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Le haut débit disponible au Congo ? Pas pour tout le monde...

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Depuis son arrivée, en 2007 (sauf erreur), au ministère des postes et télécommunications, le chargé des technologies de la communication, Thierry Moungalla, nous promet l'imminence de la mise en service du haut débit au Congo. Sans cesse repoussée pour des raisons diverses mais toujours affirmées comme parfaitement normales, la disponibilité de cet outil indispensable aux activités commerciales comme à l'information des particuliers se fait attendre. Aussi, quand l'organe de presse N°1 de la République 'Les Dépêches de Brazzaville" fait le 17 juillet courant sa une en pleine largeur titrant : "Le haut débit désormais disponible au Congo", nous nous réjouissons.

Nous tentons aussitôtde nous connecter au site de Congo Télécom, inauguré en grande pompes voici peu. Hélas, l'adresse n'a jamais été rendue publique (inclus dans les nombreux reportages publiés dans les médias écrits et audio visuels) et une recherche sur Google ne nous permet pas de le le dénicher. En desespoir de cause, nous nous rendons chez Congo Télécom, sinon pour souscrire, du moins pour nous enquerir des conditions générales d'installation, abonnement et consommation.

Constat terrible et affligeant : le personnel de Congo Télécom à Pointe-Noire n'est pas au courant et il n'a nullement été formé à la commercialisation d'un produit qu'il ignore. Quand donc cette société sera-t-elle gérée comme une entreprise et non plus comme une agence de placement de fonctionnaires incompétents, totalement désintéressés par leur job et les produits qu'ils sont supposés promouvoir et commercialiser ?

 

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On peut lire en encadré l'article paru dans "Les Dépêches de Brazzaville"

Les locaux de l'opérateur national n'ont pas évolué depuis notre dernière visite, pas plus que l'intérêt que prennent les agents au travail qu'ils ont en charge, et on nous fournit un tarif vieux de six mois sur une vilaine photocopie raturée pas différente de celle qui nous avait été fournie voici plus d'un an et qui stipule :

Offres professionnelles
Avec ligne : Frais kit de connexion 5 000FCFA
Sans ligne :
- Frais d'étude : 10 000FCFA
- Frais d'installation de la ligne : 41 645FCFA
- Location (mot rayé remplacé par achat) modem Wifi : 5 000FCFA
Plus un mois prépaid selon le débit souscrit
Débit - Prix HT - Prix TTC
256/128 - 149 000 / 177 161
512/256 - 249 000 / 296 000
1024/512 - 565 000 / 671 785
2048/512 - 877 000 / 1 042 752
 
Offres résidentielles
Avec ligne : Frais kit de connexion 5 000FCFA
Sans ligne :
- Frais d'étude d'éligibilité : 10 000FCFA
- Frais d'installation de la ligne : 41 645FCFA
- Location modem Wifi : 5 000FCFA
Plus un mois prépaid selon le débit souscrit
Débit - Prix HT - Prix TTC
128/64 - 35 000 / 41 615
256/64 - 59 000 / 70 151
512/128 - 239 000 / 284 171
2048/512 - 798 000 / 948 822
 
La DMSE, la DCM et la DZA sont chargés de l'applicatoin stricte desdits tarifs.
 
Fait à Pointe-Noire le 24 janvier 2013
L'Administrateur Général
AKOUALA

Nous supposons qu'au chapitre Débit, les valeurs annoncées sont la fourchette à l'intérieur de laquelle seront fournies les connexions, ce qui revient à dire que l'usager ayant souscrit un abonnement pour du 2048 à près de 950 000XAF  et qui ne reçoit que du 512, n'a que le droit de se taire.

En mars dernier, dans un débat dans un groupe Facebook dont la vedette était Thierry Moungalla, je poussais ce coup de gueule :

Thierry, le sujet FO nous fatigue au point que nous ne croyons plus en sa mise en service. 
J'étais à tes côtés pour l'atterrage du câble, encore près de toi à la station terminale, à chaque fois tu dis ça y est ça va marcher et comme sœur Anne nous ne voyons rien venir. Tout ça traine lamentablement comme si on avait investi seulement pour faire croire que...
Tous les ans tu m'as dit : c'est bon c'est pour la fin de l'année. Aurais-tu simplement oublié de me dire laquelle ?
Qu'est-ce qui se passe ?
Où est le goulot d'étranglement?
Le déploiement est du ressort de la DGGT est-ce là que ça coince ?
Nous sommes connectés au meilleur réseau africain mais le jour où l'info passera dedans il sera obsolète et nous n'en aurons même pas profité.

Quatre mois plus tard et malgré les effets d'annonce on est toujours dans l'attente.

Une seule chose est avérée à ce jour : le haut débit n'est toujours pas accessible par le plus grand nombre au Congo.

POURQUOI ?


Le vade-mecum du parfait tricheur ou comment gagner facilement les élections au Congo (par MMZ)

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 Pertinentes impertinences

Ce n’est qu’aujourd’hui que l’honorable Mabio Mavoungou Zinga, député de Loandjili, nous a fait parvenir le pamphlet qu’il a fait paraître en mai 2013 dans un opuscule insolemment titré :

Le vade-mecum du parfait tricheur ou comment gagner facilement les élections au Congo

Nous ne pouvons résister au plaisir de vous faire part de la dédicace qu’il a eu la gentillesse d’apposer sur notre exemplaire et dont vous pourrez apprécier tout le sens, après lecture du texte qu’il nous a autorisés à mettre en ligne en intégralité :

« Le courage, ce n’est pas l’absence de peur, mais la capacité à la dominer. Je continue à chérir l’idéal d’une société où nous aurons tous des chances égales. »

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Chaque élection passe avec son cortège d'irrégularités souvent programmées. Les observateurs internationaux rouspètent sans faire fortune. Les hommes politiques nationaux et la société civile sont dépités et expriment différemment leur exaspération : L'atmosphère est à saucissonner à la tronçonneuse : « A quoi bon parler puisque rien ne change» disent-ils. J'ai moi-même pensé renoncer car j'apparaissais comme un abbé ou un pasteur prêchant dans le désert. Mais, UM’BETI (le railleur) est arrivé avec un journal ventant les tristement célèbres épopées d'un membre du gouvernement candidat aux élections législatives. Et il m'a dit : « fais le U TAM'SI. Tout le monde a parlé mais personne n'écoute ; il faut sûrement sans cesse recommencer. Parle pour le pays ; donne le récit de l'utilisation consciente ou inconsciente de la manipulation électorale.»

J'ai ainsi convoqué ma mémoire et celles de nombreuses victimes et des témoins qui ont eu à affronter l'épreuve avec des preuves à l'appui. Cet opuscule arrive donc justement pour rendre témoignage des errements liés aux élections dans notre pays : Parler et écrire fait partie de la thérapie ; il s'agit non seulement de guérir, mais aussi de prévenir. C'est une autre façon d'être utile à son pays. J'écris aussi et surtout pour attirer en particulier, l'attention des militantes et militants du Rassemblement pour la Démocratie et le Progrès Social (R.D.P.S. ).Je vous le dis en vérité : N'ayez pas peur. Parlez, dénoncez et revendiquez, vous trouverez le compromis sans compromission ; faites entendre votre voix et on vous respectera ; soyez vigilants et on ne vous trompera plus. Soyez des électeurs dûment avisés et des citoyens exemplaires. Dans ce sens, et devant la fureur concentrée et calculée des urnes, ayez le courage de ne pas vous battre et vous vaincrez. Les élections, c'est comme un match de football entre Barça et Réal ou PSG et OM, c'est Diables noirs contre Etoile du Congo, c'est Léopards contre l'As cheminots: Que le meilleur gagne!

Si ce message peut parvenir à toute la Congolie démocratisable, je n'aurais pas tout à fait perdu mon temps. En tournant en dérision le processus électoral, j'espère enfin pouvoir faire prendre conscience non seulement des enjeux, mais aussi et surtout des dangers encourus par et pour tous.Le ton humoristique est à dessein et la réalité des faits dénoncés, bien malheureuse et désastreuse pour une « démocratie en construction » (?) Par ailleurs, il sied de signaler qu'il y a néanmoins des circonscriptions où les élections se déroulent normalement. Organisateurs et candidats jouent le jeu démocratique à fond. Ils sont notre fierté et constituent la preuve que nous sommes capables de faire de bonnes choses. Ceux là, n'ont pas besoin de recourir à notre aide mémoire.

Les élections approchent ; et la tension monte dans les états majors des partis politiques. Une seule et même obsession hante tous les protagonistes : GAGNER. Oui, vous voulez gagner les élections ; mais vous ne savez pas comment vous y prendre. C'est pourtant facile :

Les uns prétendent qu'on ne peut pas perdre les élections que l'on organise soi-même. Et on s'enferme dans la tour du Mayombe ! C'est, comme dirait l'artiste, la théorie de « l'ethnie bombe.» Eh oui! L'ethnie d'abord et toujours ; le reste, tout le reste du monde, après.

Les autres veulent coûte que coûte accéder au pouvoir ; c'est « le quitte là que je m'y mette :» Et après, on proclamera fièrement que « c'est notre tour. Nous avons attendu longtemps!» Ils sont prêts à légitimer tous les abus y compris les coups d' Etat. En vérité, les uns et les autres sont parfois les mêmes. Ils sont les maîtres ou les chantres des partis ethnies. Tantôt au pouvoir, tantôt dans l'opposition, tantôt encore au pouvoir et dans l'opposition en même temps. L'ivresse du pouvoir les rend en effet sourds et aveugles à la misère de la multitude. Dans l'opposition, ils sont animés des plus belles intentions du monde et apparaissent comme les plus grands humanistes de la planète. Leur dénominateur commun est qu'ils sont surdoués dans les élucubrations électorales. La période électorale est, à priori, une zone de turbulences où tous les replis sont possibles : identitaires, religieux, sectaires… Je vous en prie, n'y succombez pas : le Congo, un et indivis, a seulement besoin d'un triptyque fait de patriotisme, de vérité, et de justice sociale. Ces trois piliers pourraient constituer le socle de notre action commune jusqu'à la castration des partis- ethnies. Les « outils » que renferme ce guide ont été ramassés dans toutes les circonscriptions et sont adaptables ; de telle sorte que les nuls en matière électorale à qui ces recettes sont destinées, changent de statut : Les amateurs deviendront rapidement des Grands Maîtres vénérés et les néophytes, de brillants professionnels. Evoquer le dispositif légal (très imparfait) en matière électorale dans notre pays, n'est pas l'objet de ces écrits. Par ailleurs, pour tricher ou frauder, il faut justement marcher sur le dispositif légal en vigueur. Après tout, le malfrat ne se moque t-il pas du code civil, du code pénal ou de toute autre loi tout simplement? Les mauvaises langues prétendent même qu'à cette allure, notre pays deviendrait premier producteur mondial des techniques de fraude électorale. Cependant, si ce vade-mecum est infaillible, il n'est pas pour autant exhaustif. En effet, comme toutes les innovations, les laboratoires de la triche fourmillent encore de multiples semences. Néanmoins, si vous suivez ces règles, si vous usez de ces pratiques, vous êtes sûrs d'accéder au pouvoir ou d'y rester ad vitam aeternam. A moins que Dieu ou le peuple n'en décide autrement car, comme me disait mon ami Claude du CQ 403, lui-même paraphrasant dit-on Jean Jacques ROUSSEAU : « c'est du peuple qu'il importe de mériter l'affection, car il est le plus fort et le plus puissant. »

Dans le même ordre d'idées, ai-je renchérit, le Président de la République a aussi dit avec sagesse et humilité dans son discours de clôture de la Conférence Nationale Souveraine, « qu'il ya une vérité fondamentale, incontournable : personne n'est au dessus du peuple, personne ne saurait se substituer au peuple.»

Mais si tel est le cas, a poursuivit mon ami, pourquoi la volonté du peuple n'est pas respectée ? Pourquoi les élections sont-elles toujours l'objet d'empoignes dans ce pays? Que faire ? Comment faire ?

C'est à chacun de se faire sa religion. Je me bornerai pour le moment à vous présenter le catalogue incomplet des pratiques que les professionnels de la triche utilisent pour ouvrir grandement les portes de la victoire annoncée. Il s'agit tout simplement d'un guide pratique des tripatouilleurs, d'un mémento de facilitation et de simplification plurielle des normes et procédures électorales.

La démonstration verticale autrement dit le principe de subsidiarité (de haut en bas) qui va suivre nous permettra de bien montrer comment des torrents de sueur, de larmes et parfois de sang coulent abondamment dans la vallée à l'occasion des élections.

Comme nous cheminons tous les jours à travers une forêt de symboles, c'est celui de la montagne qui semble le plus adapté pour décrire notre marche :

 

LE SOMMET

1- La première des choses à faire dès que vous accédez au pouvoir est de faire voter une bonne loi électorale : (découpage électoral en votre faveur; commission nationale indépendante( ?) à votre solde…) Le reste ira tout seul. Si vous arrivez au trône par un bon concours de circonstances et que vous trouvez cette loi scélérate, il faut la vicier davantage.

En effet, La posture des cadres supérieurs en charge des élections est capitale. « Les actes préparatoires des élections sont coordonnés et accomplis au niveau de chaque département sous l'autorité du préfet du département.»

 A ce titre, Il faut inventorier tous les cadres du ministère en charge des élections qui vous sont fiables! Il faut donc principièrement recourir à ceux de l’ethnie, du village, du hameau voisin ou tout au moins à ceux qui émargent dans les registres du parti. Les autres cadres sont peut être compétents, mais ils n'ont pas tous la fibre subjective électoralement adéquate. Vous l'aurez compris; il faut partir sur des bases partisanes. Une intelligente épuration intellectuelle, ethnique ou départementale est donc nécessaire.

2- Les mêmes critères de nomination doivent prévaloir au niveau des maires d'arrondissements, des sous-préfets, des chefs de quartiers et chefs de villages.

3- Toutes les autres autorités administratives qui sont subordonnées aux premières sus citées doivent aussi être rouges et expertes ; c'est-à-dire qu'on ne doit même pas les soupçonner d'appartenir à un parti politique autre que le vôtre ou à la société civile.

Mêmement pour les membres de leurs bureaux respectifs ; parce que tous ceux qui ne sont pas avec vous, sont forcément contre vous.

4- La nomination des membres des bureaux de vote doit être sans équivoque.

Elle doit obéir à la même procédure que celle des autres responsables.

Ils doivent tous avoir la même idéologie que celle des tenants du pouvoir ; il est obligatoire que ces postes soient occupés essentiellement par :

  • Les chefs de villages et chefs de quartiers ; (après tout, ils ont à craindre pour leurs postes)
  • Leurs femmes, enfants, neveux et nièces peuvent être assesseurs de telle sorte que le perdiem ainsi alloué revienne toujours dans la famille.

5- il se peut aussi (cas rare) qu'un candidat potentiel mette à mal le vôtre dans une circonscription donnée, nommez le comme membre de la commission nationale d'organisation des élections sans son avis de telle sorte qu'il soit en situation d'incompatibilités ; le temps qu'il fasse des réclamations, vous l'enverrez se faire cuire un œuf!

6-Tous ceux qui ont des micros partis politiques se réclamant de la majorité présidentielle doivent les dissoudre ou les fondre dans le parti major afin de prétendre l'emporter, ou conserver un poste dans L'administration.

7- S'agissant de l'établissement des listes électorales, ne vous embarrassez pas de scrupules. Enregistrez tout ce qui existe, y compris les mineurs, les étrangers et même les morts.

Les mineurs à lister sont ceux de sang royal autrement dit ceux issus des parents tenants ou proches du pouvoir. Il faut en effet se souvenir qu'en matière électorale c'est « un homme, une voix.». Alors, plus vous êtes nombreux, mieux ça vaut.

Quant aux étrangers, il faut leur faire comprendre que leur séjour sur notre territoire tient à l'expression de leur vote. Ils doivent ainsi savoir que s'ils ne votent pas pour les tenants du pouvoir, ils seront expulsés sans autre forme de procès.

Enfin, il faut leur promettre que sitôt le vote terminé, ils auront tous la nationalité congolaise et pourront même se prévaloir d'être non seulement au pouvoir mais aussi et surtout, du pouvoir.

8- L'affichage des listes électorales doit se faire tantôt la veille, tantôt le jour J. Vous éviterez ainsi les nombreuses et inéluctables réclamations.

En ce qui concerne les cartes d'électeurs, vous veillerez à ce que leur établissement et leur distribution se fassent de façon sélective :

9- S'agissant de leur établissement, les militants proches du pouvoir doivent en avoir plusieurs chacun. C'est le système des doubles ou triples votants !

Ces prétendus électeurs, auront la mission d'aller voter de bureau en bureau au bénéfice du parti sans craindre d'être démasqués, la quasi-totalité des membres des différents bureaux de vote étant acquis à la cause commune.

10- Quant à leur distribution, elle doit se faire de façon sélectivement ordonnée ; Autrement dit, les chefs de quartiers et les chefs de villages doivent confisquer, subtiliser ou garder par devers eux les cartes des électeurs qu'ils soupçonnent de ne pas vouloir voter en faveur du parti qui les a nommés.

11- Si, suite à la confiscation, la pression des ayants-droits est assez forte, restituez-les auprès de vos chefs hiérarchiques. Ceux là au moins, sont sous la protection de la force publique.

12- Mais la période électorale est propice à tous les marchandages ; dans l'hypothèse où aucune pression n'est exercée sur vous, vous êtes sûrement en face des naïfs: dans ce cas, il n'est pas mauvais de leur délivrer les cartes d'électeurs moyennant une certaine somme d'argent. En un mot, vous les leur vendez tout bonnement. Et plus vous en vendez, mieux ça se fait sentir dans votre porte-monnaie!

13- A l'établissement et à la distribution sélective et conditionnée des cartes, il faut ajouter la désorientation des électeurs ; c'est une autre ruse : tous ceux qui ont des noms à consonance hors - tribu ne devraient pas recevoir leurs cartes d'électeurs ! Mais, si par mégarde, ils ont pu se les procurer, ils doivent aller voter dans les bureaux du quartier les plus éloignés possibles de leurs domiciles ; leur combativité doit être mise à rude épreuve.

14- A contrario, tous ceux qui ont des noms familiers doivent le faire non loin de leurs habitations ; c'est plus cool et plus clean.

15- Pendant la campagne électorale, le candidat de la majorité présidentielle doit dire aux électeurs que, « s'ils ne le votent pas, le pouvoir lui, le nommera inévitablement. » C'est la meilleure façon de les décourager, de leur faire savoir qu'en définitive leur vote ne compte pas.

16- De même, avant et pendant le vote, n'oubliez pas de dire aux électeurs que s'ils ne vous votent pas, le gouvernement ne construira plus les routes qui mènent à leurs villages, ni les forages d'eau de leurs quartiers. Ils n'ont qu'à continuer à vivre sur les tas d'immondices qui jalonnent les rues de leurs patelins.

