise en scène des patrimoines" - Lieu : Muséum National d’Histoire Naturelle, Grand amphithéâtre Entomologie, 45 rue Buffon, Paris 5e, M° Gare d’Austerlitz - Rens. http://www.cemaf.cnrs.fr/spip.php?article478
mardi 11 juin à 19h30 : Projection-débat "Zambie, à qui profite le cuivre?" contre l’évasion fiscale - Action organisée par l’équipe Plaidoyer du CCFD – Terre Solidaire de Paris, débat avec Alice Odiot, réalisatrice, Capucine Edou, responsable de la commission Afrique du Parti Socialiste, Juliette Renaud, chargée de campagne sur l’industrie extractive pour les Amis de la Terre, Philippe Tournaud, délégué du CCFD – Terre Solidaire. Sorbonne, amphi de gestion, 12 rue Cujas, Paris 5è, M° St-Michel ou Cluny-La Sorbonne ou RER Luxembourg. - Rens. 06 82 43 93 21 claudio@thebardes.net http://blog.ccfd-terresolidaire.org/idf/
mardi 11 juin à 20h : Table-ronde « Pourra-t-on vraiment nourrir toute l'humanité ? » Avec Bruno Parmenentier, ancien directeur de l'Ecole supérieure d'agriculture d'Angers (ESA), spécialiste des problèmes d'alimentation, auteur de « Nourrir l'humanité » (Ed. de la Découverte) et Catherine Gaudard, directrice du plaidoyer au CCFD-Terre solidaire. Débat animé par Guy Aurenche, président du CCFD Débat en partenariat avec le Centre pastorale Halles-Beaubourg. la Mission de France, Témoignage Chrétien, la Conférence catholique des baptisé(es) francophones (CCBF), le CCFD, les Amis de La Vie. - Lieu : Saint Merri 76 rue de la Verrerie, Paris 4e - Rens. : Gérard Desmedt 06 16 85 58 06 desmedt.gerard@gmail.com ou Monique Gerlier 06 77 74 02 29
du mardi 11 au samedi 15 juin du mardi au vendredi à 20h, le samedi à 17h30 : Destination Congo avec Sac au dos de Florent Mahoukou. Florent Mahoukou et son co-chorégraphe Andréya Ouamba portent en eux le très lourd sac des guerres qui ont ravagé leur pays, le Congo. Il danse l'indicible, la vanité des mots. Pour exorciser le passé, pour dire la mémoire, il danse ! - Tarif 5€ à 20€ - Lieu : Grande salle du Tarmac, la scène internationale francophone, 159 avenue Gambetta, Paris 20è, M° Saint-Fargeau - Rens. Réservation 01 43 64 80 80 communication@letarmac.fr www.letarmac.fr
mercredis 12 et 26 juin de 16h30 à 18h : Soirées d'informations sur les chantiers de volontaires. Envie de voyager utile cet été ? Envie d'en savoir plus sur le volontariat international ? Au programme : - Qu'est ce qu'un chantier international ? - Les départs moyen/long terme, Service civique - L'occasion pour vous de poser vos questions, d'affiner votre projet, de rencontrer d'anciens volontaires ! - Lieu : Concordia, 64 rue Pouchet, Paris 17è, M° 13, station Brochant ou Guy Moquet - Rens. Association CNCRD : 01 45 23 00 23 info@concordia.fr ou concordia.chantiers@yahoo.fr http://www.concordia-association.org
mercredi 12 juin à 20h : Projection en Avant-première d'un film "Le Clown Chocolat" de Samia Chala et Thierry Leclère. Au début du XXe siècle, l’une des plus grandes vedettes de la scène parisienne est un artiste noir, aujourd’hui oublié : le clown Chocolat. Le film raconte l’histoire extraordinaire de cet ancien esclave de Cuba qui va fasciner les frères Lumière, inspirer Toulouse-Lautrec et des écrivains comme Jean Cocteau. Le succès fulgurant de Chocolat, frappé et brocardé sur scène par le clown blanc Footit, raconte la découverte de « l’homme noir » par les Français, au temps des expositions coloniales et de la IIIe République. Débat à l’issue de la projection en présence de la réalisatrice Samia Chala . Organisé par l' Association Française d’Amitié et de Solidarité avec les Peuples d’Afrique (AFASPA) - PAF 5€ - Lieu cinéma La Clef, 34 rue Daubenton à Paris 5è, M° Censier Daubenton - Rens. AFASPA - 01 49 93 07 60 afaspa@wanadoo.fr , michele.decaster@wanadoo.fr http://www.afaspa.com
jeudi 13 juin de 11h à 13h : Femmes sahéliennes en France : tontines et cérémonies avec Jeanne Semin - Dans le cadre du séminaire "Migrations féminines en Afrique" organisé par Véronique Hertrich, chargée de recherche à l'INED et Ismaël Moya du CNRS. - Lieu : CEAf, salle de réunion, 96 bd Raspail, Paris 6e. - Rens. hertrich@ined.fr, moya.ismael@gmail.com http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2012/ue/898/
jeudi 13 juin à 15h : Conférence " Responsabilités sociétales des entreprises et dialogue des cultures " avec Alexandre Wong, Coordonnateur du réseau « RSE & inter culturalité », chercheur associé au CNRS (UPR 76), co-auteur de « Les responsabilités sociétales des entreprises en Afrique francophone », Denis Gnanzou, Docteur en gestion/Stratégie et RSE et M. Pierre Jacquemot, président de la commission RSE du CIAN A l’invitation du Carrefour des Acteurs Sociaux et du Partenariat Eurafricain et avec le parrainage du Conseil des Investisseurs en Afrique (CIAN) - Lieu : Organisation Internationale de la Francophonie, 19, Avenue Bosquet, Paris 17è - Rens. Joël Broquet 06 16 58 06 00 dircas@cas-france.org
vendredi 14 juin de 14h à 18h : Assemblée Générale d’Enda europe : Enda Europe fait partie du réseau international Enda (environnement, développement, action) dont le siège est à Dakar, Sénégal. Enda Europe appuie des actions sur 3 continents pour la protection de l’environnement et la justice sociale, sur le terrain, dans une démarche de recherche-action et d’influence sur les politiques publiques. Enda Europe agit aussi en Europe via des réseaux de plaidoyer sur les migrations et le développement, des campagnes d’éducation au développement et l’appui aux associations de migrants, d’étudiants et de jeunes diplômés étrangers. Programme 14h - 16h: Assemblée Générale statutaire (approbation des comptes, du rapport moral et d’activités, affectation du résultat comptable, validation du budget prévisionnel de 2013…). Cette session est réservée aux membres à jour de leur cotisation (bulletin d’adhésion ci-joint). - 16h à 18h : Présentation des actions appuyées par Enda Europe en Colombie et échanges autour du verre de l’amitié - Lieu : AGECA, 177 rue de Charonne, Paris 11è, M° Alexandre Dumas (ligne 2). - Rens. 01 44 93 87 40 contact@enda-europe.org www.enda-europe.org
vendredi 14 juin de 21h à 6h : soirée festive et métissée mêlant mode, musique et surprises en tous genres: la Big Bang Gang ! Pour fêter l'arrivée de la Collection "Afro in-up" de JuneShop. Ces créations confectionnées artisanalement au Cameroun font la part belle aux Tissus Wax pour une Mode Ethique, Ethnique, Ludique et Chic ! Des mélanges de couleurs et d’imprimés inédits, des vêtements confortables et fonctionnels au doux parfum rétro… La Mode et la Musique se rencontreront pour vous proposer un show éclectique et coloré! De Nelly Stan avec un mélange de Pop et de Soul. ET après le show, la soirée continue jusqu'au petit matin avec une team de Djs pour vous faire transpirer Djs: Uncle T, Pedro, Mika, Lord Issa, Sos - Paf : 12 € - Lieu : la Bellevilloise: 21 rue Boyer 75020 Paris 20è, M° Ménilmontant / Gambetta - Rens. : 06 61 10 78 21 contact@juneshop.net wwww.juneshop.net
samedi 15 juin de 14h à 17h30 : Présentation d'initiative pour l'Afrique et initiation au métier de la pâtisserie dans le cadre de la Journée International de l’Enfant Africain et la lutte contre le décrochage scolaire - Programme : mot de bienvenues par Emmanuel Maduda président de l'association un jeune, un métier (AJM), Projection d’un film sur l’Apprentissage des jeunes à Kinshasa (RDC), intervention de Nicol Bunga présidente de SICD, sur la Drépanocytose, intervention de Ventouse Mbala président de la PACOF sur l’apprentissage - à 14h15 : Initiation de la Pâtisserie et dégustation à 17h - Lieu : 181 av Daumesnil 75012 Paris 12è, M° Daumesnil ligne 8 direction Créteil - Rens. Inscription 06 72 54 63 34 unjeunemetier@yahoo.fr
samedi 15 juin de 14h à 18h : Journée sur la Casamance - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
samedi 15 et dimanche16 juin de 16 h à 19 h à Paris, stage en duo de danse de Guinée avec Maïmouna Bangoura et de danse sabar du Sénégal avec Bitty Mbaye Plou, à Micadanses, 15 et 20, rue Geoffroy-L'Asnier 75004 Paris. 35 et 60 euros. Stage tous niveaux accompagné par des musiciens. Contact : Association Polyphoniques / Maryse 06 14 38 81 11, mzal@club-internet.fr
samedi 15 juin : Projection de films : 16h : Films d’ateliers animés par l’ACERMA et La Structure : J’avais pas du tout pensé à ça de Sekou Diallo, Retour à l’école de Mamadou Gakou, Film de l’atelier « Les mots voyageurs » animé par Attention Chantier - 17h30 - Discussion autour des films d’ateliers en présence des réalisateurs et des coordinateurs (ACERMA – La Structure – Attention Chantier ) - 20h : l’heure du Thiep (riz sénégalais), Restauration payante - 22h : Projection des messages de « La Cabine à Déclarations d’Amours » enregistrés pendant la journée. Le Havre d’Aki Kaurismäki : Marcel Marx est cireur de chaussures au Havre. Le jour où un jeune garçon africain arrive clandestinement en cargo, Marx décide de le protéger et de le cacher. - Lieu : Foyer Bailly, 19, rue du Bailly, Saint-Denis, RER D, Stade de France ou RER B La Plaine - Rens.: infos @ attentionchantier.org http://www.attentionchantier.org/2013/05/18/programmation-5eme-festival-de-cine-des-foyers/
samedi 15 juin de 20h à 23h : Cours sur le droit des étrangers : Recours contentieux, les moyens - 1. Recevabilité et pertinence de la demande - 2. Légalité externe de l'acte, incompétence de l'auteur de l'acte et défaut de motivation du refus - 3. Légalité interne de l'acte, erreur de droit et erreur manifeste d'appréciation. - Lieu : Maison des Syndicats du campus de Jussieu, 23, quai Saint Bernard, Paris 5e, M° Jussieu Sully-Morland ou Cardinal-Lemoine - (parking gratuit sur place, accessibilité) (près Institut du Monde Arabe) - Inscription : 06 11 99 88 00 et intercapa@yahoo.com http://www.demosphere.eu/node/33496
dimanche 16 juin : La Tour Eiffel aux couleurs de l’Afrique du Sud : Pour marquer le volet français des Saisons Afrique du Sud - France 2012 & 2013 et de l’exposition consacrée à Nelson Mandela, grâce au soutien de la Ville de Paris en collaboration avec la Société d’Exploitation de la Tour Eiffel, la Tour Eiffel revêtira les couleurs de l’Afrique du Sud
dimanche 16 juin de 16h à 21h: 4eme édition du Concert caritatif "Drepaction 2013" - La Drépanocytose, tous concernés! l’une des maladies génétiques la plus répandue dans le monde, la drépanocytose c'est 20 000 malades et plus de 150 000 porteurs en France, 50 millions de personnes dans le monde et plus de 300 millions de personnes concernées sur notre planète. La drépanocytose est la maladie génétique la plus fréquente en Ile-de-France. Sous le Parrainage de Claudy Siar, avec Lilian Thuram, E.sy Kennenga, Krys, Marvin, Fally Ipupa, Medhy Custos, Axel Tony, Fanny J, Kery James, Leila Chicot, Magic System, Stony et bien d'autres… - Tarif 15€ 25€ en vente Fnac, Carrefour, …. - Lieu : le Zénith Paris-La Villette, 30, avenue Corentin Cariou, Paris 19è, M° Porte de Pantin - Rens. APIPD 01 40 10 02 49, 06 14 09 36 60 apipd@free.fr www.apipd.fr
lundi 17 juin à 17h30 : Pray the Devil back to Hell de Abigail E. Disney et Gini Reticker, (USA, 2008, 72 mn) - Cycle de projections-débats organisé en partenariat avec la BRA du CEMAf et la GIRAf (université Paris-1) sur le thème « Continent africain : regards de chercheurs, regards d’artistes, regards de journalistes ». Conférence animée par Mara Jorge, qui rédige un mémoire en master sur la résolution des conflits par l’Union Africaine, en présence de : • Hassatou BALDE, docteur en Droit, consultante sur des questions de paix et de sécurité et Jessica RANOHEFY, juriste, spécialiste en gestion des conflits - Lieu : Centre Mahler, 9 rue Malher, Paris 4è, M° Saint-Paul… Rens. 06 84 00 89 41
mercredi 19 juin de 18h à 20h : Cinquième rencontre-débat du cycle III « Valoriser et transformer les potentiels de l’Afrique en richesses réelles » : Secteurs financiers en Afrique : mobiliser épargnes et capitaux en faveur des investissements productifs ! Avec : M. Mamadou Bessane, Directeur Général, CBAO-Attijariwafa Bank France, Mme Sandrine Kabblan, Professeur d’économie, Maître de conférence à l’Université Paris-Créteil, Auteur du livre « Système bancaire en Afrique de l’Ouest », Mme Marie-Hélène Loison, Directrice Générale déléguée, PROPARCO (à confirmer) et Roland Portella, Vice-président de la CADE. - Lieu : Ecole Nationale d’Administration (ENA), amphithéâtre Parodi, 2, avenue de l'Observatoire - Paris 6ème, RER B : Luxembourg, Bus : 38 et 82 - Rens. cade@afrique-demain.org - Inscription sur le formulaire en accès sur http://www.afrique-demain.org/inscriptions