17- Dites leur en outre, que les nombreuses usines qui devraient employer des milliers de jeunes chômeurs ne verront plus le jour.

Après tout, c'est vous qui avez le privilège de parler pour eux auprès du chef de l'Etat !

18- Si vous êtes collaborateur immédiat du chef de l'Etat ou ministre, c'est plus simple : commencez d'abord par gonfler les listes électorales, notamment celles de votre village ou de votre quartier qui pourraient passer du simple à X électeurs. De telle sorte que même s'il n'y a que votre village ou votre quartier qui vous vote, vous passez au quart de tour. Ce ne sont pas les responsables en charge des élections qui vous contrediront : vous jouez dans la même cour.

19- De plus, vous pouvez réquisitionner des trains entiers d'électeurs ou des dizaines de camions pour les transporter comme du bétail humain. Ils feront le job.

20- Et comme si tout cela ne suffisait pas, faites de telle sorte que vos collaborateurs les plus proches soient dans tous les rouages de la chaîne électorale : vos directeurs de cabinets, vos chefs de services et de bureaux, vos chauffeurs, plantons et autres techniciens de surface doivent occuper tous les postes.

21- De même, l'achat des consciences est une carotte couleur saumon. Les candidats doivent distribuer énormément de gadgets allant de vélos moteurs aux lampes tempêtes.

Ils doivent également donner d'importantes sommes d'argent sur toute la chaîne (des chefs de quartiers aux électeurs en passant par les membres des bureaux de vote).

22- Les anciens maires, administrateurs- maires et sous-préfets doivent établir en les antidatant des actes de naissance à des milliers de faux électeurs mobiles pour satisfaire les ambitions des candidats qui leurs sont proches.

23-L'établissement des bulletins de vote et des imprimés électoraux est un des leviers de la victoire. Si, le sondage Bantu (notoriété répandue de bouche à oreilles) vous révèle que votre candidat est sérieusement menacé par son adversaire, ne sortez pas les bulletins de vote de ce dernier. Il ira le constater le jour du vote. Ce sera trop tard, le processus suivra son cours normal.

24-Faut-il délivrer des laissez-passer aux candidats ? Faites les attendre toute la nuit qui précède les élections. Sans ces saufconduits, les candidats ne pourront se déplacer pour aller voter ne fusse que pour eux-mêmes.

Si la mayonnaise a pris en ce qui concerne les actes préparatoires, soyez sûrs que le reste est une simple formalité.

Le chemin de la triche est ainsi balisé en amont. Mais on n'est jamais assez prudent.

25- si la circonscription se trouve par exemple dans un district enclavé, prenez le soin de bloquer l'unique voie d'accès en envoyant un contingent de militaires quelques jours avant pour les besoins de la Cause.

 

LE VERSANT

26-Ouvrez les bureaux de vote tardivement, presqu'en mi-journée. Les électeurs potentiels des adversaires finiront par se décourager et repartiront dans leurs domiciles. Les vôtres ayant reçu les consignes de venir bien après, pourront accomplir leur devoir civique.

27-La distribution du matériel électoral doit se faire à pas de caméléon ; Faites déposer d'abord les urnes ; attendez même que votre propre véhicule de transport en commun que vous avez pris le soin de louer aux organisateurs soit prêt afin de le faire ; de cette manière, l'argent alloué à cet effet rentre dans votre escarcelle ; de toute façon c'est vous qui êtes aux manettes.

28-Arrangez vous pour que la quantité de vos bulletins de vote soit supérieure à celle des autres candidats.

29-Chaque fois qu'un électeur dont vous êtes sûr qu'il n'est pas politiquement de votre côté arrive au bureau de vote, remettez-lui plusieurs bulletins de vote de son parti et un seul du vôtre et dites lui de rentrer rapidement dans l'isoloir.

S’il est avéré que le votant est illettré ou un alphabète (comme c’est souvent le cas), le président du bureau de vote doit lui remettre un seul bulletin qu’il doit impérativement mettre dans l’ enveloppe avant de la glisser dans l’urne. Le temps presse.

30-Les militaires en tenue doivent voter dans tous les bureaux en se déplaçant de circonscription en circonscription dans leurs bahuts, au nom de la sécurité pour tous. Ils sont en mission commandée puisque le pays est en danger!

31-De toute façon, l'encre dite indélébile, n'est qu'un leurre ! Et personne n'osera regarder les doigts des hommes en armes ou des militants surexcités!

32-Les membres des bureaux de vote (président et assesseurs) doivent voter pour les mineurs et les morts. Sauf dans l'hypothèse vérifiable qui s'est produite dans un certain bureau où un veuf a constaté l'enrôlement de son épouse décédée depuis quatre ans. S'étant mis à pleurer, il a sollicité voter lui-même pour sa défunte épouse. Devant le refus justifié du président du bureau de vote, il a préféré déclencher une bagarre considérant que « permettre à quelqu'un d'autre de voter en lieu et place de sa défunte épouse, équivaudrait à la tuer une seconde fois» !

33-Au sortir de l'isoloir, l'électeur ramenant le bulletin délaissé c'est-à-dire celui de votre adversaire doit vous le présentez en guise de trophée. Remettez- lui en retour son dû : une certaine somme d'argent promise. Vous achetez ainsi les votes. Les vendeurs seront nombreux et vous pouvez surfer sur la loi de l'offre et de la demande.

34-Le jour du vote, si des électeurs imprudents commettent la maladresse de crier tout haut qu'ils ne voteront pas pour vous, ou comme l'autre artiste Nkaba Ndouri alias Kabas qu'il veut « toucher du doigt les problèmes du gouvernement» : (eau impure, électricité en morceaux, chômage endémique des jeunes, système de santé précaire, fiscalité dévorante ou éducation en décrépitude…) allez chercher un camion de miliciens pour les bastonner. Tant pis pour eux.

Certains, les prudents, finiront par fuir ; d'autres, les téméraires ou héros vivants, se retrouveront à l'hôpital. Ne vous occupez pas d'eux ; bourrez les urnes en paix!

35-Prenez l'ultime précaution de créer quelques bureaux de vote fictifs dont vous aurez seul, la maîtrise à cent pour cent (100%). Bien entendu, le nombre de votants de ces bureaux doit être au moins l'équivalent de tous les autres bureaux réunis.

36-N'oubliez pas de dire aux tenanciers des bars et autres débits de boissons qu'ils doivent ouvrir et servir à boire à tous ceux qui en auront besoin. Vous paierez la facture. Vous n'y êtes pour rien. C'est KARL MARX qui avait oublié de dire que l'alcool était aussi l'opium du peuple.

Vous étiez au sommet, vous avez culbuté sur le versant. Descendez maintenant dans la vallée…des larmes.

 

LA VALLEE

37-Contrairement aux dispositions légales, le dépouillement des résultats du vote doit se faire à huit clos.

38-Faites de telle sorte que les présidents des bureaux de vote ne remettent pas de copies des procès-verbaux ou autres formulaires aux délégués ou représentants des autres candidats ou partis politiques.

39-Si vous fermez le bureau de vote avant la tombée de la nuit, demandez aux présidents des bureaux de vote (tous membres du parti au pouvoir) de ne pas afficher les résultats des élections.

40-Dans le cas contraire, c'est-à-dire dans l'hypothèse où la nuit vous surprendrait dans le bureau de vote, et comme souvent il n'y a pas d'électricité, alors, embarquez tout le matériel électoral et allez faire le dépouillement soit chez le chef de quartier ou le chef de village, soit au domicile du maire ou de l'administrateur-maire ou chez l'un des membres du bureau de vote.

41-Les procès verbaux n'ayant pas été remis aux différents délégués des partis politiques, vous pouvez maintenant les modifier à votre guise pour la victoire de votre candidat. Tout cela, en vertu du principe de : « ébonga, ébonga té, toujours meilleur » autrement dit : « Que ça marche ou que ça ne marche pas, le ciel ne tombera pas !»

42- Par-dessus tout, n'oubliez pas la manipulation de la saisie numérique des résultats ; concevez un bon petit plat dit de programme de fraude.

43- Quand vous aurez réunit toutes ces conditions ou quelques unes seulement, rassemblez votre famille, mettez le champagne au frais et asseyez-vous confortablement pour attendre la proclamation des résultats en toute sérénité.

44- Justement, les résultats sont proclamés assez tard dans la nuit. Et puisque la paix est votre crédo, mettez les militaires dans tous les points névralgiques des grands centres urbains. Histoire de sécuriser les populations. On ne sait jamais avec ces assoiffés du pouvoir!

L'animal est entièrement pourri. Une odeur nauséabonde envahit tout le pays. Des voix s'élèvent partout jusqu'aux confins du GONDWANA d'où nous écrit un candidat :

« Comme vous le savez, les résultats du 1 tour des élections législatives ont été rendus publics.

Contre toute attente, le candidat que je suis va au second tour avec un peu plus de 36 pour cent des suffrages exprimés contre le candidat du POUVOIR, et ce, malgré les résultats sortis des bureaux de vote qui me donnaient vainqueur dès le 1 tour avec 61,96 pour cent.

Tenant compte des valeurs prônées et défendues par le parti auquel j'appartiens, à savoir la paix, la tolérance, la justice et la démocratie, bon acte est pris des résultats publiés par la Commission Nationale des Elections.

Cependant, l'exigence républicaine et morale me commande de faire connaitre notre constat sur le déroulement du 1 tour de ces législatives ; car se taire signifierait trahir le peuple et être ennemi de la démocratie.

Il serait vain et fastidieux d'énumérer ici toutes les irrégularités déjà dénoncées par les autres candidats, les observateurs internationaux et les délégués de l'Observatoire Congolais des Droits de l'Homme.

Tout au plus peut-on citer quelques unes :

  • La confiscation des procès verbaux par les présidents des bureaux de vote (en effet seuls 9 procès verbaux ont été remis à nos représentants sur 69 attendus).
  • La non-publication et le non-affichage des résultats sortis des urnes devant chaque bureau de vote.
  • Le refus de signer les actes du scrutin par la CONEL locale dans Les bureaux de vote.
  • La confiscation des cartes d'électeurs par certains chefs des quartiers censés les distribuer.
  • L'attribution des cartes d'électeurs aux mineurs, aux étrangers et même aux morts. Et bien d'autres entorses qu'il serait malséant de dénoncer ici et publiquement.

Si ces pratiques douteuses se sont déroulées sur toute l'étendue du territoire, cela veut dire qu'elles ont été planifiées. Qui peut donc nous garantir dans ces conditions qu'elles ne vont plus apparaitre au second tour, la triche étant devenue pour certains et dans tous les domaines, le sport national.

Comment donner de la crédibilité à nos institutions si les députés au lieu de sortir des urnes sont nommés de façon homéopathique avec des résultats préétablis ? Au lieu de dépenser des sommes énormes à faire semblant d'organiser des élections, ne peut-on pas trouver un mécanisme pour les nommer directement comme on le fait pour les ministres ? On nous parle d'apaisement ; de quel apaisement s'agit-il ? Quelles valeurs morales, quelles vertus allons-nous inculquer à nos enfants ? Quel Congo laisserons-nous à notre progéniture ?

Au regard de ce qui précède, et des magouilles des élections précédentes, nous comprenons aisément pourquoi nos concitoyens ont rejeté ces élections par un taux d'abstention avoisinant 85 pour cent. Vous avez l'impression que les congolais sont partis. Mais ils sont proches à distance de la politique. Ce qui est une véritable épée de Damoclès sur nos têtes.

En vérité, ils n'ont cru, ni au message à la nation du chef de l'Etat le 31 décembre 2011 sur l'organisation des élections libres et transparentes, ni aux conclusions de la fameuse concertation d'Ewo qui a finalement accouché d'une souris.

Telles qu'elles sont organisées, les élections au Congo portent en elles mêmes les germes d'une explosion sociale. Le Président de la République est-il réellement au courant de ce qui se passe sur le terrain ?

Y a-t-il des concitoyens qui organisent malicieusement ce tripatouillage pour salir l'image du chef de l'Etat ? Et à quelle fin ? Au demeurant, y-a-t-il eu tout simplement des élections ? La réponse est assurément non.

L'ivresse du pouvoir, le mépris du peuple souverain et l'arrogance affichée par les organisateurs de cette farce électorale nous laissent pantois sur les motivations réelles d'un tel comportement.

L'impression qui se dégage est que cette énorme mascarade a été organisée pour pousser le peuple dans la rue. Je dis à ceux qui nous gouvernent, qu'à vouloir trop embastiller un peuple, il arrive inéluctablement un jour où il en prend conscience avec toutes les conséquences que cela pourrait impliquer…Vive la démocratie. Vive la république» Ne vous trompez Pas: celui qui fait une déclaration de cette facture est forcement un mauvais perdant. Il parle d'arnaque électorale alors que nous sommes dans le meilleur des mondes.

45-Demandez immédiatement aux médias d'Etat de claironner haut et fort et pendant longtemps que les élections ont été transparentes, claires, limpides, justes, équitables et libres. Ils doivent continuer à mentir jusqu'à ce que ce soit vrai.

46-Sur ce registre, vous pouvez même anticiper en annonçant dans tous les médias, y compris la radio mondiale que tel ou tel autre candidat qui vous parait ombrageux a échoué dès le commencement.

47-Il y a aussi des perdants qui osent même adresser leurs requêtes à l'institution chargée des contentieux électoraux : La moitié des députés dont un tiers composé de ministres seraient donc, selon eux, mal élus ! De toute façon, << les chiens aboient, la caravane passe >>.

Ceux qui contestent les résultats des élections ne sont que des cafards qui, bien qu'ils se soient saupoudrés, seront indéniablement reconnus par les coqs au tribunal des coqs! La sentence est donc bien connue.

48-Les résultats sont proclamés ; vous vous rendez compte qu'un de vos potes dit opposant mais très proche du pouvoir n'est pas sur la liste des heureux gagnants ; ne vous embarrassez pas de scrupule ; proclamez le sur liste additive ! Il n'y aura pas de tsunami.

49-Mais les critiques fusent de tous côtés : on parle tantôt de République bananière ; de démocratie de façade, de démocrature ou de démoncrature ; tantôt de démocratie à contrecœur, si on n'évoque pas tout nettement une dictature. Bouchez vos oreilles et bombez le torse!

Plus de deux décennies après l'avènement de l'ère démocratique au Congo, force est de constater que nous brillons tous par une attitude frileuse face aux élections. Et chaque fois, ce sont les mêmes gestes, les mêmes scènes, le même spectacle. Nous accréditons ainsi l'idée selon laquelle les élections ne seraient que source d'instabilité, de division, de déchirements inutiles et pourquoi pas de guerres. Est-ce la faute des gouvernants qui veulent coûte que coûte conserver le pouvoir à vie ?

Serait-ce une démission collective des intellectuels très souvent mus par de petits calculs égoïstes sur le sentier de la compromission ?

Comment conjurer les périls? Il ne s'agit nullement de catastrophisme électoral, mais plutôt d'affronter à la fois l'actualité et la réalité en face.

Le Congo souffre. Chaque période électorale accentue les frustrations et les mécontentements prospèrent. Il faut exorciser le mal. Faut désespérer? Voici ce qu'en pensait le Chef de l'Etat, Denis SASSOU NGUESSO, le 26 avril 1991: « … Je crois et je sais que le Congo a la capacité de se ressaisir, dans une totale communion des cœurs, des intelligences et de la raison. Il en va de notre destin collectif. Faut-il enjamber d'autres corps pour arriver à la démocratie? Ma réponse est non. Bien évidemment. Non, car l'on ne construit jamais l'unité et l'avenir sur les déchirements et la haine... » Le parcours démocratique des autres pays doit nous servir de boussole. Copions ce qui est bon et ne cherchons pas des prétextes fallacieux pour camoufler nos manquements. Il ne sert à rien de tricher pour prouver au président qu'on travaille bien ou qu'on bosse pour lui. Il faut penser Nation. Il faut de la probité morale ; il faut un retour à la morale publique.

Et c'était déjà ce que, dans son discours à l'occasion de la première session de l'Assemblée Nationale, le 10 mai 1960, le Président Fulbert YOULOUévangélisait en ces termes : « notre accession à de nouvelles responsabilités doit aller de pair avec l'acquisition d'un sens civique élevé et le désir de bien et réellement servir le Congo…pour que ses habitants vivent mieux.»

Les congolais ne sont ni dans un sprint final, ni dans un marathon sur l'Avenue de la paix ; il s'agit tout simplement d'une course de relais où la génération qui précède doit savoir transmettre à la suivante le capital de l'entreprise commune. Et il faut que ce capital soit constitué essentiellement et avant tout, de la donne universelle d'écologie électorale…

En cette fin d'après midi, tandis que je suis debout en train de contempler l'Océan Atlantique qui avale le soleil à l'horizon, mon ombre s'allonge irrésistiblement.

Je mesure alors avec forte conviction la vanité et l'orgueil de nos ambitions politiques souvent bassement matérielles dans ce monde si volatile où le Congo n'est qu'un grain de sable et nous-mêmes, une fine pincée de ce grain moulu!

Enlevons donc nos vieux habits de tricheurs invétérés et laissons à nos enfants un Congo vertueux et souvenons-nous à jamais l'enseignement de l'ecclésiaste à savoir: « Vanité des vanités, tout est vanité…»

COMPOSITION ET SUPERVISION D’IMPRESSION

Cabinet du Député Mabio MAVOUNGOU-ZINGA,

Achevé d’imprimer en Mai 2013 sous le

n°832/LL/04 13

Dépôt légal Mars 2O13

L’ARPCE publie la liste des 12 opérateurs postaux autorisés à exercer au Congo

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 Surprenante liste qui comprend, outre certains incontournables institutionnels, des "inconnus au bataillon" et qui omet des opérateurs, parfois très importants, qui donnent toute satisfaction à leurs usagers à l'image de Chardon Farell. (information transmise par Gildas Rogatien Balou)


Après plusieurs opérations de sensibilisation conduites par l'ARPCE pour amener les opérateurs postaux exerçant au Congo à se conformer aux nouvelles exigences de l'Etat dans le cadre de l'exercice des activités de courrier et de colis express dans le pays, 12 opérateurs postaux ont décidé de quitter le domaine informel pour migrer vers le statut d'opérateur ''autorisé''.

Le Régulateur invite les usagers/clients à ne faire confiance et à ne commercer qu'avec ces derniers, qui en migrant de l'informel au formel, ont donné la preuve d'un comportement civique et citoyen.

Ci-dessous, la liste des opérateurs en phase avec les exigences légales/ règlementaires en République du Congo.

 

Liste des operateurs postaux prives autorises

 

 

SOCIETE

AUTORISATION

ADRESSE

TELEPHONE

EMAIL/BOITE POSTALE

 

1

 

ACC EXPRESS

 

N°088
DU 14.09.2012

 

Aéroport PN

06 9283713
06 080 80 80
01 680 80 80

accexpress@hotmail.com 
DBKcomm@yahoo.fr 
BP 4 121 Pointe-Noire

 

2

 

BEAUVOIR BUSINESS INTER

 

N°093 DU 24.09.12.

 

-60, rue Kintéle, Ouenze,
-Aéroport BZV

06 8020288/ 06 802 02 88
05 576 10 25

W_beauvoir@yahoo.fr

04 410 61 39

3

DHL CONGO INTERNATIONAL

N°087 DU 26.09.2012

2, av. Moe Vangoula, PN

02 2810103
06 6671010

paul.moudiki@dhl.com 
BP 5485 Pointe-Noire

 

4

 

EXAU BUSINESS EXPRESS

 

N°084 DU 14.09.2012

-Aéroport BZV
-194 av.3 Martyrs Ozé (S.S)
-30, av.3 Martyrs Mgli (P)

06 9401607
06 666 46 83
05 556 45 83

 

5

FLORICHE EXPRESS

N°090 DU 14.09.2012

1 .144, rue Loufou, Pl. des 15 ans BZV

06 6301064

 

 

6

 

GALA EXPRESS

 

N°002 DU 14.01.2013

 

3, av. Base Aérienne BZV

06 9756696
06 6665357
06 665 67 56

mradjah@ups.com

BP 2892 Brazzaville

7

MILEDI EXPRESS

N°089

220, av.Nelson Mandela BZV

06 9218770

Miledi_sarl@hotmail.fr 
BP 1133 Brazzaville

8

PARTNER EXPRESS

N°082 DU 14.09.12

Rond-Point Kassai ,PN

055594351/05 5577494/06 661 83 50

Patex_durand@yahoo.fr

BP : 2502 Pointe-Noire

9

SAGA EXPRESS

N°085 DU 14.09.2012

18, rue Zéphirin Lassy,PN

05 7750853

Pnr.express.import@bollore.com 
BP 674 Pointe-Noire

10

SAINT SYL EXPRESS

N°083 DU 14.09.2012

1614, av.3Martyrs, BZV

06 6662520
04 4277704

sylveremombo@yahoo.fr

11

UNIVERSAL EXPRESS

N°086 DU 14.09.2012

Av de Loango, Centre-Ville PNR

05 7750701

BP 616 Pointe-Noire

12

MAISON COOLVALAIN

N° 023 DU 22.04.2013

Quartier MAKAYABOU PNR

066667893 055116298

BP 1839 Pointe-Noire

 

13

 

SOPECO ''LA POSTE’’

-Dispensée d’autorisation
-En cours (concession).

 

68, Bd Dénis Sassou-Nguesso, BZV

 

06 916 35 60
+33134296663

congo.poste@laposte.net

BP 39 Brazzaville

4ème Foire du terroir de la Bouenza, Madingou

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 Créée à l’instigation de quelques bonnes volontés conscientes que la baisse des activités agro-pastorales dans le département de la Bouenza nuit non seulement aux populations du département, mais participe aussi au déficit alimentaire de l’ensemble du Congo, la « Foire du Terroir de la Bouenza », en était cette année à sa quatrième édition.

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Avant guerre, ce département se posait en référence en matière d’agriculture au Congo. Les exactions des différentes factions qui s’y sont affrontées en se payant sur le terroir à découragé de nombreux agriculteurs qui ont abandonné leurs terres pour s’exiler en ville où ils ne font, pour la plupart, qu’augmenter le nombre des chômeurs.

L’idée de la Foire est d’offrir une vitrine aux produits du département et de permettre aux exploitants de disposer d’un marché sur lequel les négociants de Brazzaville et Pointe-Noire pourraient s’approvisionner régulièrement.

Cette année les organisateurs ont disposé d’une aide matérielle de 2MF XAF, bien insuffisante pour permettre à tous les exploitants ciblés de se déplacer et à ceux qui ont pu le faire de venir avec un stock suffisant. Les promesses des autorités de fournir qui une somme, qui du transport, qui des facilités ne se sont pas traduites par des actes et pire que ça, les organisateurs ont dû vaincre tracasseries et exigences administratives.

Il ressort à ce que nous avons pu constater, que les femmes sont beaucoup plus concernées que les hommes. Les exposantes féminines étaient bien plus nombreuses que leurs compagnons. Maraîchères, exploitantes de piscicultures, productrices de manioc ou de grains, ce sont elles surtout qui se sont pressées sur le stand du CRAL (Centre de Recherches Agronomiques de Loudima) venu avec plusieurs techniciens et diverses semences recommandées pour leur rendement et leur résistance aux maladies. Celles-ci nous ont été garanties exemptes d’OGM. A noter que le CRAL a reçu une très importante aide de l’UE qui lui a permis de réhabiliter ses locaux et de rééquiper les laboratoires avec du matériel moderne.

L’association organisatrice met en outre à disposition des agriculteurs une bibliothèque à Madingou.

Nous souhaitons que la fréquentation croissante de cette manifestation puisse enfin interpeller les autorités et que pour la cinquième édition cette courageuse équipe se voit reconnue par elles à hauteur de ce qu’elle mérite.

PROCÈS DU 4 MARS Marcel Ntsourou est passé à la barre

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 Quatre jours après l’ouverture des auditions des présumés inculpés(NDLR : Si ces hommes sont déférés devant la cour c’est qu’ils ont déjà été inculpés et qu'ils sont maintenant accusés, ils peuvent cependant réclamer la présomption d'innocence.) dans l’explosion du dépôt d’armes et de munitions du régiment blindé de Mpila, la vérité sur l’origine de l’incendie reste encore un mystère dans la mesure où aucune des personnes déjà interrogées ne reconnait les faits(NDLR : surprenante expression qui présuppose que devant la justice seuls des aveux sont irréfutables). Entendu devant la barre samedi, le Colonel Marcel Ntsourou a, comme ceux qui l’avaient précédé, nié les faits  qui lui sont reprochés. «Je ne comprends pas pour quelle raison j’ai été incarcéré, car c’est moi qui avais initié la lettre de mise en place de la commission d’enquête sur la tragédie du 4 mars 2012. À ma grande surprise, cette commission s’est détournée de son contrat pour s’attaquer à ma personne …», a-t-il déclaré.

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 Le colonel Marcel Ntsourou ne comprend pas les raisons de son incarcération

En sa qualité de secrétaire général adjoint du Conseil national de sécurité, le colonel Marcel Ntsourou s’était rendu sur les lieux du drame, le 6 mars 2012, pour constater les dégâts. Il a été inculpé pour détention d’armes, possession de faux billets et atteinte à la sureté de l’État.  

Le colonel Marcel Ntsourou a déclaré, le16 août à la Cour, qu’il avait célébré son anniversaire le 3 mars à son domicile. Dans la matinée du 4 mars, il a entendu la première détonation. Se renseignant, il lui a été rapporté que le régiment blindé était en feu. C’est ainsi qu’il s’était rendu sur les lieux pour constater les dégâts. « Je ne comprends pas pour quelle raison j’ai été incarcéré, car c’est moi qui avais initié la lettre de mise en place de la commission d’enquête sur la tragédie du 4 mars 2012.À ma grande surprise, cette commission s’est détournée de son contrat pour s’attaquer à ma personne. Étant un officier de terrain, je m’étais rendu sur les lieux pour m’enquérir de la situation. Malheureusement, cela m’a causé préjudice. Je ne remplissais que ma mission, car je peux agir et rendre compte à ma hiérarchie», a affirmé Marcel Ntsourou.

Au cours de son audition, le colonel Ntsourou a déclaré que le dépôt d’armes devait être délocalisé depuis 2006, et reconnaît, de ce fait, ne pas avoir d'informations sur le stockage des charges explosives des sociétés civiles à l’Écramu. «Qui a donné l’autorisation à ces sociétés de stocker leurs munitions dans une caserne militaire, sans aucune mesure de sécurité? C’estune négligence criminelle. La chose qui me fait mal, c’est de n’avoir pas su qu’il y avait du désordre dans cet établissement»,a regretté le colonel Marcel Ntsourou. Il a, par ailleurs, taxé cette détention d’illégale, car dit-il, les armes retrouvées au poste de police de sa résidence étaient le fruit de l’opération de ramassage d’armes dans les départements du Pool et de la Bouenza: «Nous avions réussi à racheter près de 1 650 armes lors de cette opération mais je n’avais reçu aucun ordre d’arrêt des opérations.»Au sujet de la contrefaçon des billets de banque, il a déclaré que ces billets lui avaient été donnés par son supérieur, Jean-Dominique Okemba, en présence du chef de l’État, pour les besoins d’une enquête.

Les accusés ne reconnaissent pas les faits qui leur sont imputés

Durant quatre jours, la partie civile, le ministère public et les avocats de la défense ont interrogé les prévenus sur l’origine de l’incendie du dépôt de munitions de Mpila. Malheureusement, (NDLR : Odieux parti pris de la journaliste pour la culpabilité des accusés.)à ce jour, aucun accusé ne reconnaît les faits qui lui sont imputés. Du 13 au 17 août, les caporaux-chefs Julien Aymard Gana et Dimitri Gédéon Issangou Mampassi, les sergents André Souana et Charlie Ntsoumou Ngoba, le sergent-chef Kevin Simplice Ngami, ont été incarcérés pour recel. Les faits reprochés étaient d’avoir reçu 40 millions FCFA du colonel Marcel Ntsourou afin de les remettre à Charlie Ntsoumou Ngoba, alors que le colonel ne connaît ni physiquement, ni moralement le sergent Ntsoumou, et ce dernier avoue n’avoir jamais reçu de fausse ou de vraie monnaie de la part du colonel Ntsourou. Giscard Mamichelot, un civil que le colonel Marcel Ntsourou avait aidé lors des évènements de 1998, l’adjudant Maxime Christophe Onono, l’adjudant Servant Étou Obami et le sergent-chef Gustave Lambini ont été inculpés d'atteinte à l’intégrité corporelle sur la personne de Ngami. Ce dernier ne reconnaît pas avoir été séquestré. Notons que plus d’un tiers des accusés prétendent que le procès-verbal établi par le doyen des juges d’instruction est truffé de fausses déclarations.

Jean-Dominique Okemba et Norbert Dabira auditionnés pour information

Les débats de la journée du samedi 17 août étaient axés sur les dépositions des témoins Jean-Dominique Okemba et Nor-bert Dabira, respectivement secrétaire général du Conseil national de sécurité et inspecteur général des forces armées congolaises et de la gendarmerie, à l’époque. Le secrétaire général du Conseil national de sécurité, Jean-Dominique Okemba, dans sa déposition, a affirmé qu’il n’était pas au courant de l’existence de charges explosives au sein de l’Écramu. « La responsabilité pénale est individuelle. Et les faits qui sont reprochés au colonel Ntsourou n’ont aucun rapport avec le 4mars, raison pour laquelle il bénéficie jusqu'à ce jour de la présomption d’innocence», a indiqué le secrétaire général du Conseil national de sécurité.

Norbert Dabira a, pour sa part, déclaré qu’en tant qu’inspecteur général des armées à cette époque, il avait fait un constat à l’Écramu. «Après avoir constaté que le stockage des charges explosives ne se faisait pas selon les principes de stockage, j’ai alerté le haut commandement afin de prendre des précautions, car la situation était grave et alarmante. Les décisions avaient été prises mais pas exécutées jusqu’au 4 mars 2012», a-t-il regretté.

Sur trente accusés, dix-neuf ont déjà été auditionnés, mais toujours aucune information probante n'a été recueillie sur l’origine de l’explosion du 4 mars 2012.

Josiane Mambou-Loukoula

Les Dépêches de Brazzaville

NDLR : Nous avons beau chercher, nous ne voyons toujours pas la relation entre les actes que l’on reproche aux accusés et les tragiques évènements du dimanche sanglant.

PROTECTION DE LA FAUNE AU CONGO

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Des peines de prison ferme pour trois trafiquants

La décision sur l’affaire des trois trafiquants d’ivoire, trophée d’une espèce intégralement protégée, est rendue par le tribunal d’instance d’Éwo. C’est ce qu’a affirmé le 21 août à Brazzaville le Projet d’appui à l’application de la loi sur la faune sauvage (Palf).

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Les trois malfrats, dont un Congolais et un Tchadien qui écopent de cinq années de prison ferme, et un Camerounais qui prend deux ans ferme, doivent payer une amende de 5 millions FCFA. Les trafiquants avaient été appréhendés au village Oloba, situé dans la Cuvette-Ouest, par les services de la gendarmerie pour détention frauduleuse d’une paire d’ivoire. L’affaire a été suivie par le Palf, qui travaille au Congo depuis plusieurs années et appuie les actions menées par le ministère en la matière dans le cadre de la répression de la criminalité faunique sous toutes ses formes. La détention illégale, l’abattage ou la capture des espèces jouissant d’une protection entière ainsi que la détention de leurs produits sont prohibés, souligne l’article 37-2008 portant sur la faune et les aires protégées. «On ne cessera jamais de répéter au profit des Congolais, mais aussi des étrangers vivant au pays, que, pour des besoins mercantiles et des raisons inavouées, la détention de trophées issus des différentes espèces animales bénéficiant d’une entière protection, abattus illégalement, et la capture de ces animaux sont strictement prohibés. Ainsi donc, les lois et règlements, interdisant à qui que ce soit ces infractions, existent dans le pays. Voilà pourquoi tous ceux qui pèchent par ignorance ou qui ne cessent délibérément de se comporter en hors la loi en violant ces lois et règlements ne devront s’en prendre qu’à eux-mêmes une fois dans les filets des services de répression habilités. Effectivement, toutes les personnes sans scrupule qui commettent inlassablement des actes de délinquance faunique doivent être poursuivies en justice et condamnées à de lourdes peines», peut-on lire dans le communiqué du Palf.

Rappelons que le Palf, qui travaille en République du Congo depuis2008, est un projet entre le ministère de l’Économie forestière et du Développement durable et deux ONG internationales.

Fortuné Ibara

Les Dépêches de Brazzaville

Gazette HELP N°40 - Août 2013

Congo B : Tout à la gloire de ses colonisateurs ?

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Si l’on en croit un document publié sur Facebook par Gildas Rogatien Balou, la ville de Dolisie pourrait bien suivre l’exemple de la capitale en glorifiant à son tour un colonisateur par la construction d’un musée Albert Dolisie.
  • Pointe-Noire possède sa place Antonetti qui abrite le buste de celui qui réinventa l’esclavage en décrétant le travail obligatoire.
  • Nkayi emboitera-t-elle le pas avec un centre culturel Jacob ?
  • Mossaka sera-t-elle rebaptisée Tréchotville ?
Tout semble désormais possible dans le pays de la capitale de la France libre.
Ne nous emballons pas, il semblerait que ce document n’ait pas grand-chose d’officiel et que ce soient les héritiers d’Albert Dolisie qui aient pris cette initiative. Restons cependant vigilants ou très bientôt les congolais reparleront avec conviction de leurs ancêtres les gaulois.

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Mercy Ships : "Je suis surprise de rencontrer autant de patients, c’est à se demander où ils étaient avant."

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 C'est bien là que se trouve la problématique de la santé au Congo. De piètre qualité et terriblement onéreuse, elle fait que les malades congolais sont contraints à se passer de soins ou se tourner vers des médecines alternatives plutôt que de se rendre dans des hôpitaux où le personnel se montre plus avide de les rançonner que de s'occuper d'eux.

Le lycée Victor Augagneur où l’Ong américaine Mercy Ships et ses partenaires congolais ont amorcé hier la sélection des malades indigents, en vue de les soigner gratuitement, a connu une affluence humaine impressionnante. « C’est très émouvant. On a fort à faire lorsqu’on voit des gens avec toutes sortes de pathologies », a commenté le président de Mercy Ships, Stephen Doyon.

 

Après l’arrivée du grand navire hôpital américain voici deux semaines à Pointe-Noire, les équipes formées par l’Ong Mercy Ships en partenariat avec la Fondation Édith Lucie Bongo Ondimba et le gouvernement congolais vont se déployer progressivement dans tout le pays en vue d’effectuer des opérations ophtalmologiques, dentaires et orthopédiques à plusieurs milliers de personnes pendant les six prochains mois.

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Une affluence inattendue aux soins chirurgicaux administrés par les Américains

Deux semaines après l’arrivée du grand navire hôpital Africa Mercy, la sélection des patients a démarré, le 28 août au lycée Victor-Augagneur de Pointe-Noire. L’initiative est de l’ONG américaine Mercy Ships, partenaire de la Fondation Édith-Lucie Bongo-Ondimba (Felbo), avec l’appui du gouvernement congolais. Cette étape concerne les départements du Kouilou, du Niari, de la Bouenza et de la Lékoumou.

«On est surpris par l’importance des pathologies qui ont été recensées. On ne peut pas vous dire exactement combien on en a recruté, mais on va tenir compte du nombre qui a été décidé par Mercy Ships en termes d’interventions. Personnellement, je suis surprise de rencontrer autant de patients, c’est à se demander où ils étaient avant», a avoué le docteur Marie Franck Purhence, conseillère du chef de l’État chargée des questions de santé. Rien que pour les yeux, par exemple, l’ONG Mercy Ships estime qu’elle pourrait opérer 1 900 personnes sur toute l’étendue du territoire ; 22000 personnes pour les dents et une centaine pour la chirurgie orthopédique. Le docteur Purhence a renchéri: «Comme le président de la République a demandé officiellement à Mercy Ships de prolonger son séjour d’environ six mois, peut-être ce nombre va-t-il augmenter!»

Julienne Johnson, la présidente de la Felbo, partenaire de Mercy Ships dans l’organisation, a parlé du grand travail quia été fait: «Le travail a été colossal, ça fait un an que nous travaillons sur ce projet. Comme il a été dit, toutes les pathologies ne sont pas prises en compte. En revanche, cette opération nous permet d’avoir un fichier de patients. Nous pourrons donc voir comment répondre à la demande de ceux qui ne seront pas pris en charge aujourd’hui.» Le président de Mercy Ships, Doyon Stephen, s’est, quant à lui, exprimé en ces termes: «Pour moi, personnellement, c’est très émouvant. On a fort à faire lorsqu’on voit des gens avec toutes sortes de pathologies. C’est le président qui nous a invités pour un partenariat. On est très content de celui-ci.»

Cette mission sera à Brazzaville le 6 novembre (les populations du Pool sont conviées). Pour la Cuvette, la sélection des patients aura lieu le 2 décembre à l’hôpital de base et les populations de la Cuvette-Ouest y sont conviées. Le 5 décembre, l’honneur reviendra à la ville de Ouesso et le 10 décembre à Impfondo.

Dolisie devra attendre janvier 2014. À titre indicatif, la sélection des patients se résume, entre autres, à un enregistrement, au tri des malades avant leur passage devant les chirurgiens qui donnent voie à une probable opération.