jeudi 20 de 9h à 20h et vendredi 21 juin de 9h à minuit : Colloque international "Yves Person" (1925-1982), Un historien de l’Afrique engagé dans son temps - Ouverture du Colloque par Philippe BOUTRY, Président de l’Université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne - Ce colloque international, à l’initiative de ses collègues et de ses anciens élèves, a pour objet d’effectuer un retour à Yves Person et à son œuvre d’historien de l’Afrique alliant à une exploitation rigoureuse des archives celle des sources orales. - en clôture dimanche à 20h Projection du film “Yves Person, un historien engagé” ; exposition mêlant des dessins sur Yves Person par les étudiants de l’école (projet pédagogique de l’année) et des photos d’archives d’Yves Person - Lieu : CEMAf Paris, 9 rue Mahler, Paris 4è - Rens. colloque.person@yahoo.comhttp://www.person.hypotheses.org http://www.cemaf.cnrs.fr/spip.php?article745
jeudi 20 juin de 13 à 15h : Séminaire "The Akosombo Dam and the ’Dream’ of Development in Ghana" avec Stephan Miescher (University of California, Santa Barbara) et "La ruine des certitudes. Sur quelques aspects du réel et de l’imaginaire dans l’Afrique urbaine" avec Thomas Fouquet (Sedet, Université Paris Diderot) - Séminaire lié à l’ANR Mereaf. Traces et lieux de mémoires de la recherche médicale en Afrique. Anthropologie des paysages, des ruines et des artefacts scientifiques - Lieu CEMAf-Paris / 9 rue Malher, Paris 4è, Salle Person - Rens. lachenal@univ-paris-diderot.fr et mbodj@free.fr http://www.cemaf.cnrs.fr/spip.php?article550
jeudi 20 juin de 14h à 18h : FORUM des Musiques africaines - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
jeudi 20 juin de 17h30 à 19h30 : Étudiants et régimes autoritaires au Cameroun et au Niger (1960-1980) : perspective comparative avec Cindy Morillas (Paris1, Cemaf) et Tania Smirnova (Paris1, Cemaf) - Dans le cadre du Séminaire ‘Circulations des cultures d’opposition, Mouvements politiques et sociaux en Afrique et Madagascar (années 60s-70s), - Lieu : bibliothèque 6e étage, Centre d’Histoire Sociale du 20e siècle, 9 rue Malher, Paris 4e, M° Saint Paul. - Rens. fblum@univ-paris1.fr http://www.cemaf.cnrs.fr/spip.php?article647
jeudi 20 juin, 19h : 46e Réunion du Collectif de Solidarité avec les Luttes Sociales et Politiques en Afrique, réunion de travail sur les élections en Afrique et les luttes sociales, écologiques, politiques. Ordre du jour : 1 an de Politique de développement + Madagascar avant les élections. Salle Commission 3 (exceptionnellement), Bourse du travail de Paris, 3 rue du châteaux d’eau, M° Bonsergent ou République - Rens. frip@no-log.orghttp://electionsafrique.org - http://www.survie-paris.org/calendrier-des-elections-en.html
jeudi 20 juin de 19h30 à 2h du matin : Soirée dansante en soutien à la Caravane solidaire 2013 et pour la promotion du tourisme responsable. Afterwork Humanitaire Give and Dance pour soutenir les actions pour le tourisme solidaire d'AfroTiga EcoBénin ! - Un buffet sera offert de 19h30 à 21h ! - Entrée-don de 15 euros minimum - lieu : Le O'Mantra, 7 rue Grégoire de Tours à Paris 6è, M° Odéon- Réservation 01 43 54 50 59 http://giveanddance.com/inscription
du vendredi 21 au dimanche 23 juin. 7ème édition de "Labo Ethnik" le rendez-vous n° 1 des créateurs du monde, au programme: Défilés de mode (sur réservation), Concours jeunes créateurs, conférence, expoventes, pause-beauté et bien d'autres surprises ! - Lieu : Espace des Blancs Manteaux, 4 rue vieille du Temple, Paris 4è - Rens. : 01 43 63 28 67 info@laboethnik.comdundjoe@gmail.comhttp://www.laboethnik.com www.gemeauxproduction.com
samedi 22 juin de 14h à 18h : Journée Djibouti - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
samedi 22 juin : Projection de Films et débats : 16h : Au bled de Stéphane Le Gall-Viliker: Massega, Lamine, Mam’s et Macerré sont des jeunes français issus de l’immigration. Venus des banlieues de France, ils ont été « envoyés au bled », le pays des origines, par leurs parents. Sanction ou protection ? Ils sont, à Kayes, au Mali, amenés à se déterminer : comment pensent-ils l’Afrique ? Que disent-ils de la France ? Pour poser le problème de la place de ces jeunes dans la société française, le réalisateur a choisi de partir au Mali rencontrer ces jeunes « Francos » confrontés à leur identité et à leurs projets d’avenir. - 17h : Débat « D’où viens-tu et où vas-tu ? Comment transmettre sa culture et ses valeurs quand on est migrant ? » - 20h : l’heure du Thiep (riz sénégalais) – Restauration payante - 22h : Ouaga Saga de Dany Kouyaté en présence de Jean-Denis Berenbaum, scénariste et producteur exécutif : Dans la capitale d’un pays d’Afrique, le Burkina Faso, une bande de jeunes tente de survivre et de prospérer face aux mille et une tentations. Aventures d’une bande de débrouillards, vivant dans un quartier démuni de Ouagadougou, qui cherchent des espoirs plus ou moins fous. L’astuce et l’ingéniosité compensent l’argent qui manque souvent. La tristesse est bannie d’un mode de vie résolument optimiste. Rapines et petits boulots constituent le quotidien de cette lutte pour la vie. Les uns réussiront modestement, les autres sombreront plus ou moins sans que, pour autant, ne se démente une grande solidarité de groupe… - Foyer Chevaleret, 63, rue du Chevaleret, Paris 13ème, M° Bibliothèque François-Mitterrand - Rens.: infos @ attentionchantier.org http://www.attentionchantier.org/2013/05/18/programmation-5eme-festival-de-cine-des-foyers/
samedi 22 juin à 20h : Concert Kouyaté et Oumou Sangaré - D’origine guinéenne, Mory Djeli Kouyaté descend de la plus ancienne dynastie des chanteurs/conteurs mandingues dont le rôle est de conserver les histoires et les mythes d’une société de tradition orale. La Malienne Oumou Sangaré, tout au contraire, symbolise l’évolution et l’ouverture qu’a connue la musique africaine ces vingt dernières années. Originaire de la région du Wassoulou, étrangère à la tradition griotique, elle est la voix la plus spectaculaire venue d’Afrique ces dernières années tant par sa puissance que par sa contribution à l’émancipation de la femme sur ce continent encore essentiellement patriarcal. - Tarif 25€ et 35€ - Lieu : Salle Pleyel, 252 rue du faubourg Saint-honoré, Paris 8è, M° Ternes ou Étoile - Rens. 01 42 56 13 13 http://www.sallepleyel.fr/francais/concert/12427-kouyate-rykiel--france--guinee--oumou-sangare--mali-
samedi 22 juin de 20h à 23h de 20h à 23h : Cours sur le droit des étrangers : Cours sur le droit des étrangers : Les droits et obligations des fonctionnaires - 1. Les fonctions publiques, statut général et continuité du service - 2. Les droits du fonctionnaire, individuels et collectif (syndical) - 3. Les obligations du fonctionnaire, service et manière de servir. - Lieu : Maison des Syndicats du campus de Jussieu, 23, quai Saint Bernard, Paris 5e, M° Jussieu Sully-Morland ou Cardinal-Lemoine - (parking gratuit sur place, accessibilité) (près Institut du Monde Arabe) - Inscription : 06 11 99 88 00 et intercapa@yahoo.com http://www.demosphere.eu/node/33496
jeudi 27 juin à 21h : Balade Poétique « Paroles de nègres » spectacle de et avec Amadou Gaye avec le regard complice de Gabriel Debray - « Dire la poésie à ma façon après avoir oxygéné le verbe dans la nature, les parcs. Trouver le rythme, mon phrasé à moi après des heures de marche dynamique et rayonnante. Voilà mon secret pour rendre l’interprétation de ces poèmes vivante et émouvante. Ce ne sont plus des poèmes que je dis ce sont des mots que je fais claquer, des mots que je vais chanter. Je suis au service de cette littérature à part entière qui appartient désormais - Tarif 13€ et 18€ - Lieu : théâtre de La Reine Blanche, 2 bis passage ruelle, Paris 18è, M° La Chapelle (l.2) ou M° Marx Dormoy (l. 12) - Rens. 01 42 05 47 31 Et réservations : 01 46 36 11 89 infos@le-local.netwww.le-local.net ou 01 40 05 06 96 http://www.reineblanche.com/agenda/theatre/page/2/
vendredi 28 juin de 19h à 21h : Conférence sur les grands lacs - Lieu : IREA (Institut de recherche et d'études africaine) c/o La maison de l'Afrique, 7 rue des Carmes, Paris 5è - Rens. 09.54.56.16.37 secretariat@irea-institut.org http://irea-institut.org/index.html
samedi 29 juin de 17 à 21h : Soirée théâtrale « Lumumba, l’incompris à comprendre» Mise en scène : Ventouse Mbala et Berto Malouona sur une idée de Hervé Kashama. Cette pièce décrit non seulement les échanges (négociations) entre la classe politique congolaise et l’administration coloniale Belge, mais aussi, les aspirations de Patrice Emery LUMUMBA pour le Congo et l’Afrique en général. En même temps Exposition de de Dédicaces de Serge Diantatu. Buffet africain à la fin du spectacle pour financer une structure de microfinance - Entrée de 10 à 17€ - Lieu : Salle Le Zebre de Belleville, 63, bd. Belleville, Paris 11è - Rens. 06 48 19 77 49 06.43.80.54.10 herve.kashama@yahoo.fr http://www.ingeta.com/lumumba-lincompris-a-comprendre%E2%80%8F-le-29-juin-2013-a-paris/
samedi 29 juin de 20h à 23h : Cours sur le droit des étrangers : Le droit disciplinaire - 1. Le contrôle de la manière de servir, harcèlement et rapports - 2. Les motifs de la procédure disciplinaire, communication du dossier et tenue de la séance disciplinaire - 3. Les sanctions disciplinaires dissimulées et effectives, révocation et licenciement, les voies de recours. - Lieu : Maison des Syndicats du campus de Jussieu, 23, quai Saint Bernard, Paris 5e, M° Jussieu Sully-Morland ou Cardinal-Lemoine - (parking gratuit sur place, accessibilité) (près Institut du Monde Arabe) - Inscription : 06 11 99 88 00 et intercapa@yahoo.com http://www.demosphere.eu/node/33496
samedi 29 juin de 20h30 à 22h30 : Concert de Gospel avec "Gospel Fire" Animé et dirigé par MELEK, auteur-compositeur d'origine camerounaise, Negro-spirituals classiques, Gospel moderne et Urbain sans oublier le Gospel africain autour de cette Chorale cosmopolite et multiculturelle. Gospel Fire chante en anglais et en bassa, une des langues du Cameroun - Libre participation - Lieu : Eglise des Batignolles, 44 blv des Batignolles, Paris 17è - Rens. Réservation 06 44 88 54 18 info@gospelfire-idc http://www.gospelfire-idc.com
Actions situées dans les Yvelines (78)
samedi 15 juin à 20h30 : Représentation de « Bonheur voyage » un spectacle tous publics à partir de 6/7 ans sur le thème des migrants et débat "Droits et migrants" - Bonheur, d’ordinaire paisible, non-violent, joyeux est forcé de quitter son pays pour survivre. Seul en mer, affamé, il désespère de n’obtenir aucun secours. Apparaît alors, remuée dans l’obscurité des vagues, une forme claire, il croit enfin pouvoir pêcher un gros poisson…, non, c’est une naufragée ! Y a-t-il de la place pour deux et pendant combien de temps sur son embarcation de fortune? Mais cette petite boat-people se révèle un précieux soutien, une aide magique, et fait avancer son radeau contre vents et marées. Spectacle soutenu par la LDH, ASAH et portail humanitaire avec la compagnie du Théâtre des Oiseaux dont la démarche a toujours été d’œuvrer pour un théâtre populaire de qualité et de proposer des spectacles intergénérationnels. - Lieu : Centre des arts et loisirs 14, route de Mantes à Buchelay (78) - Réservations : 01 30 92 57 74 - Rens. 01 30 94 51 64 theatredesoiseaux@wanadoo.fr www.theatredesoiseaux.fr
Actions situées dans les Hauts de Seine (92)
samedi 8, 15, 29 juin et samedi 6 juillet de 10h à 12h : Formation tresses africaines. Formation pour adulte ou enfant a partir de 12 ans. Pour les parents qui souhaitent entretenir la chevelure de leurs enfants, pour ceux qui souhaitent simplement apprendre à tresser. - Tarifs indiqué au premier rendez-vous en fonction des besoins exprimés - Lieu : espace Vinci au 11/13 Avenue Leonard de Vinci à Courbevoie (92) - Rens. 06 38 74 21 11 interculturelle@ymail.com http://www.passerelleinterculturelle.org
lundi 10 juin à 19h30 : Conférence débat sur les paradis fiscaux par Gérard Gourguechon, du Conseil Scientifique d' Attac, Inspecteur des impôts et syndicaliste français. Réunion de l'association Attac animée par Annie Reynaud - Lieu : 6 rue Adam Ledoux à Courbevoie, quartier Charras à 200m de la Gare de Courbevoie, ou Bus 275 à partir de la Défense - Rens. 06 74 10 30 72 annie.reynaud@bbox.fr ou jp.vanhoove@wanadoo.fr
samedi 15 juin de 10h à 14h : Préparation de la rentrée scolaire 2013-2014 pour les enfants réfugiés ou déscolarisés. T hème : Application de la Convention Internationale des droits de l'enfant en Afrique. Cas de la Côte d'Ivoire, La Lybie, Guinée Bisau Le Mali, Le Togo , le Kivu , Madagascar etc., … - Lieu : 6 rue Adam Ledoux à Courbevoie, quartier Charras à 200m de la Gare de Courbevoie, ou Bus 275 à partir de la Défense - Rens. Mathilde Thepault, Association Halte aux Génocides-Mémoire et Justice 07 78 87 23 88 mathilde.thepault@free.fr
jeudi 20 juin de 19h30 à 22h : Réunion de réflexion sur Le lourd tribut payé par les femmes dans les luttes d'Emancipation des peuples, Cas de Simone Gbagbo et de Winnie Mandela - Lieu : 6 rue Adam Ledoux à Courbevoie, quartier Charras à 200m de la Gare de Courbevoie, ou Bus 275 à partir de la Défense - Rens. Association Halte aux Génocides-Mémoire et Justice HGMJ : Mathilde Thepault 07 78 87 23 88, Célestine Dabah 06 52 23 00 23, Rachel 06 98 18 82 14 07 78 87 23 88 mathilde.thepault@free.fr