Rappel : cette opération s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du protocole d’accord général signé entre le Congo et l’ONG Mercy Ships le 22 mai2012. Sa mission : offrir gratuitement des chirurgies spécialisées aux malades indigents.

Guillaume Ondzé
Pour les Dépêches de Brazzaville

Procès du 4 mars : le réquisitoire du procureur de la République

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Marcel Ntsourou et 24 de ses co-inculpés considérés comme non coupables par le procureur général près la Cour d’appel, Corneille Moukala Moukoko, qui à contrario de l’acte d’accusation considère certains d’entre eux comme des héros :

Les colonels Marcel Ntsourou, André Joseph Sahouss ,Jean-Claude Mopita, Frédéric Noël Ingani et Jean Pothia Atipo Kaba ont été considérés non-coupables car les infractions qui leur sont reprochées ne sont pas constituées.
«Certains ont fait preuve de bravoure, d’héroïsme pour sauver leur armement, d’autres par contre ont mis à la disposition de la Cour leur expertise afin qu’elle établisse l’origine de l’incendie», a déclaré le procureur, Corneille Moukala Moukoko.

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Les accusés Ismaël Kouyaté et son épouse, née Henriette Clarisse Mbochi, Jules Julien Emekoro, Jean Bosco Mpankima, Christophe Maxime Onono, Servant Obami, Gustave Lambini, Roland Okana, Giscard Minichelot (alias leblanc), Wilfried Ndebeka (alias Bayard), Kevin Simplice Ngami, Destin Noé Mpikindza Mandali, Benjamin Okana, Georges Robert Ferré, Roger Bokitomo, André Souana, Bréchère Macaire Yengolo, Gladys Mafoua, Charly Fortuné Ntsoumou Ngoba, Alvarez Georgino Ngouolali Missié, sont, eux aussi, considérés non-coupables par le ministère public.

Le réquisitoire

Le procureur à requis les peines suivantes pour ceux qu'il considère coupables :

  • Les accusés Rodrigue Oba, Julien Aymard Gana, Dimitri Gédéon Issangou Mampassi et Raymond Miéré : une peine de quatre ans d’emprisonnement ferme assortis d’une amende de 500.000 FCFA pour maladresse, négligence et non observation des règlements.
  • L’officier de permanence adjoint, Abdoul Yorgen Bouandzobo, une peine de dix-huit mois d’emprisonnement et une amende de 50.000 FCFA.
  • Le caporal-chef Blood Kouack Kakom, une peine dont la durée n’a pas été précisée. Il et pourrait être condamné à des travaux forcés, pour incendie volontaire.
  • Le colonel Germain Ickonga Akindou, une peine dont la durée n’a pas été précisée pour détournement des deniers publics.

Reste au jury à se prononcer. Suivra-t-il l’avis du ministère public ? Rien ne l’y contraint. A la suite de ses délibérations, quelles seront les peines prononcées par la cour ? Nous ne devrions pas tarder à le savoir. Il fait peu de doutes qu’à la suite des pourvois en cassation seront émis et qu’un nouveau procès s’en suivra. Espérons que ceux qui ne seront pas condamnés ne retourneront pas en prison dans l’attente de ce nouveau jugement qui risque fort de se faire attendre durant plusieurs mois voire années.

Comme on pouvait s’y attendre, ce procès n’a rien expliqué des raisons profondes qui ont fait que le drame ait pu survenir. Une fois de plus les responsabilités à haut niveau sont occultées et des lampistes paieront pour des faits qui auraient facilement pu être évités si les normes, et même le simple bon sens, avaient été respectés.

LES MALADES PRÉCIEUX (Nouvelles) par Obambe Gakosso

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Obambe Mboundze Ngakoso, militant panafricaniste, est un esprit brillant que nous avons l'avantage de compter parmi nos amis. Sous le nom d'Obambe Gakosso, il s'est déjà rendu coupable, en compagnie de Jean-Paul EbengaPierre Eboundit,et Ismaël Sow, d'une participation à un ouvrage collectif "La vision de la ligue panafricaine du Congo-Umoja - Contributions au débat public".

Il vient de faire paraître chez l'Harmattan un recueil de nouvelles. Nous n'avons hélas pas encore pu lire cet ouvrage que nous espérons recevoir en PDF sous peu, mais nous ne pouvons en aucune façon douter de la qualité d'expression de celui que nous appelons affectueusement Bambi.


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LES MALADES PRÉCIEUX

Obambé Gakosso
Collection : Ecrire l'Afrique

 

C'est un recueil de nouvelles bien grinçantes que nous offre là Obambe Gakosso. De ces textes, ressortent l'humour, la dérision, le drame et la curiosité, pour dépeindre la société africaine de ce début de vingt-et-unième siècle.

La politique est incontournable dans ces sociétés, où jeunes et vieux se battent au quotidien pour leur survie.

Les guerres du continent sont dépeintes par le biais de leurs conséquences : vol, escroquerie, achat de consciences. Ainsi va la société postcoloniale qui pèse lourd sur le quotidien des citoyens, même quand ils veulent vivre en marge de la politique…

Les villes et les pays sont imaginaires, mais pas besoin d’être grand clerc pour reconnaître es pays sortis à peine de la guerre, ces rues et avenues africaines pleines de vie et de vivacité. On rit avec ces personnages pittoresques, mais qui nous ressemblent tant, qui sont nos doubles.


ISBN : 978-2-343-00615-4 • septembre 2013 • 290 pages

Prix éditeur : 28 € 26,60 € / 174 FF

Version numérique : 21,00€ EAN Ebook format Pdf : 9782336321974

Programme de la Plateforme panafricaine à la fête de l'huma 2013

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 FÊTE DE L’HUMANITE 2013 - ESPACE PANAFRICAIN 

rue Aimé CESAIRE au Village du Monde
Programme de La Plateforme Panafricaine

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 « la problématique de la balkanisation comme outil de pillage de l’Afrique.»

Table de presse et projections de vidéos en permanence par les différents mouvements représentés sur la plateforme panafricaine avec possibilité de débat sur les thèmes abordés

Vendredi 13 septembre

- Animations culturelles : de l’Afrique de l’Ouest au Maghreb

Samedi 14 septembre

de 10h à 12h: projections de films de divers résistants africains

de 12h à 13h30 : projecteurs sur la situation au Togo

Pause musicale

de 14h à 16h : la balkanisation : constats, acteurs, conséquences et solutions : Intervenants : les représentants de chaque organisation de l’Espace Panafricain

de 16h à 17h : Le lourd tribut payé dans les luttes d'émancipation des peuples : cas de Simone Ehivet Gbagbo et d'Ibni Oumar Mahamat Saleh : Intervenant : Guy Labertit et Mathilde Thépault interrogé par Grégory Protche

de 17h à 19h : réflexions sur la situation au Maghreb notamment en Tunisie : Intervenant : le camarade Faleh Jeday

de 19h à 20h : la stratégie de la balkanisation au cœur des manœuvres de recolonisation en Afrique de l’Ouest : les causes profondes, le rôle clé du pouvoir de Ouagadougou au cœur de ces conflits : bilan et perspectives des médiations de Blaise Compaoré, les résistances populaires, vers un renouveau du Panafricanisme en Afrique de l'Ouest ? Etc.  (retransmission sur la radio de la Diaspora, Kanal K, basée en Suisse) -Intervenants :  Didier OUEDRAOGO, Président de la Section Française du Mouvement Burkinabè des Droits de l’Homme et des Peuples (MBDHP) et Ardiouma SIRIMA, Coordinateur de la Diaspora africaine de Bretagne, Secrétaire Exécutif de La Plateforme Panafricaine.

Le Dimanche 16 septembre - La balkanisation de l’Afrique :

de 10h à 11h30: projections de films de divers résistants africains

de 11h30 à 13h30: Débat sur l'économie tunisienne : Intervenant : Hamadi Aouina

de 14h à 16h : la Diaspora africaine face à la problématique de la balkanisation - Intervenants : les représentants de chaque organisation de l’Espace Panafricain

de 16h15 à 17h15Quand la justice internationale se déshonore : la CPI, tribunal pour Nègres ?  Intervenants : Albert Bourgi, Théophile Kouamouo, Adé Assalé Hortense

Pause musicale

18h: Conclusion avec toutes les organisations

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Les organisateurs :

Notre Case Commune (Tchad), le Conseil Camerounais de la Diaspora (CCD), la Coordination de la Diaspora Africaine de Bretagne (CDAB), le Conseil Mondial de la Diaspora Togolaise (CMDT), Halte aux Génocides - Mémoire et Justice, la Section Française du Mouvement Burkinabè des Droits de l'Homme et des Peuples (MBDHP-SF), l’Africa United, l'Association Internationale Culture Sans Frontière (AICSF), Front Populaire Tunisien Paris Iles de France.

Modalités pratiques : Le site qui abrite la Fête de l’Humanité, c’est le Parc de la Courneuve au nord de Paris. Pour s’y rendre par les transports en commun, prendre le RER B, direction Aéroport de Roissy Charles de Gaulle, descendre à la station LE BOURGET, des navettes estampillées « Fête de l’Humanité » sont mises à disposition.

Attention ! Se procurer avant le billet d’entrée à 21 € auprès des fédérations PCF ou de tous militants du PCF que vous connaissez  afin d’éviter l’attente aux guichets de la fête A très bientôt à l’Espace Panafricain situé, rue Aimé CESAIRE.

Pour La Plateforme Panafricaine,

Raymond AYIVI  (06 24 26 26 72).

Les surfacturations vont bon train, exemple : le marché "moderne" de Mfouati

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Il va sans doute se trouver des gens pour considérer qu’une fois de plus nous dénigrons injustement les réalisations faites au Congo. Aujourd’hui, la Bible de l’information congolaise, "Les Dépêches de Brazzaville", nous donnent une fois de plus l’occasion de nous insurger contre une d’entre elles : le marché dit "moderne" de Mfouati.

Dites nous, s’il vous plait, ce qui peut bien faire qualifier de moderne un vulgaire hangar ? Dites nous aussi comment le dit hangar d’une vingtaine de mètres de long par une douzaine de large  dont moins d’un quart est constitué d’une partie close, peut parvenir à être facturé 710 millions pour 60 étals ? Une bête division nous met le coût de la table à une somme frisant les 12 millions. A ce tarif on aurait pu offrir une grande boutique en dur à chacun des commerçants visés.

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Plombée par un mauvais choix d’entreprise, la construction de ce bijou d’arnaque au trésor public, a déjà fait couler de l’encre. En date du 31 août courant, on pouvait lire dans latribuned’afrique.com les commentaires suivants (Extraits) :

Le ministre de l’agriculture et de l’élevage, Rigobert MABOUNDOU vient d’effectuer une visite d’évaluation des travaux de construction du marché de Mfouati […] dans le département de la Bouenza.

Il était accompagné par une délégation du PDARP (programme de développement agricole et de réhabilitation des pistes rurales). Il sied cependant de préciser que le Ministre a été désagréablement surpris par la mauvaise qualité du travail réalisé par l’établissement GERY, bénéficiaire de ce marché.

Pris de colère, Rigobert MABOUNDOU et ses partenaires se proposent de traduire en justice cet opérateur économique. Les travaux de construction de ce marché sont financés par le PDARP et la Banque Mondiale.

Au cours de cette mission, le ministre a visité les travaux de construction du marché de Mfouati un marché financé par le PDARP et la Banque mondiale pour un montant de plus de 80 millions de fCFA.

À ce jour, les travaux n’ont pas été exécutés dans les règles de l’art. L’opérateur économique qui a disparu dans la nature a également abandonné les ouvriers avec des arriérés de salaires. Sur les 36 marchés réalisés en république du Congo par le PDARP, celui de Mfouati est le plus médiocre et de ce fait, Rigobert Maboundou a promis entamer une procédure judiciaire qui aboutirait à l’arrestation de l’opérateur économique adjudicataire dudit marché. Aux ouvriers, le Ministre a dit qu’ils sont eux aussi responsables de la mauvaise exécution de ces travaux. « Ce n’est pas l’opérateur économique qui a construit ces murs maladroits » a-t-il déclaré. « Pour cette raison, vous n’avez pas ce courage de revendiquer les salaires, le travail est mal fait. Si cela est le cas je vous ferai arrêter tous… » a conclu le ministre MABOUNDOU.

En attendant, une autre société dénommée ETS BONY(EBCS) est à pied d’œuvre pour redresser et corriger les erreurs commises par la société GERY. 


Bouenza : Des marchés modernes pour les populations rurales.

Le Projet de développement agricole et de réhabilitation des pistes rurales (PDARP) a récemment réceptionné, dans les localités de Mfouati et de Bouansa dans le département de la Bouenza, deux marchés modernes construits grâce à son financement.

L'infrastructure de Mfouati est la trente-sixième du genre à travers les départements visés par le projet. Conformément à sa vocation, la construction de ces infrastructures ainsi que les pistes rurales visent à accroître la productivité des agriculteurs et des éleveurs en vue de l’amélioration quantitative et qualitative de la production agropastorale. D’un coût de près de 710millions, le marché de Mfouati permettra, avec ses 60 étals, de doter les vendeurs jadis exposés aux intempéries d’un cadre idéal pour la commercialisation de leurs denrées alimentaires. En leur offrant cet espace, le souhait du Pdarp est d’améliorer les revenus des producteurs ruraux et semi-urbains, mais aussi de réduire la pauvreté.

Guy-Gervais Kitina
Les Dépêches de Brazzaville

Progrès ou régression ? L’Afrique hérite de toutes les techniques controversées au nord.

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Après les plantations de palmier à huile sur des terres occupées par la forêt, qui réduisent celle-ci comme peau de chagrin et l’utilisation massive d’OGM par les entreprises multinationales d’agro alimentaire qui polluent les semis traditionnels et contraignent les petits cultivateurs à l’achat annuel de semences, voici que la Banque Africaine de Développement prône l’exploitation continentale des gaz de schiste par fracturation hydraulique.

Rappelons que la France vient de confirmer leur interdiction sur son territoire. On sait que ce type d’exploitation est plombé par des soupçons largement fondés de pollution des nappes d’eau potable (dont on sait qu’elles sont déjà problématiques sur notre continent) et de responsabilité dans des problèmes sismiques (en Espagne particulièrement).

Voir le principe

Une fois de plus ce sont les plus défavorisés qui vont payer les pots cassés au nom du sacro saint profit des grands groupes et des dominants.

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Développement : L’Afrique dotée de gisements de gaz de schiste

Selon le nouveau rapport de la Banque africaine de développement(BAD), de nombreux pays africains regorgent de gisements de gaz de schiste potentiellement viables qui, s’ils étaient exploités, pourraient conduire à une baisse du cours de gaz et à une plus large consommation de gaz naturel, à la réduction des émissions de gaz à effet de serre en matière de production énergétique et à des retombées économiques substantielles.

Intitulé « Le gaz de schiste et ses implications pour l’Afrique et la Banque africaine de développement », ce rapport examine les aspects positifs et les mises en garde découlant de la «révolution du gaz de schiste », sa production est en pleine explosion actuellement aux Etats-Unis et l’Afrique peut s'inspirer. L’exploitation et la production de gaz de schiste peuvent poser d’énormes défis environnementaux, selon les auteurs du rapport, notamment les importants volumes d’eau nécessaires à son extraction, la contamination de l’eau, l’intensification de l’activité sismique, le dégazage et le torchage des gaz associés. D’où la nécessité de travailler à la meilleure façon de procéder avant de s’engager dans son plein développement.

Le manager en chef de la BAD, en charge de l’environnement et du changement climatique, Kurt Lonsway, souligne la nécessité de combiner la production de gaz avec une bonne gestion durable de l’environnement, malgré les perspectives économiques des nouvelles techniques de son exploitation. Le président de la BAD, Donald Kaberuka, souligne la disposition de la banque à apporter son appui « à tout autre pays membre ou à toute sous-région qui envisagerait l’exploitation du gaz de schiste», y compris des prêts en assistance technique, et le cas échéant, de financement d’infrastructures liées à son exploitation. Les auteurs du rapport invitent la BAD à veiller à ce que les pays potentiellement en possession de réserves de gaz de schiste soient bien informés, et aient accès à des informations fiables quant aux effets éventuels sur l’environnement.

Noël NdongAprès les plantations de palmier à huile sur des terres occupées par la forêt, qui réduisent celle-ci comme peau de chagrin et l’utilisation massive d’OGM par les entreprises multinationales d’agro alimentaire qui polluent les semis traditionnels et contraignent les petits cultivateurs à l’achat annuel de semences, voici que la Banque Africaine de Développement prône l’exploitation continentale des gaz de schiste par fractionnement hydraulique.

Rappelons que la France vient de confirmer leur interdiction sur son territoire. On sait que ce type d’exploitation est plombé par des soupçons largement fondés de pollution des nappes d’eau potable (dont on sait qu’elles sont déjà problématiques sur notre continent) et de responsabilité dans des problèmes sismiques (en Espagne particulièrement).

Une fois de plus ce sont les plus défavorisés qui vont payer les pots cassés au nom du sacro saint profit des grands groupes et des dominants.

Développement : L’Afrique dotée de gisements de gaz de schiste

Selon le nouveau rapport de la Banque africaine de développement(BAD), de nombreux pays africains regorgent de gisements de gaz de schiste potentiellement viables qui, s’ils étaient exploités, pourraient conduire à une baisse du cours de gaz et à une plus large consommation de gaz naturel, à la réduction des émissions de gaz à effet de serre en matière de production énergétique et à des retombées économiques substantielles.

Intitulé « Le gaz de schiste et ses implications pour l’Afrique et la Banque africaine de développement », ce rapport examine les aspects positifs et les mises en garde découlant de la «révolution du gaz de schiste », sa production est en pleine explosion actuellement aux Etats-Unis et l’Afrique peut s'inspirer. L’exploitation et la production de gaz de schiste peuvent poser d’énormes défis environnementaux, selon les auteurs du rapport, notamment les importants volumes d’eau nécessaires à son extraction, la contamination de l’eau, l’intensification de l’activité sismique, le dégazage et le torchage des gaz associés. D’où la nécessité de travailler à la meilleure façon de procéder avant de s’engager dans son plein développement.

Le manager en chef de la BAD, en charge de l’environnement et du changement climatique, Kurt Lonsway, souligne la nécessité de combiner la production de gaz avec une bonne gestion durable de l’environnement, malgré les perspectives économiques des nouvelles techniques de son exploitation. Le président de la BAD, Donald Kaberuka, souligne la disposition de la banque à apporter son appui « à tout autre pays membre ou à toute sous-région qui envisagerait l’exploitation du gaz de schiste», y compris des prêts en assistance technique, et le cas échéant, de financement d’infrastructures liées à son exploitation. Les auteurs du rapport invitent la BAD à veiller à ce que les pays potentiellement en possession de réserves de gaz de schiste soient bien informés, et aient accès à des informations fiables quant aux effets éventuels sur l’environnement.