mercredi 26 juin de 10h à 12h et de 14h à 16h : Collecte de fournitures et livres au profit d'un internat situé au Bénin : L’année vient de finir et bientôt le départ en vacances ! Certaines fournitures ou vêtements ne vous serviront peut être plus l’année prochaine mais peuvent aider des personnes dans le besoin. L’association Passerelle Interculturelle apporte son soutien aux enfants du Foyer internat et Ecole d’Akpassi au Bénin pour l’amélioration des conditions de vie et de formation des enfants. 350 enfants de 5 à 15 ans : 30 internes garçons, 320 externes dont 159 filles et 161 garçons sont demandeurs de cahiers, classeurs, livres d’école, de lecture, de philosophie, stylos,….. en bon état - Lieu : Vie associative, Espace Alma, 38bis rue de l’Alma à Courbevoie - Contact : Association passerelle Interculturelle 06.38.74.21.11 contactapi@passerelleinterculturelle.orginterculturelle@ymail.com www.passerelleinterculturelle.org
jeudi 27 et vendredi 28 juin de 9h à 18h Colloque inaugural du DIM « Genre, inégalités, discriminations » Le réseau « Genre, inégalités, discriminations » (GID) est l'un des 16 « domaines d'intérêt majeur » (DIM) financés par la région Île-de-France sur la période 2012-2015. Il réunit deux groupements de scientifiques franciliens : l'Institut Émilie du Châtelet (IEC) et l'Alliance de recherche sur les discriminations (ARDIS). Le premier traite des questions de genre dans l'ensemble du champ scientifique, le second étudie les discriminations à la lumière de quatre disciplines : droit, économie, sociologie et science politique. Lier ces deux approches est le défi qu'entend relever le colloque « Genre et discriminations ». - Lieu : Université Paris Ouest Nanterre La Défense, 200, Avenue de la République à Nanterre - Bâtiment S, Amphithéâtre S 1 - Coordinatrice Sylvie Blumenkrantz http://economix.fr/ : colloquegid2012@gmail.com - Inscription obligatoire avant le 17 juin sur http://economix.fr/formulaires/genre/registration.html
Actions situées en Seine St Denis (93)
jusqu'au 15 juin, mardi, jeudi, vendredi et samedi de 14h à 19h Expo : Influences africaines - L'exposition pluridisciplinaire "Influences Africaines" présente le travail d'artistes qui affirment une inspiration africaine dans leur processus de création, quelles que soient leurs origines. Peintures, photos, gravures, performances... des créations de quatre artistes influencés par le continent africain. Avec le photographe Stevan Lebras sur les lutteurs sénégalais, les gravures de portraits de Flore Brondeau, le live-painting d'Ernesto Novo, une performance de Désiré Amani, artiste et professeur d'art originaire de la Côte d'Ivoire. - le 2 mai, jour de l'inauguration de l'exposition, lors duquel vous pourrez sûrement échanger avec les artistes et le 4 mai, jour de la performance de Désiré Amani. - Lieu : BAB's Galerie, 83 rue Sadi-Carnot à Bagnolet (93) - Rens. : 06 52 58 57 42 http://www.ville-bagnolet.fr/index.php/lire/events/babs-gallery-influences-africaines-466.html
samedi 1er juin 17h30 : Projection de Habiter /Construire de Clémence Ancelin, 2012, 117’, France, Dans l’est du Tchad, en plein Sahel, une société française construit une route rectiligne et bitumée à travers la brousse. Nomades, villageois, cadres africains, ouvriers, commerçants et expatriés français : tous ces différents groupes humains coexistent le temps du chantier. En présence de la réalisatrice (sous réserve). La projection sera suivie d’un débat animé par Michèle Soulignac (Périphérie). De 20h à 21h nous vous offrons un verre et Fatou Traiteur vous proposera par ailleurs des mets africains concoctés pour l’occasion. - Tarif : 3,50€ - Lieu : Au Magic cinéma, rue du Chemin Vert à Bobigny, M° bus, tram: Bobigny Pablo Picasso, Parking Centre commercial niveau 0 - Rens. 01 41 60 12 34 residences.diffusion@gmail.com www.peripherie.asso.fr
samedi 1er juin à 21h : projection en avant-première de "On vient pour la visite" De Lucie Tourette, 2013, 58’, France, Prod. Asplan - Vez Film - Des sans-papiers gagnent leur régularisation : une grève inédite filmée de l’intérieur. En situation irrégulière, Mohamed, Diallo, Hamet travaillent depuis des années dans la restauration, le nettoyage ou le bâtiment. En 2009, ils se mettent en grève pour obtenir leur régularisation. Ils investissent toute leur énergie dans cette bataille : une fois leur clandestinité révélée au grand jour, impossible de revenir en arrière. En présence de l’équipe du film. La projection sera suivie d’un débat animé par Tangui Perron (Périphérie). - Tarif : 3,50€ - Lieu : Au Magic cinéma, rue du Chemin Vert à Bobigny, M° bus, tram: Bobigny Pablo Picasso, Parking Centre commercial niveau 0 - Rens. 01 41 60 12 34 residences.diffusion@gmail.com www.peripherie.asso.fr
tous les jeudis de 20h à 22h : Cours de chant Gospel animé par l’auteur compositeur interprète Melek au cœur de la chorale Gospel Fire de Montreuil - Lieu: Mpt Pottier, salle Coluche, Centre commercial Les Arcades, juste à côté de la salle de cinéma UGC, 111 rue de la Plazza à Noisy le Grand (93) - Rens. Emmanuel Blaise MBEA 06 66 94 89 34, 09 50 63 84 33, emmanuel_consulting@yahoo.fr, ou Association IDC, Melek 06 44 88 54 18 melek@gospelfire-idc http://www.gospelfire-idc.com
mardis 4, 11, 18 juin de 18h30 à 21h30 : Formations proposées par Via le monde "Réussir son projet de solidarité internationale de l’idée au financement" - Dans le cadre du Programme de formations à destination des porteurs de projets de solidarité internationale de Seine-Saint-Denis - Lieu : Via le monde, Immeuble Erik Satie - 7ème étage, 7-11, rue Erik Satie à Bobigny (93). M° Ligne 5, arrêt « Bobigny Pablo Picasso » - Rens. Inscriptions "Via le monde" 01.41.60.89.17 pschaub@cg93.fr http://www.vialemonde93.net/IMG/pdf/Programme_-_Reussir_son_projet_-_5_soirees.pdf
jeudi 6 et vendredi 7 juin de 9h30 à 17h : Formations de 2 jours proposées par Via le monde "Dimensionner et préparer son évaluation" (pour les porteurs de projet expérimentés et ayant assimilé le cursus « Réussir son projet ») - Dans le cadre du Programme de formations à destination des porteurs de projets de solidarité internationale de Seine-Saint-Denis - Lieu : Via le monde, Immeuble Erik Satie - 7ème étage, 7-11, rue Erik Satie à Bobigny (93). M° Ligne 5, arrêt « Bobigny Pablo Picasso » - Rens. Inscriptions "Via le monde" 01.41.60.89.17 pschaub@cg93.fr www.vialemonde93.net
vendredi 7 juin de 14h à 16h : «Rythme de l’enfant et rythmes scolaires, une équation compliquée ? » Organisé par l'association Tostan. Tostan France est né au Sénégal, où Tostan est enraciné et développe depuis plus de vingt ans un programme d’éducation de base en langues nationales. L’ouverture d’un bureau en France en 2007 est le fruit de l’expérience de Tostan sur le terrain et le résultat d’un besoin lié aux évolutions humaines : étendre ce modèle de développement né au cœur de l’Afrique en y impliquant la diaspora d’Europe. - Lieu : antenne de quartier Jules Verne, 65 rue Edouard Branly à Montreuil, M° Mairie de Montreuil, sortie av Pasteur - Bus 121 ou 102 arrêt E. Branly depuis la Mairie de Montreuil - Réservation 06 35 37 00 03, 01 55 86 30 29 contact@tostanfrance.fr
mercredi 15 juin de 21h à l'aube : Soirée dansante Africaine : A l'approche de l'été, la Diaspora Togolaise en France vous invite à une grande soirée dansante Africaine, animée par le club Kékéli - PAF 15€ avec une consommation - Lieu : 75, rue Auguste Blanqui à Drancy (93), salle des fêtes de la gendarmerie, Bus 151 de la porte de Pantin (ligne 5), Arrêt, Edouard Lievin - 20 mn de Paris par voiture - Rens. : 06 37 38 70 10 azedede3@gmail.com
jeudi 20 juin à partir de 14h15 : Après-midi d'échanges sur les séjours solidaires à destination d'un public Jeune. Il s'adresse directement aux organisateurs d'échanges de jeunes à l'international : associations de solidarité internationale, services municipaux de Jeunesse ou Relations Internationales, centres sociaux-culturels, jeunes eux-mêmes souhaitant découvrir le monde… Comment mener à bien des séjours qui ont du sens, ouverts à l'autre, respectueux des partenaires locaux? … Le programme s'articulera autour du témoignage d'une ville du département de la Seine-Saint-Denis, et du savoir-faire de l'association Grandir Ailleurs, basée à Noisy-le-Grand, spécialisée dans la mobilité internationale de jeunes et d'adultes. Des exemples d'animations et des ressources seront également présentées. - Lieu : Immeuble Diderot (anciens locaux de Via le monde), 2 bis, rue Pablo Picasso à Bobigny (93), M° Ligne 5, Tramway ligne 1, Bus: 134, 347, 146, 148, 234, 251, 322, 303 - Inscriptions à demander à vialemonde@cg93.fr - Rens. 01.41.60.89.17 pschaub@cg93.f www.vialemonde93.net
samedi 22 juin de 14h à 22h : Conférence sur la consommation responsable organisé par Andine, films, stands, buvette, concerts. Espace enfants. De 14h30 à 16h : Conférence de Jacques Lefort: Alimentation et société (Inscription préalable par téléphone ou email, voir l'invitation spéciale ci-jointe). 15h: Films, stands, buvette, espace enfants, 18h30: Concerts, 19h30: Dîner collectif. 12€, une boisson comprise. - Lieu : les locaux de Andines, 5 rue de la Poterie à Saint Denis (93) - Réservation : 01 48 20 48 60 andines@nnx.com - Rens. www.andines.com
samedi 22 juin de 21h à l'aube : Dîner gala pour le financement de "ADEWE prépare Duekoué 2014" : L'association pour le développement du Wê (ADEWE) lance son opération: DUEKOUE 2014 - PAF 30€ 50€ (couple). - Lieu : Espace Moulin Basset à Saint Denis (93) - Rens. Philippe Kouhon pkouhon@gmail.com
samedi 29 juin : Projection de Films et Concert : 16h : Les États-Unis d’Afrique de Yanick Létourneau : la quête de Didier Awadi, un pionnier du hip hop africain, - 17h30 Débat animé et retransmis par REC, La Radio des Foyers. « Indépendances, mon amour ? » avec les associations Survie et Sortir du Colonialisme - 19h30 : Concert pimenté de Pytshen’s Kambilo - 21h : l’heure du Thiep (riz sénégalais) – Restauration payante - 22h : Rencontre en ligne d’Adama Roamba : Entre Franck et Myriam, l’amour est mort ; il a tourné à la haine. Le couple ne s’adresse plus la parole, mais, bien obligé, vit toujours sous le même toit. Franck et Myriam ne communiquent plus qu’en s’écrivant des messages sur la glace de la salle de bain… - Puis - Quartier Mozart de Jean-Pierre Bekolo : Cameroun, 1992, 1h19, Fiction dramatique : Une fillette répondant au nom de Chef de Quartier est, au goût de la sorcière Mam Thecla, un peu trop curieuse pour son âge. Celle-ci, pour la punir, décide de la transformer en jeune homme ; et c’est ainsi que commencent ses mésaventures. - Foyer Allemane, 1, rue Jean Allemane à Rosny-Sous-Bois (93), RER E, Rosny Bois-Perrier ou M°9 mairie de Montreuil puis bus 121 arrêt Grand Verger - Rens.: infos @ attentionchantier.org http://www.attentionchantier.org/2013/05/18/programmation-5eme-festival-de-cine-des-foyers/
Actions situées dans le Val de Marne (94)
samedi 1er juin de 15h à 18h : Bal Afro-contemporaine accompagnée par de la kora et du doundoun par Boubacar Sissoko (frère de Ballakè Sissoko), et soutenu par le doudoun de Dramane Sissoko. Ces trois heures de danse partagée sont ouvertes à tous, débutant comme initié, amateur de toute danse confondue. "On va travailler sur un répertoire "traditionnel" puis on va l'étirer, le bousculer, le chahuter afin de SE trouver à l'intérieur... Trouver sa propre danse et avancer petit à petit vers un travail d'improvisation..." PAF 35€ - Lieu Salle des longs sillons, 21, rue Barbès à Ivry Sur Seine (94) - Inscriptions : association Coulée D'Art 07 77 07 97 08 contact@couleedart.fr www.couleedart.fr
samedi 1er juin à partir de 18h : Soirée " Nuit du Mali ", Musiques et arts de la parole - La Scène Watteau termine sa saison culturelle en beauté en proposant une Nuit du Mali avec le célèbre griot joueur de n'goni malien Moriba Koïta et le groupe afro-jazz Chasseur. - Moriba Koïta, grand griot malien, est le digne représentant d’une culture où la musique est aussi vitale que manger, boire ou dormir. - Chasseur, c’est une rencontre d’Adama Coulibaly, issu d’une famille de chasseurs-cultivateurs ma
Le lancement officiel du projet de plantation de la société malaisienne a eu lieu le 30 mai, en présence du président de la République, Denis Sassou N'Guesso, de plusieurs membres du gouvernement ainsi que des autorités locales des départements concernés
Moyennant un périmètre de terrain de 180 000 hectares, en partie défriché, acquis auprès de l'État congolais, la société malaisienne Atama Plantation va développer une grande palmeraie dans la zone forestière située entre la localité de Yengo, dans la Sangha, et la rivière Mambili dans la Cuvette, au Nord-Congo.