Noël Ndong

Novembre 2013 - Agenda des actions africaines en région parisienne

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Rien de tel que l'Agenda des actions africaines en région parisienne de Jean-Paul Vanhoove, pour faire mentir ceux qui disent que les français se foutent de l'Afrique et des africains en confondant politiciens et société civile. 

Pour faire paraître vos propres actions les transmettre en temps voulu à cette adresse :  jp.vanhoove@wanadoo.fr 

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Anniversaire, commémoration, journées mondiales …

 

jusqu'en décembre 2013 : L'Afrique du sud est encore à l'honneur en cette fin d'année avec un programme des manifestations organisées par les bibliothèques à l'occasion de la saison croisée France/Afrique du Sud. - Rens. 01 44 78 80 50 http://www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-... http://fr.scribd.com/doc/169341189/Programme-Afrique-Du-Sud-une-nation-en-mouvement

 

jusqu'au 30 novembre : 7e édition du Festival de films documentaires ALIMENTERRE Des images et des mots sur les désordres alimentaires du monde. La transition agricole et alimentaire, concrètement, c’est possible ? Le gaspillage alimentaire chez nous, ça crée de la faim ailleurs ? L’agro-écologie, utopie ou modèle pour que chacun puisse se nourrir demain ? Le libre-échange, un moyen efficace pour favoriser le développement pour tous ou un générateur d’injustices ? en France, en Europe et en Afrique, il invite à des débats avec des spécialistes sur les enjeux agricoles et alimentaires Nord-Sud, à partir d’une sélection de ?lms documentaires. , ce sont plus de 600 projections-débats en France, en Belgique, en Pologne, en République Tchèque et en Roumanie. En Afrique, le Festival se déroulera au Bénin, au Burkina-Faso, au Gabon, en Guinée-Conakry, à Madagascar, au Sénégal et au Togo. Les Comores et le Québec accueilleront également le Festival. Coordonné par le CFSI, Comité français pour la solidarité internationale 32 rue Le Peletier, Paris 9è - 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

le 1er novembre : Fête nationale de l'Algérie

 

le 10 novembre : Fête de Maputo au Mozambique (chaque grande ville a sa propre fête).

 

le 11 novembre : Fête de l'indépendance de l'Angola

 

du samedi 16 novembre au 24 novembre 2013 : 16ème édition de la Semaine de la solidarité internationale aura lieu du 16 au 24 novembre 2013. - Rens. Laure Araque-Goy, Chargée de communication et des partenariats 01 44 72 89 79 - Coordination nationale, c/o CRID - 14 passage Dubail à Paris 10è, M° Gare de l'Est

 

le 21 novembre : journée mondiale des pêcheurs artisans et des travailleurs de la mer

 

samedi 23 novembre : élections législatives et locales en Mauritanie

 

le 25 novembre : Journée sans achat

 

le 28 novembre : Fête de l'indépendance de la Mauritanie (1960)

 

le 29 novembre : Journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien

 

samedi 30 novembre 2013 : Limite de dépôt de dossier pour une demande de dotations aux microprojets de La Guilde (10 000 € par microprojets). Sur le thème "Eau et assainissement" - Créées en 1983, les Dotations aux microprojets de La Guilde (www.la-guilde.org) sont destinées à soutenir des microprojets associatifs de développement dans les pays éligibles au Comité d'Aide au Développement de l’OCDE. - Les microprojets doivent être portés par des associations : - de droit français - ayant au minimum 3 ans d’existence (joindre la copie de la parution au Journal Officiel) - au maximum 100 000 € de ressources annuelles (joindre le dernier compte de résultats validé en Assemblée Générale) - premier renseignement : http://microprojets.la-guilde.org/spip.php?article76 - Sinon pour plus de détails contactez : Cécile Vilnet Guilde Européenne du Raid, 12 rue Duguay Trouin 75006 Paris - 01 45 49 03 65 microprojets@la-guilde.org http://microprojets.la-guilde.org/

 

Actions situées à Paris (75)

 

jusqu'au 31 décembre 2013 du mercredi à samedi de 13h à 19h : Exposition Afrique à vivre "Sentimental" de l'artiste malgache Joël Andrianomearisoa. Une exploration des sentiments, du désir et des corps au travers d'installations, de sculptures, de photos - Huit espaces, huit représentations du sentiment amoureux, des lettres d'amour parisiennes aux négociations sentimentales. Installations, objets, images et vidéos y représentent la dualité du cœur, entre douceur et caresse, froideur et fragilité, le tout façonnant une architecture sentimentale obsessionnelle, sensuelle, parfois sombre chère à l'artiste. Architecte de formation, Joël Andrianomearisoa propose des œuvres parfaitement construites, homogènes, à la coupe nette. Il en ressort souvent un appel à la libération de chacun, le droit au rêve et à être... librement. - Lieu : Maison Revue noire, 8 rue Cels, Paris 14è, M° Gaité ou Denfert Rochereau - Rens. 01 43 20 28 14 redaction@revuenoire.comwww.revuenoire.com et www.joelandrianomearisoa.com - Contacts : Hugo Gogart 06 87 16 76 08 hugo@revuenoire.com ou Elise Atangana : 06 14 18 77 97 elise@revuenoire.com

 

jusqu'au 5 janvier 2014 les lundi mardi jeudi vendredi samedi de 14h à 19h , les lundi et mardi de 14 à 19h et les jeudi, vendredi samedi de : Exposition "Luba" (RDC) : une vingtaine de pièces représentatives de la statuaire et d'objets rituels de cette ethnie africaine. Bordant les rives de la rivière Lubu, non loin du grand lac Katanga, ce peuple fondé à la fin du XVIème siècle par le roi Nkongolo, fut un royaume florissant avant de disparaître, démantelé par l'exploitation des colons et missionnaires belges qui investirent les mines de l' Est de l'actuelle République Démocratique du Congo. A l'affiche : Le souffleur d'Olifant, attribué au maître de Kateba, dit « Maître de Buli » manifeste de part sa rareté , tant par la représentation masculine que par sa facture, d'un événement pour les amateurs de l'Art africain. La place de la femme dans la société Luba : Très souvent représentée dans son rôle de mère, se tenant les seins en signe de fécondité, elle est aussi la gardienne des secrets initiatiques et de la tradition. Ce qui explique sa présence sur de nombreux objets rituels : Calebasses de sorcier, hache, peigne. Armand Auxiètre a choisi de présenter une suite Kabuelulu, objets magiques utilisés par les sorciers, fin XIXème et début XXème, pour lutter contre les Pères Blancs. - Lieu - Galerie Art premier africain "l'Œil et la Main", 41 rue de Verneuil à Paris 7è, derrière le musée d'Orsay. - Rens. 01 42 61 54 10 contact@agalom.com www.african-paris.com

 

tous les mercredi hors période scolaires de 19h30 à 22h: Cours de chant Gospel à Nation "RnH Gospel Choir : Pour apprendre à placer votre voix, être à l’aise dans les aigus et chanter plus haut, apprendre à gérer votre souffle, à utiliser votre colonne d'air, à chanter juste, les techniques vocales à régler des problèmes vocaux, retrouver ou acquérir des mécanismes naturels, à improviser à augmenter votre tessiture, à travailler un répertoire, à préparer une audition et performer en toute occasion… - de 19h à 20h30 : cours "débutants" travail des aigus - travail de la justesse - la respiration - découverte des différents styles de gospel - concerts - de 20h30 à 22h cours "confirmés" Travail des aigus et de la précision - la respiration - les registres - rythme et groove - harmonies complexes - concerts --- Une séance découverte offerte à tous ! - Lieu : Théâtre Comédie Nation, 77 rue de Montreuil à Paris, Métro/RER : Nation - Rens. Rythm'N Harmony School 06 64 02 98 84 info@rnh-school.fr www.rnh-school.fr

 

jusqu'au 21 décembre du mardi au vendredi de 15h à 20h - le samedi de 10h à 20h : Exposition photographique "La voie du Baye Fall" dans le cadre de la 8ème Festival des Cultures d'Islam : Le photographe Fabrice Monteiro, artiste belgo-béninois vivant à Dakar, s’est immergé pendant de longs mois dans la communauté Baye Fall, et en a produit un travail inédit, mêlant foi, style vestimentaire, rites et transes dans une galerie de portraits et de scènes de vie foisonnante. Mode de vie plutôt que religion, le Baye Fall est une confrérie musulmane soufie essentiellement issue du monde wolof.. - . Tarif : 12 € / 8 €. - Lieu : Institut des Cultures d'Islam - 23 rue Léon, Paris 18ème, M° Château Rouge - Rens. : 01 53 09 99 84 info@institut-cultures-islam.org http://www.institut-cultures-islam.org

 

jusqu'au 17 novembre 2013 : accessible gratuitement, 24h/24, tous les jours : Exposition en plein air de grands tirages de photographes venus du monde entier dans le cadre "Photoquai 2013" présente les œuvres de photographes contemporains du monde entier, talents inédits ou peu vus en Europe et provenant des grandes zones géographiques représentées au sein des collections du musée du quai Branly : en accès libre sur les quais, de jour comme de nuit et aux jours et horaires d'ouverture du musée, dans le jardin 40 photographes de 29 pays exposent près de 400 photographies. Pour l'Afrique - Mozambique : Filipe Branquinho - Afrique du Sud : Thabiso Sekgala - Nigeria : Adolphus Opara - Burkina Faso : Nyaba Ouedraogo - Musée du quai Branly, 37 quai Branly, Paris 7è - Rens. 01 56 61 70 00, 01 56 61 71 00, www.quaibranly.fr www.photoquai.fr

 

jusqu'au 2 novembre du mardi au samedi de 11h à 19h : Exposition Ayana v. Jackson - archival impulse & poverty pornography : Le travail d’Ayana V. Jackson, explore les identités africaines et celles de la diaspora africaine à travers des approches photographiques variées, allant du reportage au portrait en passant par la performance et le travail en studio. Dans ses travaux récents, elle utilise son propre corps pour se mettre en scène et critiquer les photographies coloniales du milieu du 19ème et du début du 20ème siècle. - Lieu : Galerie Baudoin Lebon, 8, rue Charles-François Dupuis, Paris 3è, M° République - Rens. 01.42.72.09.10 info@baudoin-lebon.com http://www.baudoin-lebon.com

 

tous les jeudis hors vacances scolaires de 20h à 22h cours de djembe/doums pour les non débutant (2-3 ans de pratique environ) avec Antony Bangoura : Formé par deux grands maîtres des Ballets nationaux guinéens, il a travaillé en Guinée avec le Ballet Gbassi Kolo, les Espoirs de Coronthie, le Circus Baobab... Installé depuis 2008 en France, il tourne avec de nombreuses formations ­ et anime stages et cours de percussions en région parisienne. - PAF 20€ par jour à 16€ par jours pour un trimestre - Lieu : Studio Bleu, 7-9, rue des Petites-Ecuries, Paris 10è - Renseignements et inscriptions : Maryse 06 14 38 81 11 ou mzal@club-internet.fr

 

jusqu’au 7 décembre du mardi au samedi de 11h à 18h : Exposition "Bamako photo paris" Hommage aux photographes maliens" - Pour la première fois, Paris accueille une exposition en hommage aux photographes maliens toutes générations confondues. L’exposition Bamako Photo in Paris permet, à travers le prisme de la photographie, de poser un autre regard sur l’histoire du Mali et de sa société. - Les photographies présentées sont issues de « Mali photos, sténopés d’Afrique », projet photographique participatif porté par l’association Oscura. Toutes ont été réalisées entre 1996 et 2000, avec et par de jeunes maliens, en situation difficile pour la plupart. Rens. : oscura@wanadoo.frwww.vuesimprenables.com - Lieu : Pavillon Carré de Baudouin, 121 rue de Ménilmontant, Paris 20è - Rens. : 01 43 15 20 85 sandra.lonchamp@paris.fr www.mairie20.paris.fr

 

jusqu'au 6 juillet 2014, tous les jours, sauf le mardi et le jeudi de 11 h à 19 h : Exposition Initiés, bassin du Congo - Les initiations représentent des étapes déterminantes dans la vie des êtres humains. Elles scandent l'existence sans possibilité de retour en arrière : elles impliquent une transformation définitive. En Afrique, elles sont souvent orchestrées par les sociétés qui en font des passages obligés pour accéder à une position particulière. Les plus connues concernent la transition vers le monde des adultes, mais les rituels qui accompagnent la naissance, la mort ou d'autres changements de statut en font également partie. Elles étaient autrefois habituelles en Afrique centrale. Aujourd'hui, elles disparaissent progressivement ou perdent leur implacable rigueur. Elles résistent mal aux exigences de la vie contemporaine, aux rythmes scolaires, aux religions importées, à l'exploitation économique, à l'instabilité politique et aux pressions normatives de la mondialisation. - Lieu Musé Dapper, 35 bis, rue Paul Valéry, Paris 16è - Rens.  Réservation obligatoire 01 45 00 91 75 communication@dapper.com.fr www.dapper.com.fr

 

jusqu'au 24 novembre : deuxième édition le festival AFRIK’A’WA un collectif international d’associations et d’artistes qui à pour but de promouvoir la création, la production et la diffusion de spectacles vivants ; son activité principale consiste à l’insertion des personnes démunies par la promotion de la danse, le théâtre, le conte, la musique, l’animation et les expositions des œuvres africaines mais aussi les expressions artistiques d’autres cultures du monde lorsque l’occasion se présente. Dans ce cadre, elle favorise la mise en place de l’animation des événements socioculturels dans un esprits de solidarité et d’entraide entre les peuples… - Lieu : Centre de Danse Chrysogone Diangouaya, 29 rue des Roses, Paris 18è - Rens. 09 52 68 32 20, 06 60 92 87 05 festivalafrikawa@gmail.com chrysogoned@yahoo.fr

 

jusqu'au 29 novembre : Exposition : Rainbow Soldiers, hommage à la liberté : Conçue pour célébrer les 10 ans de l’abolition de l’apartheid en Afrique du Sud, cette exposition, qui allie peintures et poèmes, est un hommage à la démocratie et à la liberté. Rainbow Soldiers, ou les Soldats de l’Arc en ciel, symbolise l’union : union et alliance entre les peuples et malgré les différences, union et alliance des artistes et des genres puisque l’exposition mêle peinture sur bâches, textes poétiques, (en bilingue anglais / français), et bande son originale. En partenariat avec l’association IMPALA. - Lieu : Médiathèque Edmond Rostand, 11, rue Nicolas Chuquet (17e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

jusqu'au 24 novembre : Exposition : Amandla ! La démocratie sud-africaine en action : Les premières élections de 1994 ont changé le rapport que les Sud-africains avaient de la démocratie sous le régime de l’apartheid. À travers des points de vue contrastés et des témoignages de Sud-africains de différentes origines sociales et ethniques, l’exposition met en avant les avancées et les paradoxes du système démocratique. En partenariat avec l’association Ubumi. - Lieu : Bibliothèque Saint-Éloi, 23, rue du Colonel Rozanoff (12e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

jusqu'au dimanche 3 novembre de 11h à 19h (dimanche de 10h à 17h) : 2ème Edition Art Freedom, Cette exposition s'articule autour de trois thèmes permanents : La référence à la Diversité dans l'art, la question de la Liberté d'expression et la notion de Solidarité dans la société. Cette démarche est proposée comme un voyage artistique et culturel de rencontres, d'échanges et de découvertes d'une quinzaine d'artistes d'univers différents peintre, photographe, designer, sculpteur, dessinateur… à noter en particulier - Un espace est dédié à Aimé Césaire dans le cadre de son centenaire (1913-2013). - Lieu : Espace Beaurepaire, 28 rue Beaurepaire, Paris 10 ème, M° : République ou Jacques Bonsergent - Rens. Mélissa Zig, association Couleur Pays 06 30 45 01 88 , couleurspays@yahoo.fr

 

du samedi 2 au 30 novembre : Exposition : I am proudly South African Sont présentés des témoignages de jeunes sud-africains, pour la plupart « born free » (nés à partir de 1994 et qui n’ont donc pas connu l’apartheid), interrogés sur l’héritage de l’apartheid, sur le « vivre ensemble » dans un pays multiculturel et sur leurs sentiments quant à l’avenir de leur pays. Une exposition réalisée En partenariat avec l’association Ubumi / www.ubumi.com - Lieu : Médiathèque Marguerite, Yourcenar I 41, rue d’Alleray (15e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 2, 16, 23 et 30 novembre à 16h. Spectacle humoristique de Moussa Lebkiri "Maghrébien que mal" Moussa Lebkiri fait sa rentrée ! Comédien, metteur en scène, conteur, saltimbanque… - Lieu : théâtre Passage vers les étoiles, 17 Cité Joly Paris 11è, M° Père Lachaise ou Saint Maur - Réservation : 01 48 76 79 20 , 01 43 38 83 45 , cafe.bavard@laposte.net

 

samedi 2 novembre de 20h à l’aube : Veillée à la Mémoire de Mahan Gahé Basile, Secrétaire Général du Syndicat Dignité de Côte d’ivoire, décédé le 16 septembre 2013 à Abidjan - Il s'agit aussi d'un hommage au sandaliste décédé suite aux mauvais traitement qu'il à eu à subir du fait de son combat pour la liberté syndicale - Lieu : 1, Place de Joinville, Paris 19è, M° Crimée, ligne 7 - Rens. 06 62 66 97 24 et 06 52 92 75 99 zpgdediboke@yahoo.fr

 

du dimanche 3 novembre au 28 décembre : Exposition : Mandela, l’africain multicolore : Présentation des illustrations originales, réalisées par Zaü pour le livre Mandela, l’africain multicolore (éd. Rue du Monde). Texte d’Alain Serres. Des illustrations à l’encre noire et peintures qui rendent hommage au destin de Nelson Mandela, humaniste hors norme. - Lieu : Médiathèque Marguerite Duras, 115 rue de Bagnolet (20e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

du dimanche 3 novembre au 28 décembre : Exposition : I am proudly South African Sont présentés des témoignages de jeunes sud-africains, pour la plupart « born free » (nés à partir de 1994 et qui n’ont donc pas connu l’apartheid), interrogés sur l’héritage de l’apartheid, sur le « vivre ensemble » dans un pays multiculturel et sur leurs sentiments quant à l’avenir de leur pays. Une exposition réalisée En partenariat avec l’association Ubumi / www.ubumi.com - Lieu : Médiathèque Hélène Berr, 70, rue de Picpus (12e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

dimanches 3 et 10 novembre de 15h à 16h : Spectacle Balabala Circus : c'est l'histoire d'un jeune aventurier qui débarque en Afrique avec pour seuls bagages son matériel de cirque et son sac à dos. Il va faire la connaissance d'une étrange créature… Les deux personnages, malgré leurs différences, vont apprendre à vivre ensemble. Avec au programme : jonglerie, équilibre sur rouleaux, monocycle, acrobaties, magie… Né en 1962 à Kinshasa, Désiré N'Goma découvre les joies du cirque dès l'âge de 8 ans. Il quitte la République démocratique du Congo en 1986 pour s'installer en France où il intègre l'École nationale du cirque Fratellini. En 1991, il monte sa propre compagnie. En 2000, avec Chapiteau d'Afrique, Désiré N'Goma apporte un nouvel élan à son métier, se voulant désormais l'ambassadeur du cirque africain en Europe. Brice Pezon est co-fondateur de la troupe WAJ (World Anonymous Jugglers) et artiste au sein de Circo Teatro Gaucho (production franco-sud américaine). Un spectacle de la compagnie Chapiteau d'Afrique - A partir de : 6 ans Balabala Circus - Tarif 9e et 5€ - Lieu : Musée Dapper, 35 bis, rue Paul Valéry, Paris 16è - réservation 01 45 00 91 75