Lors de la cérémonie, le directeur général d'Atama Plantation, Kiang Ming, a présenté le processus de développement des activités de sa société tournée vers la production de l'huile rouge. Le projet s'exécutera en trois phases, jusqu'en 2016-2017, période effective de production. La première phase, allant de 2013 à 2014, couvrira le planting de palmiers à huile sur 2 000 hectares qui arriveront à maturité au bout de trois ans. À terme, Atama Plantation installera neuf unités de transformation pour alimenter le marché congolais et conquérir l'extérieur. Ces unités desserviront la Zone économique spéciale Oyo-Ollombo en cours de création. « Pour la phase de démarrage des travaux, a déclaré son directeur général, Atama Plantation a déjà investi 15 milliards FCFA pour les équipements divers, l'aménagement et le bitumage de routes menant vers les zones d'activités, et quelque 400 hectares sont plantés depuis le mois de mars. À ce jour, 240 Congolais et 89 expatriés sont employés par la société », a-t-il indiqué.
Kiang Ming a par ailleurs salué la disponibilité dont a fait montre le gouvernement congolais au long des quatre années de pourparlers qui ont abouti à la conclusion de l'accord entre les deux parties. Il s'est dit confiant du fait de la stabilité du pays et de l'engagement des plus hautes autorités congolaises à préserver les investissements d'Atama Plantation.
À son tour, le ministre de l'Agriculture et de l'Élevage, Rigobert Maboundou, a loué la place que le Congo fait à l'investissement privé, considérant que cela concrétise la volonté du gouvernement de diversifier l'économie nationale. Armand Adolphe Iloki, le sous-préfet de Mokeko, circonscription administrative dont dépend Yengo, a fait part de l'impatience de ses administrés de voir le projet couronné de succès.
Marquant le clou de la cérémonie, le président de la République a procédé au planting d'un palmier. Le même geste a été accompli par les officiels présents sur les lieux.
Photo 1 : Le site choisi par la société malaisienne.
Photo 2 : Le chef de l'État plante solennellement un palmier.
Gankama N'siah
©Les Dépêches de Brazzaville
Impact sur la santé des acides gras saturés
Avec sa forte concentration en acides gras saturés, l’huile de palme a remplacée les autres huiles végétales dans de nombreuses recettes industrielles, permettant d’éviter de recourir à l’hydrogénisation qui créait des acides gras insaturés trans reconnus comme contribuant aux maladies cardio vasculaire en augmentant le taux de mauvais cholestérol (LDL-cholestérol) tout en diminuant le taux de bon cholestérol (HDL-cholestérol).
Toutefois, les dangers de l'huile de palme pour la santé sont de plus en plus évoqués. Un lien statistique existe entre le taux d'acides gras saturés dans l'alimentation, l'hypercholestérolémie et la surmortalité des Occidentaux par maladie cardio-vasculaire si les proportions idéales entre les différents types d'acides gras ne sont pas respectées dans l'alimentation. Les acides gras saturés (dont l’huile de palme est à moitié composée) augmentent le taux de mauvais cholestérol (LDL-cholestérol) dans le sang et peut entraîner des risques cardiovasculaires. NDLR : Doit-on considérer que le très fort taux d’AVC constaté au Congo est, au moins en partie, dû à la grosse consommation d’huile de palme des populations locales ?
Cependant, contrairement aux acides gras trans, les acides gras saturés augmentent aussi le bon cholestérol (HDL-cholestérol).
Pour certains, c'est un danger d'autant plus insidieux que d'une part, les instances de santé ont surtout mis en garde la population contre les gras d'origine animale dans la prévention du cholestérol, et que d'autre part, il n'y a pas à ce stade d'obligation d'affichage (l'huile de palme figurant le plus souvent dans les compositions des aliments sous la discrète mention d'« huile végétale »).
La présence de l’huile de palme dans le lait artificiel en poudre pour bébé inquiète particulièrement. Toutefois, les nourrissons ont un besoin particulier d’acides gras saturés. La composition de l’huile de palme avec 50% d’acides gras saturés est proche de celui du lait maternel. Malgré cette composition, l'adsorption des acides gras n'est pas identique entre l'huile de palme et le lait et l'huile de palme réduit l’absorption de calcium.
Conséquences de la production sur la biodiversité
Déjà au cours des XIXe et XXe siècles, les forêts des principales régions productrices (Malaisie, Indonésie, Bornéo et Sumatra) se sont vues réduites de 90 %. Les responsables sont toujours l’urbanisation, le bois exotiques et le papier (préalable fréquent aux palmeraies), la riziculture et plus récemment les palmeraies. Selon un rapport du FAO, cela représenterait au global 17% à 27% des déforestations en Indonésie et 80 % en Malaisie. NDLR : C’est pourtant aux Malaisiens que viennent d’être concédées les terres de la Sangha destinées aux palmeraies.
Cette destruction de forêts tropicales et de tourbières (ces dernières étant des puits à carbone) aurait ainsi pour conséquences une augmentation des rejets de gaz à effet de serre, et serait même responsable de 70% des gaz à effet de serre produits par l'Indonésie, troisième émetteur de CO2 au monde, selon l'ONU.
Cela impacte aussi la biodiversité, par la réduction du milieu de vie de nombreuses espèces endémiques et/ou protégées comme l'orang-outan. Chaque année, environ 5 000 de ces grands singes seraient victimes de l'exploitation des palmeraies. En 2007 on estimait que 98 % des forêts humides indonésiennes, habitat naturel des orangs-outans, auraient disparus en 2022. NDLR : Devons nous prendre le risque qu’au Congo les mêmes causes produisent les mêmes effets ?
Débat sur le boycott de l’huile de palme
Face aux problématiques liées à l'huile de palme, certaines marques ont engagé des recherches pour changer les formulations de leurs produits. Dans certains cas, des opérations de communications ont été mises en place pour annoncer l’arrêt de l’usage de l’huile de palme ou encore d’ajouter des étiquettes « Ce produit ne contient pas d'huile de palme ».
En 2010, la marque Casino annonce qu'elle cesse d'inclure cette huile dans ses produits alimentaires, en raison de ses risques pour la santé et de son impact sur l'environnement. La marque de biscuits et de pâtisseries St-Michel s'est également engagée sur le « zéro huile de palme » dans ses recettes à horizon fin 201039.