 

du lundi 4 au 23 novembre : Exposition : Afrique du Sud, regard sur un pays diversifié : Terre de contrastes, l’Afrique du Sud vit aujourd’hui entre inégalités et diversité. Riche de son territoire, de ses langues et de la pluralité des cultures et des populations, l’Afrique du Sud se remet des souffrances des années de l’apartheid. Une sélection de photographies présente les paysages et les disparités des populations qui constituent la nation arc-en-ciel d’aujourd’hui. En partenariat avec l’association Ubumi. - Lieu : Bibliothèque Jacqueline, de Romilly, 16, av. de la Porte-Montmartre (18e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

du mardi 5 au 27 novembre : Exposition : Mandela, l’africain multicolore : Présentation des illustrations originales, réalisées par Zaü pour le livre Mandela, l’africain multicolore (éd. Rue du Monde). Texte d’Alain Serres. Des illustrations à l’encre noire et peintures qui rendent hommage au destin de Nelson Mandela, humaniste hors norme. - Lieu : Bibliothèque Vaugirard, 154 rue Lecourbe (15e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

du mardi 5 au 16 novembre du mardi au samedi de 12h à 22h30 : Expo du peintre burkinabé Boureima Nabaloum - Lieu : Au Moulin à café, 8 rue Sainte Léonie, Paris 14è, M° Pernety - Rens. : 01 40 44 87 55 contact@moulin-cafe.orgbenprs75@gmail.com www.moulin-cafe.net

 

mardi 5 novembre de 13h30 à 16h30 : Débat sur l’Etat documentaire et les mondes du papier en Afrique : matérialité, technologies, affects - Séminaire mensuel organisé par Séverine Awenengo Dalberto (CEMAf-Paris), Aïssatou Mbodj-Pouye (CEMAf-Ivry) et Guillaume Lachenal (Université Paris VII, membre associé du CEMAf-Paris). - Lieu : CEMAf-Paris, 9 rue Malher, Paris 4è, Salle Person - Rens. http://www.cemaf.cnrs.fr/spip.php?article774

 

mardi 5 novembre à 19h : Soirée de gala autour de l'économie solidaire et de la diaspora africaine en France. Il sera organisé autour d’une conférence-débat sur le thème de «La finance solidaire au service des entrepreneurs migrants» où plusieurs représentants d'associations tels que le SIAD et l'ADIE et des membres clés de l'économie africaine seront présents pour débattre. De plus, la soirée continuera avec un concert de l'artiste Pedro Kouyaté, ainsi qu'un défilé de mode afro-péen. Ce sera un lieu d’échanges et de réflexions, qui s’attachera cette année à valoriser l’accompagnement des migrants et le financement de leurs projets, notamment par la diaspora. Nous y attendons plus de 200 personnes. - Organisé par la COFIDES : COopérative FInancière pour le Développement de l'Economie Solidaire Nord-Sud dont le rôle est de favoriser l’accès au microcrédit pour les porteurs de projets africains en nous portant financièrement garant. - Lieu : Comptoir Général, 80 quai de Jemmapes, Paris 10è - Rens. : Fatna Messaoudia 01 49 33 00 51 communication.cofides@gmail.comhttp://www.pseau.org/gif/logo_cofides.gif http://www.lecomptoirgeneral.com/

 

mardi 5 et mercredi 6 novembre à 20h30 : Sur scène, une femme noire. “Mais je ne suis pas noire!“. Ce sont là ses premiers mots. Affirmation paradoxale pour mieux mobiliser la pensée, nous obliger, dès les premiers instants à questionner nos évidences. Que voyons-nous en premier chez l’autre? Que voyons-nous en premier chez certains autres ? Telle est l’ambition de la performance : interroger nos perceptions et schémas de pensée. Tarif 10€ - Lieu : Confluence, 190 boulevard de Charonne, Paris 20è, M° Philippe Auguste ou Alexandre Dumas. Rens. et réservations: 01 40 24 16 46 resa@confluences.net http://www.confluences.net/

 

mercredi 6 novembre à 18h : Conférence de Rafael Correa Président de la République de l'Equateur - Lieu : Grand Amphithéâtre de la Sorbonne, 47 rue des Ecoles, Paris 5è, M° Cluny-Sorbonne (L. 10), Luxembourg (RER B) - Rens. comite.revolucion.ciudadana@gmail.com - Inscription obligatoire à equateur.sorbonne@gmail.com, en précisant votre nom, prénom et profession. Le jour de la conférence, veuillez vous présenter avec votre pièce d'identité et l'invitation de la conférence - L'ouverture de portes est prévue à 16h45 et la fermeture à 17h45.

 

mercredi 6 novembre de 19h à 21h : Rencontre sur le thème "Comment s'investir de manière utile ?" avec : - Babyloan, plateforme de microcrédit - Finansol, le label de la finance solidaire - La Nef, banque éthique - SPEAR, investissement pour soutenir la création d'entreprise - Energie Partagée, financement de projets d'énergie renouvelable - Lieu :EXKI, 9 bd des Italiens, Paris 2è - Rens. j.lhote@gmail.comwww.koom.org - Inscription obligatoire : https://www.facebook.com/events/212495872255055

 

mercredi 6 novembre de 19h à 21h : Rencontre du Café de la prospective avec Virginie Raisson, co-fondatrice du Lépac (Laboratoire privé d’études prospectives et d’analyses cartographiques). Co-auteur des deux premiers atlas du Dessous des Cartes. Pour mieux comprendre l'état du monde, ses tendances et ses incertitudes à 20 ans, Virginie Raisson utilise des graphes et des cartes de grande qualité permettant une appréhension instantanée et globale des données ; c’est l’une des rares méthodes permettant de traduire de façon simple et lisible l’approche systémique, base de la prospective et outil indispensable en géopolitique et en économie internationale. Nous parlerons donc avec notre invitée de ses travaux, des visions de l’avenir qu’ils font émerger, des questions – parfois contre-intuitives – qu’ils permettent de poser, et de ses méthodes de réflexion sur le long terme. C'est complètement ouvert, gratuit (il faut quand même payer son café ou son verre de Beaujolais). Lieu : premier étage de la Pierre du Marais, 51 rue de Bretagne, à l'angle de la rue de Bretagne et de la rue des Archives, à côté de la mairie du 3e arrt, M° Arts et Métiers ou Temple - Rens. mousli.marc@orange.fr https://www.facebook.com/pages/Café-de-la-prospective

 

mercredi 6 novembre à 19h : Projection-débat "Nouadhibou : les poissons ne font pas l'amitié" Cette projection-débat est organisée par "les greniers de l'espoir", une association de ressortissant ivoiriens en France engagés… - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Salle des mariages de la Mairie du 15e, 31 rue Péclet, Paris 15è - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

du jeudi 7 novembre au 15 décembre : Exposition : Les hommes debout : Le projet artistique et mémoriel Les Hommes debout s’inscrit dans le cadre d’une longue réflexion du plasticien Bruce Clarke, britannique d’origine sud-africaine, suite au génocide des Tutsis de 1994 au Rwanda. L’exposition présentée ici constitue la première étape de ce projet gigantesque dans lequel il s’agira de peindre des hommes, des femmes et des enfants, debout et dignes, sur l’extérieur des lieux de mémoire. Artiste militant, Bruce Clarke s’est beaucoup impliqué sur la lutte contre l’apartheid. - Lieu : Médiathèque Marguerite Duras, 115, rue de Bagnolet (20e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

jeudi 7 novembre de 9h à 18h : Conférence : « Femmes migrantes actrices de développement : s’engager et agir pour un développement endogène » organisé par Femmes et Contributions au Développement (FECODEV) en partenariat avec le Forum des Organisations de Solidarité Internationale issues des Migrations de France (FORIM) - Lieu : Musée du Quai Branly, 222 rue de l’Université, Paris 7è - Rens. Et inscription Mme Brice Monnou, 06 18 00 78 66 fecodev@gmail.com www.fecodev.org

 

jeudi 7 novembre à 18h30 : Soirée agir avec le Crédit Coopératif - Depuis 1983, le Crédit Coopératif, 1ère banque française à proposer un placement de partage pour soutenir le développement dans les pays du Sud a mesuré le chemin parcouru. Les dons versés à nos associations partenaires ont franchi les 5 millions d’euros en 2012 ! Mais quel en est le bilan ? Pour quels résultats concrets ? Et quelles sont les perspectives nouvelles ? Le Crédit Coopératif invite ses clients et tous ceux qui veulent découvrir une finance différente à venir échanger sur ces questions - La soirée se poursuivra par un temps d’échanges avec les associations bénéficiaires de l’épargne de partage (Réseau Cocagne, AIDES, Action contre la Faim, Bioconsom’acteurs, Fondation Energies pour le Monde, Médecins du Monde, Habitat et Humanisme, Handicap International, Solidarités Nouvelles face au Chômage, la Voûte Nubienne, Terre et Humanisme, Echo-Mer, et d’autres !…) - Lieu : La Bellevilloise, 19 rue Boyer à Paris 20è, M° Gambetta ou Ménilmontant - Rens. juliaschorestene@hotmail.com - Inscription gratuite mais obligatoire : http://www.credit-cooperatif.coop/soiree-agir/

 

jeudi 7 novembre à 20h30: soirée court métrage du Burkina Faso - Lieu : Au Moulin à café, 8 rue Sainte Léonie, Paris 14è, M° Pernety - Rens. : 01 40 44 87 55 contact@moulin-cafe.orgbenprs75@gmail.com www.moulin-cafe.net

 

vendredi 8 novembre de 13h à 17h : Débat : Sorcellerie et violence en Afrique : une ethnographie par l’image. Séminaire organisé par Bruno Martinelli, professeur à Aix-Marseille Université, Sandra Fancello, chargée de recherche au CNRS et Jean-Claude Penrad, maître de conférences à l’EHESS. L’approche de la sorcellerie est l’un des défis les plus délicats à relever pour l’anthropologue, notamment du point de vue de la méthode ethnographique et de la posture de l’observateur observant l’invisible. Filmer la violence est-il légitime et jusqu’où peut-on filmer ? À quel moment l’ethnologue bascule-t-il de l’observation à la complicité passive face à ces situations extrêmes ? Quels usages, éventuellement pédagogiques, militants, peuvent être faits des vidéos témoignant de telles scènes de violence ? Voir la sorcellerie, avec André Mary (LAHIC), à propos du film Les Yeux de ma chèvre. - Lieu : Salle 1, 105 bd Raspail, Paris 6e - Rens. http://www.cemaf.cnrs.fr/spip.php?article777

 

vendredi 8 novembre de 18h à 22h : Lecture de la pièce de théâtre « Une Tempête » d’Aimé Césaire par l’association TEMPOC - Lieu : Auditorium de l’Hôtel de Ville de Paris, 5 rue lobau dans le 4ème arrondissement - Réservation au 01 42 76 67 10 et dgom@paris.fr http://aimecesairecelebrations2013.eklablog.com/manifestations-pour-l-annee-aime-cesaire-2013-c20775849

 

samedi 9 novembre de 12h à 20h : Débat sur la Tunisie : 8 heures pour les libertés en Tunisie, une journée pour s’informer et débattre, organisé par Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés, Salle Olympe de Gouges. 15 rue Merlin, 11e, M° Père Lachaise, - Rens. https://www.facebook.com/events/665858636774984/

 

samedi 9 novembre à 16h : Histoire de la littérature sud-africaine - Présentation par Denis Hirson de l’histoire de la littérature sud-africaine depuis le XIXe siècle jusqu’en 1994. Lieu : Médiathèque Edmond Rostand, 11, rue Nicolas Chuquet (17e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 9 novembre de 18h à 20h : Soirée de Gala Solidaire « Mutualisons et agissons pour un autre monde » organisé par Femmes et Contributions au Développement (FECODEV) - Repas - Danses traditionnelles : Afrique - Amérique Latine – Asie, Chants : Découverte nouveaux talents - Humoristes - Tombola - PAF 50€ par personne / Table de 10 personnes : 500€, Tenue correcte exigée - Lieu : Pavillon Royal, Carrefour du bout du Lac, Paris 16è, M° : Ligne 2 arrêt : Porte Dauphine, Bus : PC – arrêt Porte Dauphine ou Maréchal de Lattre de Tassigny - Rens. : Hélène : 06 67 92 90 21, Jacky : 06 18 02 48 56, Aïssa : 06 41 84 63 24, Adji : 06 66 61 46 72, Ghislaine : 06 87 33 07 25, Brice : 06 18 00 78 66 - fecodev@gmail.com www.fecodev.org

 

mardi 12 novembre de 10h à 18h (horaires à confirmer à l'inscription) formation mécénat-sponsoring : Parce-que le mécénat d'entreprise et le sponsoring ne sont pas réservés à l'Opéra Garnier ni aux grandes ONG, l'association Mécénat 2.0, KangouRoux et l'Effet Mécénat, vous proposent une formation pour faire le point sur les différentes étapes préalables au lancement d’une campagne de mécénat ou de sponsoring, et pour aborder l’angle de vue des entreprises en vue de les convaincre. Public visé : Tout porteur de projet (bénévole ou salarié d'association, artiste, entrepreneurs...) souhaitant mettre en place une démarche de mécénat-sponsoring. Coût de la formation : de 90€ à 250 € dans le cadre de la formation professionnelle continue. KangouRoux est membre de la coopérative CLARA - Lieux : Coopérative CLARA, 9-11 rue de la Charbonnière, Paris 18è. - Rens. Delphine Souffre-Lajus 06 60 63 43 41 delphine@kangouroux-concept.com ; contact@mecenat2point0.fr www.kangouroux-concept.com

 

mardi 12 novembre à 13h : Rassemblement pour le droit de vote des étrangers : le collectif Droit de Vote 2014 n'ayant pas reçu de réponse de l'Elysée à sa demande d'entrevue pour porter les pétition et demander ce qui sera fait en matière de loi instituant le DV des étrangers, a décidé d'y aller sans plus attendre. - Lieu : dans un lieu proche de l'Elysée, lieu qui reste encore à définir - Rens. feriel.saadni@ldh-france.org

 

mercredi 13 novembre de 16h30 à 18h : Soirées d'informations sur les Chantiers Internationaux de volontaires. Envie de voyager utile cet été ? Envie d'en savoir plus sur le volontariat international ? Au programme : - Qu'est ce qu'un chantier international ? - Les départs moyen/long terme, Service civique - L'occasion pour vous de poser vos questions, d'affiner votre projet, de rencontrer d'anciens volontaires ! - Lieu : Concordia, 64 rue Pouchet, Paris 17è, M° 13, station Brochant ou Guy Moquet - Rens Association CNCRD : 01 45 23 00 23 info@concordia.fr ou concordia.chantiers@yahoo.fr http://www.concordia-association.org

 

mercredi 13 novembre à 20h : Projection de "Assistance mortelle ” de Raoul Peck - Dans le cadre des mercredi de l'AFASPA - Débat à l'issue de la projection avec la participation de Jacqueline Derens Secrétaire générale des Rencontres contre l'apartheid. Organisé par l' Association Française d’Amitié et de Solidarité avec les Peuples d’Afrique (AFASPA) - PAF 5€ - Lieu cinéma La Clef, 34 rue Daubenton à Paris 5è, M° Censier Daubenton - Rens. AFASPA - 01 49 93 07 60 afaspa@wanadoo.frlogieelisabeth@yahoo.fr http://www.afaspa.com

 

mercredi 13 novembre à 20h30: soirée "Thomas Samkara, une révolution africaine" avec Bruno Jaffre - Lieu : Au Moulin à café, 8 rue Sainte Léonie, Paris 14è, M° Pernety - Rens. : 01 40 44 87 55contact@moulin-cafe.orgbenprs75@gmail.com www.moulin-cafe.net

 

jeudi 14 novembre à 19h : 50 ème réunion du Collectif de Solidarité avec les Luttes Sociales et Politiques en Afrique - Salle Commission 1, Bourse du travail de Paris, 3 rue du châteaux d’eau, M° Bonsergent ou République - Rens. http://electionsafrique.org - http://regardexcentrique.wordpress.com/2012/08/04/calendrier-des-elections-en-afrique/

 

du vendredi 15 au 24 novembre : 3ème année Festival des Nouveaux Cinémas Documentaires dans le cadre de la manifestation nationale du Mois du Film Documentaire. Des partenariats en France, en Europe, au Bénin et en Afrique du Sud sont engagés pour soutenir la jeune création documentaire et les cinématographies peu ou pas connues (cinémas documentaires d'Afrique, courts métrages, films d'animation et webdocumentaires). Une émission de radio en direct animée par REC, la radio des foyers, un "journal du festival" et des actions culturelles (jeune public, public en apprentissage du français, personnes en insertion) sont également proposés. Belleville en Vue(s) est une association parisienne basée dans le 20ème arrondissement de Paris, dont l'objet est de promouvoir la jeune création cinématographique en proposant des ateliers d'éducation/sensibilisation à l'image et des séances de projection de films. Depuis sa création en 2004, l'association développe un projet artistique et culturel qui positionne le cinéma comme une source de connaissances, de dialogue interculturel et de lien social. Les activités que nous développons en partenariat avec les structures socio-éducatives du quartier s'adressent au "tout public" et aux publics "spécifiques" (travailleurs migrants du foyer Troènes dans le 20ème, personnes en apprentissage du français suivis par des centres sociaux, jeunes suivis par la protection judiciaire de la jeunesse, séniors). - Lieux : Le festival se déplace à la rencontre des publics et s'installe dans différents lieux : Ateliers Varan, Maison des Métallos, Carré de Baudouin, l'espace Khiasma et le Musée Commun. - Rens : Clémentine Dramani Issifou, Déléguée Générale Belleville en Vue(s) , 10-12 allée du père Julien Dhuit, Paris 20è - Rens 01 40 33 94 15 contact@belleville-en-vues.orgclementine@belleville-en-vues.org www.belleville-en-vues.org