Ces pratiques ont été dénoncées par les pays producteurs, notamment la Malaisie qui souligne qu’elle «s’est engagée à conserver une couverture forestière sur 50% de son territoire, en dédiant 24% à l’agriculture. Par contraste, la forêt ne couvre que 24% du territoire en France mais les terres agricoles en occupent plus de 50%». Cet argument est à mettre en perspective, la Malaisie et l'Indonésie font face à une déforestation rapide et récente, comparativement à la France qui voit les surfaces de ses forêts augmenter.
Engagé sur cette même voie, Système U a été condamné en décembre 2012 à retirer une publicité contre l'huile de palme au motif qu'elle constituait "un dénigrement caractérisé au préjudice" du produit. À l'origine de la plainte, l'Association Interprofessionnelle de la filière Palmier à Huile de Côte d'Ivoire (AIPH) estimait que la campagne avait été lancée « sans conviction écologique aucune, ni analyse scientifique sérieuse ».
Le boycott simple de l'huile de palme n’est pas encouragé par Greenpeace, qui indique « nous n'avons jamais demandé que l'on boycotte l'huile de palme en général, mais seulement celle produite en ayant recours à la déforestation » et ajoute « l'angle nutritionnel n'a émergé vraiment qu'à partir de 2009, et seulement en France, quand certaines entreprises, notamment des distributeurs, ont compris qu'il y avait un intérêt commercial et en termes d'image à ne plus utiliser d'huile de palme dans leurs produits ». À ce titre, l'ONG a mis en avant des exploitations durables.
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Deux engins ont été percutés ce vendredi 31 mai par un grumier appartenant à la société United Transport Africa (UTA) sur le boulevard de Sounda, dans le deuxième arrondissement, Mvou-Mvou
L'accident a fait plusieurs blessés, dont un motocycliste qui serait dans un état grave et qui a transporté dans l'hôpital le plus proche. Informées, les autorités civiles et militaires de Mvou-Mvou se sont déployées sur les lieux.
L'inquiétude et la psychose gagnent la population ponténégrine à chaque passage de grumier. La semaine dernière, un grumier de la même compagnie avait causé des morts, des blessés graves et des dégâts matériels dans le quartier Nkouikou, aux environs de 17 heures, à la suite d'une défaillance mécanique à la hauteur de la pâtisserie Le Denisia.
Ces accidents posent une nouvelle fois le problème de la circulation des poids lourds dans la ville. Il devient urgent que les autorités municipales et les différentes sociétés de transport trouvent une solution, par exemple, en imposant des itinéraires réduisant les risques.
Séverin Ibara
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Crédits vertigineux, promesses d'investissements, chantiers pharaoniques... Pour garantir son accès aux matières premières, la Chine n'hésite pas à courtiser les dirigeants des pays africains. A travers l'exemple du Congo, ancien pilier de la Françafrique, ce documentaire analyse la conquête du continent noir par l'empire du Milieu.
En 2006, la Chine organise le premier sommet sur la coopération sino-africaine. Quarante-huit chefs d'Etat sur les cinquante-trois que compte le continent noir acceptent l'invitation. Loin du regard occidental, le gouvernement de Pékin propose à l'ensemble des dirigeants présents des investissements massifs contre des matières premières. Pour vaincre les résistances éventuelles, les Chinois brandissent les principes de non-ingérence et multiplient les marques de respect à l'égard de leurs hôtes. L'alliance est scellée et le sommet s'achève apparemment sur une réussite. La Chine a ainsi promis d'investir 20 milliards de dollars en trois ans et de faire passer le commerce bilatéral de 50 à 100 milliards de dollars avant 2010 !
Implantation ou exploitation ?
Depuis quelques années, la présence chinoise s'intensifie partout en Afrique. Comme, par exemple, en République du Congo, détruite par les guerres civiles de 1992 et 1997. Dans ce pays situé dans le bassin du fleuve Congo, qui abrite la deuxième forêt au monde après l'Amazonie, et riche en bois, en pétrole et en minerai, tout est à reconstruire. Les compagnies pétrolières occidentales y sont bien implantées et donc pas faciles à déloger. Alors, les entreprises chinoises, encouragées par les tournées africaines de leur Premier ministre, occupent le terrain là où elles le peuvent. Elles répondent et gagnent des centaines d'appels d'offres. Routes, barrages ou immeubles, réseaux d'eau... A Brazzaville ou ailleurs, les constructions et les infrastructures portent la signature chinoise. Au grand dam des ouvriers congolais, qui supportent difficilement le mépris des Asiatiques : « Ils paient mal les ouvriers. La somme journalière, c'est 2 000 francs CFA (3 euros), il n'y a rien qui reste. Avec les Belges ou les Anglais, j'avais un contrat indéterminé, alors j'avais toutes les garanties du monde, disons. Pour moi, les Chinois sont bizarres, mais on est contraints de bosser avec eux... et puis on nous injurie parfois, on est humiliés, on nous considère vraiment comme des singes...» Les beaux discours des hommes politiques se heurtent ici comme partout aux réalités de la vie. Mais il n'y a pas que les grandes entreprises d'Etat qui s'installent en Afrique. Arrivée au Congo en 2000, comme nombre de ses compatriotes, Jessica Yé a commencé par ouvrir un petit commerce. Depuis, elle a fait venir 80 membres de sa famille, avec lesquels elle a diversifié ses activités et bâti un véritable empire : restaurants, magasins, usines, exploitation forestière... Pour faire progresser les affaires, Jessica et son mari, Philippe, ancien correspondant de l'agence Chine nouvelle, se sont appuyés sur leurs proches. Ils se sont également servi des relations nouées avec les personnalités économiques et politiques du pays. Si Jessica et les siens semblent bien intégrés au Congo et respectent les lois locales, tel n'est pas le cas de tout le monde.
Une omniprésence gênante et discutable
Des ONG se battent au quotidien pour la préservation de la nature. Membre de WCS (Wildlife Conservation Society), Hilde Van Leeuwe croit que « les sociétés chinoises sont pires que les américaines ou européennes. Dans notre culture, la notion de pollution de l'environnement est beaucoup plus intégrée. Même sans règles, les sociétés françaises, etc. font un effort pour limiter l'impact sur l'environnement, ce n'est pas quelque chose qu'on voit avec les Chinois». Cela va plus loin. Les pêcheurs congolais dénoncent la pêche intensive pratiquée par les chalutiers asiatiques : « Il faut quand même laisser le temps au poisson de se reproduire. Les Chinois, ils sont venus simplement pour tout détruire et repartir chez eux. Ils sont venus nous appauvrir.» Marcel Mounea, un jeune chef d'entreprise, n'est pas loin de partager les craintes de ses concitoyens, même s'il entretient des échanges commerciaux avec Pékin : « L'Afrique se dirige vers celui qui lui tend la main — et actuellement c'est la politique de la Chine — mais reste à savoir si cette main est noble ou pas. Je ne connais pas leurs intentions, mais je me dis qu'il faut qu'on fasse très attention. On a fait des erreurs au départ avec les Occidentaux, on ne veut pas les refaire avec la Chine.»