 

vendredi 15 novembre à 14h : Projection-débat "Les déportés du libre-échange" : Organisateur : CRL10 . Groupe scolaire.- Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Centre Jean Verdier, 11 rue de Lancry, Paris 10è - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

vendredi 15 novembre de 18h à 21h : Assemblée générale du Copaf (Collectif pour l'avenir des foyers) et débat sur son avenir. - Lieu : local du DAL 29, avenue Ledru Rollin Paris 12ème, M° ou RER Gare de Lyon ou M° Quai de la Rapée - Rens. 06 87 61 29 77 copaf@copaf.ouvaton.org

 

vendredi 15 novembre à 18h30: Apéro-dinatoire africain suivit à 20h30 d'une soirée contes burkinabés animée par Junior Birba et son musicien - Lieu : Au Moulin à café, 8 rue Sainte Léonie, Paris 14è, M° Pernety - Rens. : 01 40 44 87 55 contact@moulin-cafe.orgbenprs75@gmail.com www.moulin-cafe.net

 

vendredi 15 novembre à 19h Projection-débat de "Love MEAT Tender" - Organisateur : CRL10 - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Centre Jean Verdier, 11 rue de Lancry, Paris 10è - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

samedi 16 novembre à 11h30 dans le cadre de l'Exposition "Initiés, bassin du Congo" : visites guidées qui permettent de comprendre, dans le cadre des rituels initiatiques, les contextes d'utilisation des œuvre pour les adultes (max. : 25 pers.) - Tarif : 5€ + droit d'entrée de l'exposition, Gratuit pour Les Amis du musée Dapper. - Lieu : Musée Dapper, 35 bis, rue Paul Valéry, Paris 16è - Réservation au 01 45 00 91 75 visitesguidees@dapper.fr

 

samedi 16 novembre à 15h : Projection de Lettres de fin d’apartheid suivie d’un débat en présence de la réalisatrice Corinne Moutout (2001, 86 mn). Que reste-t-il de l’apartheid ? L’Afrique du Sud a certes rompu avec son système raciste en 1994, mais le passé n’est pas aboli : les inégalités sociales et les préjugés ne disparaissent pas si vite. L’enquête de Corinne Moutout, menée en ville (Johannesburg et Le Cap) et à la campagne, s’attache avant tout à montrer le chemin parcouru. Elle est portée par la voix off d’une jeune femme blanche qui écrit à son compagnon noir demeuré en Europe. Dans le cadre du Mois du film documentaire. - Lieu : Bibliothèque Claude Lévi-Strauss I 41, av. de Flandre (19e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 16 novembre à 16h : Sharp, Sharp ! Film de Sylvie Coulon (2009 - France - 65 mn). À l’occasion des résidences croisées d’artistes entre l’Île-de-France et les townships d’Afrique du Sud, les luthiers, musiciens et danseurs professionnels et amateurs engagés dans le projet Sharp Sharp ! transforment la partition complexe de J.L. Mechali en spectacle trépidant. Le film raconte cette démarche et aussi l’histoire des relations que nouent, à cette occasion, des Français avec des Sud-africains. Projection suivie d’une rencontre avec Claire Lenormand, chargée de production de Lutherie urbaine, et la réalisatrice Sylvie Coulon (sous réserve). Dans le cadre du Mois du film documentaire. - Lieu : Médiathèque Marguerite Duras I 115, rue de Bagnolet (20e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedis 16, 23 et 30 novembre; 14 décembre à 16h. Spectacle humoristique de Moussa Lebkiri "Maghrébien que mal" Moussa Lebkiri fait sa rentrée ! Comédien, metteur en scène, conteur, saltimbanque… - Lieu : théâtre Passage vers les étoiles, 17 Cité Joly Paris 11è, M° Père Lachaise ou Saint Maur - Réservation : au 01 48 76 79 20 ou 01 43 38 83 45 ou par mail à cafe.bavard@laposte.net  http://lepassageverslesetoiles.com/reserver/10-maghrebien-que-mal-

 

samedi 16 novembre à 16h : Lectures, performances des poétesses sud-africaines : Lebogang Mashile et Ronelda Kamfer - Denis Hirson, auteur et poète sud-africain présente Lebogang Mashile et Ronelda Kamfer et parle de l’évolution de la poésie sud-africaine. Les deux poétesses proposent chacune une lecture de leurs textes : Lebogang donne une lecture performée d’inspiration hip hop, en anglais (traduction en français) ; Ronelda fait une lecture en anglais et en afrikaans (traduction en français).- Lieu : Bibliothèque Marguerite Audoux I 10, rue Portefoin (3e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 16 novembre à 16h30 : Écrire la liberté, lire la liberté : lecture des textes des « Rainbow Soldiers » - Les comédiens de l’association IMPALA proposent de lire, dire, propager et partager les textes et poèmes présentés dans l’exposition Rainbow Soldiers avec l’écoute de la bande-son de l’exposition et le jeu du « KOKIBARRE ». Lieu : Médiathèque Edmond Rostand, 11, rue Nicolas Chuquet (17e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

dimanche 17 novembre à 14h dans le cadre de l'Exposition "Initiés, bassin du Congo" : visites guidées qui permettent de comprendre, dans le cadre des rituels initiatiques, les contextes d'utilisation des œuvre (min. 10 pers, max. 25 pers) Pour les familles (adultes et enfants)- Tarif : 5€ + droit d'entrée de l'exposition, Gratuit pour Les Amis du musée Dapper. - Lieu : Musée Dapper, 35 bis, rue Paul Valéry, Paris 16è - Réservation au 01 45 00 91 75 fcamara@dapper.fr

 

lundi 18 novembre de 17h30 à 19h30 : Opposants Algériens après l’indépendance avec Malika Rahal (IHTP/CNRS), - Dans le cadre du Séminaire "Circulations des cultures d’opposition : Mouvements politiques et sociaux en Afrique et Madagascar (années 60s-70s) - Lieu : CHS, 9 rue Malher, Paris 4è, 2e étage, Salle person. - http://www.cemaf.cnrs.fr/spip.php?article776

 

mardi 19 novembre de 18h à 19h30 : Visites de sensibilisation à l'Exposition "Secrets d'Ivoire", L'art des Lega d'Afrique Centrale - Lieu : Musée du Quai Branly - 37, Quai Branly, Paris 7ème. Rens. Réservation au 01 56 61 71 72, du lundi au vendredi de 10h à 16h30. www.quaibranly.fr

 

mardi 19 novembre de 18h à 21h : Vous êtes originaire d’Afrique Subsaharienne, vous avez un projet professionnel en France et/ou en lien avec l’Afrique. Ce club, proposé par le GRDR (Groupe de recherche et de Réalisations pour le Développement rural), vous permet de rencontrer d’autres porteurs de projets, de trouver des informations utiles et d’échanger vos expériences, vos ressources et vos compétences. - Lieu : Cité des Sciences et de l'Industrie - 30, avenue Corentin-Cariou, Paris. 19è - Rens. et inscription : 01 48 57 75 80 Antenne.idf@grdr ou halimata.so@grdr.org

 

mardi 19 novembre à 19h : Le Polar sud-africain : rencontre avec Mike Nicol - Cet auteur sud-africain, a choisi le polar pour exprimer l’Afrique du Sud et la violence plurielle qui s’y exerce. Quel rôle et quel espace de liberté le roman noir permet-il à l’écrivain ? Comment évoquer les sujets politiques et sociaux, en ayant ce double regard de journaliste et d’auteur ? Gérard Meudal, journaliste littéraire au Monde, questionne Mike Nicol sur ses choix d’écriture et sur la situation actuelle en Afrique du Sud. Lieu : Bibliothèque Parmentier, 20 bis, rue Parmentier (11e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

mardi 19 novembre de 19h à 21h : rencontre autour de la pièce « Une Saison au Congo » d’Aimé Césaire jouée du 8 au 24 novembre aux Gémeaux, scène nationale de Sceaux. Table ronde avec le metteur en scène Christian Schiaretti, le comédien congolais Marcel Mankita et l’écrivain guadeloupéen Daniel Maximin (auteur du récent "Aimé Césaire, frère volcan" publié au Seuil) autour de ce nouveau spectacle et du texte d’Aimé Césaire, suivie de lectures par quelques comédiens du spectacle et d’une dédicace de l'ouvrage. Lieu : Librairie-Galerie Congo, 23 rue Vaneau Paris 7e Métro Saint-François Xavier. Entrée libre. Rens. Marie Alfred Ngoma 01 40 62 72 83 marie-alfred.ngoma@lagaleriecongo.com / http://lagaleriecongo.com

 

mercredi 20 novembre à 14h30 pour les 8 /10 ans, 16h30 pour les 11/13 ans : Initiation au Gumboot : Le Gumbootest une danse qui prend son origine auprès des mineurs noirs d’Afrique du Sud, durant l’Apartheid , et s’est répandue ensuite dans d’autres pays du continent africain , emblématique d’une culture populaire maintenant reconnue . Avec Sibongile MbambO, Médiathèque Hélène Berr, 70, rue de Picpus, Paris 12e - Sur réservation auprès de la bibliothèque. Venir avec ses bottes en caoutchouc. - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

mercredi 20 novembre à 19h30 : Comment devient-on une femme en Afrique du Sud ? Comment trouver et préserver son identité par-delà les coutumes, les rituels du mariage, les usages domestiques ? Comment déjouer les stéréotypes qu’on voudrait attacher aux femmes sud-africaines ? Comment affirmer son désir d’être artiste quand on est une femme issue des townships ? Une rencontre entre les deux artistes, Lebogang Mashile, et Nelisiwe Xaba pour parler de la vie, des hommes, de la politique, de leur rébellion contre la domination masculine, de la violence qui s’exerce contre elles. - Rencontre modérée par Sophie Bouillon, journaliste - Lieu : Bibliothèque Marguerite Durand, 79, rue Nationale (13e) Rens. : http://www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement/

 

jeudi 21 novembre de 19h à 21h30 : Rencontre-débat : Nos vies et nos cultures sont composées de plusieurs histoires qui se chevauchent. Dans sa conférence "TED", la romancière nigériane Chimamanda Adichie raconte son parcours à la recherche de sa voix culturelle authentique et nous interpelle contre la méconnaissance dans laquelle nous plongeons lorsque nous nous contentons d'une histoire unique à propos de l'autre, qu'il soit une personne ou un pays. L'association de solidarité Intercordia - qui propose notamment un volontariat diplômant à une cinquantaine de jeunes chaque année - vous invite à un atelier de réflexion « World café » animé par Helga SCHENZER sur cette problématique qui nous concerne tous et est au cœur de la finalité d'INTERCORDIA de se « former ensemble à des pratiques de Paix ». - Lieu: 8, rue de la Durance, Paris 12e, M° Ligne 6 ou 8 - Place Daumesnil - Rens. Baptiste Anguis, Chargé de projet 01 84 16 91 57, 06 37 17 56 47 baptiste.anguis@intercordia.orgwww.intercordia.org - Réservation contact@intercordia.org

 

jeudi 21 novembre de 19h30 à 21h : Marielle Debos présentera à la Librairie Résistances son dernier ouvrage Le métier des armes au Tchad. Le gouvernement de l'entre-guerres paru en avril 2013 chez Karthala". Lieu : La librairie Résistances, 4 villa Compoint, Paris 17è, M°: Guy Moquet ou Brochant. - Rens. mdebos@wanadoo.fr http://www.librairie-resistances.com/spip.php?article671

 

jeudi 21 novembre 19h30 La violence en Afrique du Sud, quelle origine ?. Régulièrement pointée du doigt dans les médias autour des faits de violence, l’Afrique du Sud est considérée comme l’un des pays les plus violents au monde. L’origine de la criminalité est enracinée dans une histoire longue et douloureuse entre des peuples qui se sont affrontés pour la possession du territoire. Pour tenter de comprendre les origines et les enjeux de la lutte contre la criminalité, Mike Nicol, Nelisiwe Xaba et Myriam Houssay-Holzschuch, ancienne élève de l’École normale supérieure, agrégée de géographie, qui poursuit des recherches sur les villes, les territoires et les identités de l’Afrique du Sud post-apartheid, dialoguent avec la journaliste Sabine Cessou, auteure de Johannesburg, la fin de l’apartheid, et après ? Lieu Bibliothèque Batignolles, mairie, salle des mariages 18, rue des Batignolles (17e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

vendredi 22 novembre de 9h à 18h : Débat : Des Tiers-mondes aux mondes globalisés : Trente ans de recherches sur le développement et la mondialisation Journée d’étude organisée pour les 30 ans du GEMDEV, Journée organisée avec le soutien du Crédit municipal de Paris, l’Université Paris Lumières, l’Université Paris-Ouest (Nanterre-La Défense), l’Université Paris 8 (Vincennes-Saint-Denis). Cette journée a pour objectif de débattre des enjeux et perspectives relatifs aux études portant sur le développement et la mondialisation auquel le GEMDEV contribue. Les débats sur le développement ont évolué, le « Sud » devient de plus en plus délicat à définir… et que dire des « politiques de développement » ! 30 ans après, où en est la recherche sur le développement, quelles dynamiques, quelles nouvelles questions de recherche ? - Lieu : Crédit Municipal de Paris, 55 rue des Francs Bourgeois, Paris 4è - Rens. Inscription obligatoire 01 44 78 33 15 gemdev@univ-paris1.fr http://www.gemdev.org/

 

vendredi 22 novembre à 11h : Projection scolaire "Nouadhibou : les poissons ne font pas l'amitié" Organisateur : Centre de la Grange aux Belles - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Centre de la Grange aux Belles, 55 rue de la Grange aux Belles, Paris 10è, Accès piéton : 6, rue Boy Zelenski (par la rue des Écluses Saint-Martin) - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

vendredi 22 novembre à 15h : Projection scolaire "Le pain des tropiques" - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Centre de Château Landon, 31 rue de Château Landon, Paris 10è - Rens. 01 46 07 84 12 - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

vendredi 22 novembre à 18h : Projection-débat du film "Love MEAT Tender" et jeu de la ficelle. Un atelier et déjeuner de cuisine - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Centre d'animation Montparnasse, 26 Allée du Chef d'Escadron de Guillebon, Paris 14 - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

vendredi 22 novembre à 19h30 : Projection/Débat "Les Déportés du Libre Echange" avec Marie-Monique Robin : 10 ans après la signature du traité de libre-échange ALENA, ce court-métrage en fait le bilan pour les paysans mexicains. Autrefois producteurs de leur alimentation de base, ils dépendent aujourd'hui des importations et des transferts d'argent de leurs proches émigrés aux USA. Un cas d'école sur la nécessité de soutenir une agriculture familiale - Organisateur : Artisans du Monde Paris 9 - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Centre d’Animation Place des Fêtes 2/4, rue des Lilas Paris 19ème - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

vendredi 22 novembre à 19h30 : Concert de Sibongile Mbambo, Afrique du Sud - Outre sa voix pure et sa beauté déconcertante, Sibongile dévoile un univers au sein duquel se mélangent la culture bantoue, la soul et l’électro. Dans le cadre du festival Monte le son et du festival Africolor - Lieu : Médiathèque Marguerite Duras • 115 rue de Bagnolet à Paris - Rens. 01 44 78 80 50 http://www.africolor.com/

 

vendredi 22 novembre à 19h30 : Concert : Sibongile Mbambo - Sibongile Mbambo chante en xhosa, sa « musique mère ». Elle est accompagnée de quatre musiciens. Son inspiration musicale plonge tout autant dans la tradition que dans une culture urbaine. Ce concert s’inscrit dans le cadre du Festival Monte le Son ! qui a lieu en novembre dans les bibliothèques de la Ville de Paris. En partenariat avec le festival Africolor. www.africolor.com - Lieu : Médiathèque Marguerite Duras, 115, rue de Bagnolet (20e), M° Porte de Bagnolet - Rens. 01.44.78.80.50 www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

vendredi 22 novembre à 20h : Projection dans le cadre de "Clap sur Dakar" de M’as-tu vu ? de Augustin Ndong, 2004, 7mn : Dans un car rapide dakarois, un Don Juan fait son numéro devant une jeune fille. Il s’aperçoit que la belle est aveugle … et de Touki Bouki de Djibril Diop Mambety, 1973, 89 mn, VO ST Fr : À Dakar, où il est venu vendre son troupeau, un berger rencontre une étudiante. Tous deux rêvent de se rendre à Paris… Un hymne à la jeunesse, entre tradition et modernité, entre rêve et réalité, un des chefs d’œuvre du cinéma africain. - L'objectif de ce cycle de projections (Clap sur Dakar Loin des calebasses !) , c’est organiser un portrait culturel de Dakar du point de vue des cinéastes, bâti sur des fragments d’histoire de la société sénégalaise. C'est également pour Clap Noir, une nouvelle occasion d’affirmer son engagement face à cette cinématographie méconnue et peu visible à Paris. En trois séances, mêlant fictions et documentaires, Clap Noir propose un focus sur le cinéma dakarois avec des rencontres dans une ambiance conviviale. - Bar du maquis : boissons et petite restauration africaines - Tarif : 7€ - Lieu : Le Nouveau Latina, 20 rue du Temple, Paris 4e - Rens. 01 42 78 47 86 www.lenouveaulatina.comwww.tandem-dakarparis.com - Contact Clap Noir : 01 48 51 53 75 info@clapnoir.org www.clapnoir.org

 

vendredi 22 novembre à 20h : Table ronde littéraire « La Mauritanie en partage » avec les auteurs Beyrouk, Bios Diallo, Karim Miské et Abdoul Ali War - Animation : Bernard Magnier, directeur de la collection Afrique (Actes Sud). Ils ont en partage la Mauritanie, parce qu’ils y sont nés, parce que leurs parents en sont issus. Ils vivent aujourd’hui à Nouakchott ou à Paris. Ils sont écrivains et ont choisi le roman (policier), le théâtre ou la poésie pour faire entendre leur voix, dire leur pays (de naissance ou de résidence), son quotidien, ses traditions, ses fièvres et ses drames. Ils sont aussi journaliste, chroniqueur, animateur culturel, directeur de festival, ils sont actifs dans la vie culturelle de leurs cités et tentent, ici et là, de donner une place aux artistes. Une occasion de découvrir quatre écrivains aux univers fort différents, aux écritures diverses mais qui ont tous quelque chose de… la Mauritanie. - Lieu : Le TARMAC – La scène internationale francophone, 159 avenue Gambetta, Paris 20è - Rens. 01 43 64 80 80 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 23 novembre à 10h : Première projection du long métrage documentaire "Le Néon et le Goudron" suivi d'un débat avec le réalisateur Denys Piningre. Ce documentaire retrace la réflexion et l'arrivée de l'électricité et de la route au village Sindou au Burkina Faso - Fin 2004, depuis quelque temps, on ne parle plus que de ça : l'électricité va arriver bientôt dans ce village où l'on s'éclaire à la lueur de la lune, celle des lampes à pétrole ou à huile ou encore avec des torches à piles. La population attend que la route goudronnée vienne remplacer la piste chaotique qui doit être ravaudée après chaque saison des pluies. C'est l'unique lien, parfois impraticable durant l'hivernage, avec le reste du monde et la ville de Banfora distante de 50 km que l'on atteint au mieux en deux ou trois heures. Le village de Sindou, protégé par un massif de magnifiques concrétions granitiques, les Pics de Sindou, mène une vie calme, quasi semblable à ce qu'elle était il y a 500 ans à sa création : artisanat, activités des champs, rites animistes... Tout le monde pense que l'arrivée du courant va changer la vie du village, permettre à chacun de gagner plus d'argent, les jeunes auront du travail, les commerçants vont prospérer, les producteurs agricoles vont pouvoir écouler leurs récoltes, beaucoup de gens vont venir s'installer, ceux qui ont quitté le village pour faire leur vie ailleurs vont y revenir, des quartiers entiers vont surgir du sol... L'attente est forte, chacun(e) se projette dans un avenir radieux, moderne... Le film s'installe dans cette longue attente, et fait partager au fil des années (de 2004 à 2012) le quotidien des femmes, des hommes et de enfants, écoute leurs espoirs, les plans sur la comète électricité... et en montre la lente et parfois étonnante progression, entre temps immuable et temps perturbé... - PAF 5€ - Lieu : cinéma l'Entrepôt, rue Francis de Pressencé, Paris 14 - Rens. benprs75@gmail.com

 

samedi 23 novembre de 12h à 22h : Journée culturelle sur le Burkina : à 13h repas burkinabé - 15h : présentation de l’association Afrika Tiss - 16h : petite histoire du cheval mandingue avec Madi Dme - 16h : marché artisanal du Burkina-Faso - 19h : restauration traditionnelle - 20h30 : concert traditionnel de Bakary iarra à la kora - Lieu : Au Moulin à café, 8 rue Sainte Léonie, Paris 14è, M° Pernety - Rens. : 01 40 44 87 55 contact@moulin-cafe.orgbenprs75@gmail.com www.moulin-cafe.net

 

samedi 23 novembre de14h à 17h : Vous êtes une femme immigrée ou issue de l’immigration. Vous avez un projet associatif, professionnel ou vous envisagez de créer une activité. Vous êtes à la recherche d’information sur les dispositifs et ressources existants. Cet espace de dialogue vous permet tous les mois de mûrir la réflexion autour de votre projet et de trouver les moyens de sa mise en œuvre. Accès gratuit sur inscriptions (dans la limite des places disponibles). - Lieu : Cité des Sciences et de l'Industrie - 30, avenue Corentin-Cariou, Paris. 19è - Rens. et inscription : 01 48 57 75 80 Antenne.idf@grdr ou halimata.so@grdr.org

 

samedi 23 novembre à 15h : représentation de Ster City : sorte de vraie fausse conférence aux accents burlesques, rien de moins que toute l’histoire de l’Afrique du Sud depuis l’apparition de l’Homo Sapiens à l’après-Mandela… Une histoire jouée par Lindiwe Matshikiza et Nicholas Welch. Puis Rencontre autour de la jeune création sud-africaine : pour témoigner de la richesse de la culture sud-africaine, avec les artistes du spectacle, le metteur en scène Jean-Paul Delore et l’auteur Niq Mhlongo. Rencontre modérée par Bintou Simporé, journaliste et coordinatrice de programmes de Radio Nova. - Lieu : Médiathèque Marguerite Duras I 115, rue de Bagnolet (20e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 23 novembre à 15h30 : Projection du film Come back to Africa de Lionel Rogosin tourné en Afrique du Sud en 1958 (95 mn), suivie d’une rencontre avec Michael Rogosin, son fils. Filmé clandestinement, ce documentaire-fiction avant l’heure est l’un des premiers à dénoncer la politique ségrégationniste de l’état Sud-africain. Dans le cadre du Mois du film documentaire. - Lieu : Bibliothèque Claude Lévi-Strauss I 41, av. de Flandre (19e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 23 novembre et dimanche 24 novembre de 16h à 19h : Stage de danse africaine de Guinée animé par Nsira Diallo le samedi et Hawa Bangoura le dimanche, à Micadanses, studio May B, 15, rue Geoffroy-L'Asnier, Paris 4è, M° Saint-Paul. Stage tous niveaux les deux jours, accompagné par des musiciens. Participation : 1 jour 35€ ­ 2 jours : 60€ - Renseignements et inscriptions : Maryse 06 14 38 81 11 ou mzal@club-internet.fr

 

samedi 23 novembre à 16h30 : Projection du film Nous n’irons pas à Khayelitsha : bidonville sud-africain (2005, 57 mn) et rencontre avec le réalisateur Darryl Evans - L’histoire de ce film, est aussi celle du retour de Darryl Evans dans son pays natal pour tenter de comprendre pourquoi, malgré toutes les souffrances et la pauvreté, ces habitants croient à l’avenir de Khayelitsha. Dans le cadre du Mois du film documentaire. Lieu : Médiathèque Edmond Rostand I 11, rue Nicolas Chuquet (17e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 23 novembre à 18h : Projection dans le cadre de "Clap sur Dakar" de documentaires et débat en présence d’Alice Diop : Les Malles de Samba Félix Ndiaye, 1989, 14 mn : A Waxi Naan, une équipe de copains récupère des fûts métalliques qui servaient à transporter le goudron. Ils les travaillent de manière à obtenir des plaques de métal qui deviendront des malles. - Diay diap, Ismaël Thiam, 2004, 5 mn : Dakar. Un canal d’écoulement sert de cadre à une partie de cartes entre des jeunes. Au rythme du djembé, les cartes tournent, la fortune avec. - Mon beau sourire de Angèle Diabang, 2005, 6 mn : Le tatouage de la gencive est une coutume répandue en Afrique de l’Ouest. Aujourd’hui encore ce rite de séduction est perpétué à Dakar. - Les sénégalaises et la sénégauloise, Alice Diop, 2007, 56 mn : La réalisatrice Alice Diop vient à Dakar pour la première fois. Elle découvre la cour où sa mère a grandi et où vivent des tantes, cousines et nièces qu’elle ne connaît pas. Ces femmes parlent de leur vie quotidienne, d’argent, de stratégies amoureuses, du mariage, de la polygamie et des hommes. - Tarif : 7€ - Lieu : Le Nouveau Latina, 20 rue du Temple, Paris 4e - Rens. 01 42 78 47 86 www.lenouveaulatina.comwww.tandem-dakarparis.com - Contact Clap Noir : info@clapnoir.org www.clapnoir.org

 

samedi 23 novembre à 20h : : Projection dans le cadre de "Clap sur Dakar" de documentaires et débat en présence d’Alice Diop : Vieux Samba de Serigne Mbodj, 2004, 9 mn : Vieux Samba, un riche politicien circule à bord de sa belle bagnole dans la cité perdue de Nietty Mbar. Son chemin croise celui de Bathie, un jeune homme à la recherche de sa dose. Une satire sociale du pouvoir au Sénégal - Le Mandat, Sembène Ousmane, 1968, 86 mn, VO ST Fr À Dakar, Ibrahima Dieng, un bon musulman sénégalais, vit avec ses deux femmes et leurs sept enfants. Alors qu’il est chez le coiffeur, ses femmes reçoivent un mandat d’Abdou, un neveu parti en France. Rapidement tout le quartier est au courant … Une peinture humoristique et sans concession de la nouvelle société sénégalaise corrompue après l'indépendance. - Tarif : 7€ - Lieu : Le Nouveau Latina, 20 rue du Temple, Paris 4e - Rens. 01 42 78 47 86 www.lenouveaulatina.comwww.tandem-dakarparis.com - Contact Clap Noir : info@clapnoir.org www.clapnoir.org

 

du mardi 26 novembre au 20 décembre : Exposition "Afrique du Sud, regard sur un pays diversifié" : Terre de contrastes, l’Afrique du Sud vit aujourd’hui entre inégalités et diversité. Riche de son territoire, de ses langues et de la pluralité des cultures et des populations, l’Afrique du Sud se remet des souffrances des années de l’apartheid. Une sélection de photographies présente les paysages et les disparités des populations qui constituent la nation arc-en-ciel d’aujourd’hui. En partenariat avec l’association Ubumi. - Lieu : Bibliothèque, Saint-Éloi I 23, rue du Colonel Rozanoff (12e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

mardi 26 novembre 19h : Conférence : À quoi ressemblent les villes sud-africaines ? Répondent-elles toutes au même modèle ou des disparités liées aux différentes populations et ethnies sont-elles visibles ? 20 ans après la fin de l’apartheid, quel en est leur quotidien ? Débat avec Sophie Didier, maître de conférences en géographie à l’Université Paris 13 Nord, et ancienne directrice de recherche à l’Institut français d’Afrique du Sud et Niq Mhlongo (biographie p. 11). Rencontre modérée par Sophie Bouillon, journaliste. - Lieu : Médiathèque Hélène Berr, 70, rue de Picpus (12e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

jeudi 28 novembre à 16h : Projection "Afrique du Sud, le grand pardon" - Documentaire de Jane Thandi Lipman et Robin Benger. (2010 - 52 mn - coproduction LC P / French Connection Films). De la haine d’autrefois à la paix d’aujourd’hui, l’Afrique du Sud racontée sans idéalisme ni évitement à travers l’histoire de cinq personnages : un ancien policier blanc ; une star du foot ; un seigneur de guerre ; la sœur de Maki Skhosana, brûlée vive et un avocat blanc en disgrâce pour avoir aimé une femme noire. Dans le cadre du Mois du film documentaire. - Lieu : Bibliothèque François Villon I 81, Bd de la Villette (10e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

vendredi 29 novembre de 13h à 18h : Conférences Autour du livre « Les manuscrits de Tombouctou » avec Jean-Michel Djian (Les photos de Seydou CAMARA parues dans ce livre font parties de l’exposition) Dans ce livre, qui mêle l’histoire de Tombouctou, les images de ces textes précieux et les contributions de cinq des plus grands africanistes : pourquoi un tel oubli ? Que cachent ces manuscrits ? Que peuvent-ils nous apprendre ? - Lieu : Pavillon Carré de Baudouin, 121, rue de Ménilmontant, Paris 20è, M° Gambetta - Rens. : 01 58 53 55 40, 01 43 15 20 85 sandra.lonchamp@paris.frwww.mairie20.paris.fr, www.carredebaudouin.fr http://www.carredebaudouin.fr/wp-content/uploads/2013/09/Dossier_de_presse_bamako_web.pdf

 

samedi 30 novembre de 9h30 à 17h : Forum "La non-violence à l'école" - Cette année, le forum a pour thème le théâtre-forum comme outil de gestion non-violente des conflits, et donne la parole à des intervenants spécialisés : - Véronique Guérin, psychosociologue et directrice de l'association Etincelle : http://www.etincelle-theatre-forum.com/ - Fabienne Brugel, directrice artistique de la compagnie NAJE : http://www.compagnie-naje.fr/ - Guillaume Tixier, formateur à l'IFMAN (http://www.ifman.fr/) et auteur de Le théâtre-forum - Apprendre à réguler les conflits (Chronique sociale, 2009) - Lieu : Mairie du 10e arrondissement de Paris , 72 rue du Faubourg Saint-Martin - Rens. Et Inscription : Coordination pour l'éducation à la non-violence et à la paix, 148, rue du Faubourg Saint-Denis; Paris 10è - rens. 01 46 33 41 56 secretariat@education-nvp.org http://education-nvp.org/

 

samedi 30 novembre à 16h : Projection de Classified people : Film de Yolande Zauberman (1987, 60 mn). La loi de classification de 1948 a été l’un des fondements de l’apartheid. Robert se croyait Blanc ; lorsque la Cour le classe métis, il perd tous ses droits. Il refait sa vie avec Doris qui est noire. Tous deux racontent, avec tendresse, humour et simplicité, leur vie de « personnes classées », en butte aux exactions légales, aux humiliations, à la délation. Dans le cadre des Samedis du documentaire et du Mois du film documentaire. Lieu : Bibliothèque Marguerite Audoux I 10, rue Portefoin (3e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 30 novembre à 16h30 : Concert de Sam Tshabalala - Inspiré par la mosaïque des cultures sud-africaines et chantant aussi bien en Zoulou, en Sotho, en Tswana qu’en Anglais, Sam Tshabalala nous transporte dans sa terre d’origine et nous décrit la vie qu’on mène dans les townships. En partenariat avec l’association IMPALA. - Lieu : Médiathèque Edmond Rostand I 11, rue Nicolas Chuquet (17e) - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

samedi 30 novembre à 20h30 : Concert Kithara Musique épicée de l’île de Zanzibar, cet orchestre composé des plus grands interprètes du Taarab perpétue le croisement des rythmes aux influences arabes avec les traditions populaires. Un jeu de séduction chanté en swahili… - Dans le cadre du festival Africolor - Tarif de 26€ à 12€ - Institut du Monde Arabe, 1 rue des Fossés-St-Bernard à Paris - Rens. 01 40 51 38 14 http://www.africolor.com/

 

Actions situées en Seine et Marne (77)

 

jusqu'au 23 novembre : Exposition de Djibril Maïga dit « Maïdji », artiste peintre en Bogolan - Lieu : Maison des cultures et des arts, Centre culturel Côté cour, 86 rue de Paris à Lieusaint (77) - Rens. 01 60 60 97 51 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

vendredi 15 novembre à 19h : Projection de LoveMEATender : Séance précédée d'un buffet BIO offert par BIOCOOP Avon-Fontainebleau. Film à 20h suivi du débat - Organisateur : amapbellesfontaines - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Cinéma Jean Gabin, Palais des rencontres, rue Pierre de Courbetin (près du CES Fernand GREGH) à Champagne-sur-Seine (77) - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

du samedi 16 au 24 novembre : Festival Les Traversées, de l'Afrique à Sénart dans le cadre de la Semaine de la Solidarité Internationale. Les Traversées, de l'Afrique à Sénart a pour ambition de présenter la culture africaine contemporaine, vivante et dynamique, loin des représentations traditionnelles. Au fil de ce festival, ouvert par le concert de Fatoumata Diawara, vous pourrez discuter avec Marguerite Abouet autour de son film Aya de Yopougon, échanger lors d'une table-ronde avec des auteurs mauritaniens, vivant en France ou en Mauritanie, sur leur vision de leur pays, débattre avec Wilfried N'Sondé au cours d'un café littéraire sur le vivre-ensemble en banlieue. Pendant toute la semaine, les auteurs participeront à des ateliers avec des classes. Des séances de contes, films d'animation et documentaires seront présentées dans les médiathèques. - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 16 novembre à 14h : Projection d'un film documentaire d'Ariane Doublet : Public adulte : Au Bénin, dans le cabinet médical du docteur Moussa Maman. La pièce est rudimentaire l'espace étroit, quelques chaises, une couche pour s'étendre. Le docteur, son assistant et quelques malades qui défilent sans oublier un guérisseur. Allié du guérisseur, guérisseur à son tour, le médecin passe sans sourciller de la médecine européenne aux recettes magiques ancestrales. Il diagnostique une fièvre maligne avec la même science qu'un mal d'amour resté bloqué dans la gorge. Médecin doublé d'un psychanalyste, il fait tomber la fièvre. - Lieu : Médiathèque de Moissy-Cramayel, Place du 14 juillet 1789 à Moissy-Cramayel (77) - Rens. 01 64 88 17 40 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 16 novembre à 15h30 : « De Dakar à Kédougou » (contes) par Delphine Noly : Formé à l’École Nationale des Arts de Dakar en théâtre, danse et musique. Elle y découvre le récit, la kora et les chants, et commence à raconter dans les quartiers, à la radio et à la télévision sénégalaise. De retour en France, elle fonde la Compagnie de la Tortue avec laquelle elle crée des spectacles où se mêlent contes, récits contemporains et parole personnelle dans une recherche qui met en jeu la musique, le corps et l’espace. - Lieu : Médiathèque de Combs-la-Ville, Rue Jean-François Millet à Combs-la-Ville (77) - Rens. 01 64 88 61 53 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 16 novembre à 16h : Rendez-vous cinéma : projection d'un film d'Ousmane Sembéné, A partir de 12 ans Dans un village africain, il y a sept ans, une jeune mère a refusé que sa fille soit excisée, pratique qu’elle juge barbare. Aujourd’hui, quatre fillettes s’enfuient pour échapper à ce « rite de purification » et demandent protection à cette femme. Deux valeurs s’affrontent alors : le respect du droit d’asile (le Moolaadé) et l’antique tradition de l’excision (la Salindé). - Lieu : Jardin Comédien, 53 bis rue de Paris, Lieusaint (77) - Rens. 01 60 60 97 51 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 16 novembre à 19h30 : Ouverture officielle du festival : buffet du monde suivi du concert de Fatoumata Diawara à 20h45 : Enfant prodige du cinéma au Mali, comédienne pour le Royal de Luxe, voix de la sorcière dans la comédie musicale Kirikou et Karaba et choriste pour Dee Dee Bridgewater, Fatoumata Diawara s'est imposée en 2012 comme l'une des plus belles chanteuses folk. Guitare à la main, elle chante ses chansons bouleversantes et lumineuses, inspirées de son expérience de femme africaine. Son art sonne comme un défi au monde entier et ce n’est pas un hasard si, la veille de son concert à l’Espace Prévert, elle se verra décerner à Milan en Italie, un Award pour la Paix… Tarifs du concert : 14€ à 18€ - Lieu : Espace Prévert, Scène du monde, 4 place du Miroir d'Eau au Plessis-le-Roi, Savigny-le-Temple (77) - Rens. 01 64 10 55 10 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

dimanche 17 novembre 14h : Projection du film d'animation « Aya de Yopougon » (2013) de Marguerite Abouet suivie d'un débat en présence de la réalisatrice : Fin des années 1970 en Côte d'Ivoire à Yopougon, quartier populaire d'Abidjan. C'est là que vit Aya, 19 ans, une jeune fille sérieuse qui préfère rester étudier à la maison plutôt que de sortir avec ses copines. Aya partage ses journées entre l'école, la famille et ses deux meilleures amies : Adjoua et Bintou, qui ne pensent qu'à aller « gazer » en douce à la nuit tombée dans les maquis. Les choses se gâtent lorsque Adjoua se retrouve enceinte par mégarde. Que faire ? - Tarif : 3,50€ - Lieu : Scène nationale de Sénart - La Rotonde, Place du 14 juillet 1789 à Moissy-Cramayel (77) - Rens. 01 60 34 53 60 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

mardi 19 novembre à 20h30 : Projection du film documentaire « Malouma, diva des sables » de Cheik N'Diaye (2005) : A Nouakchott, la chanteuse Malouma est une star, respectée tant pour sa musique que pour ses prises de positions politiques. Elle est issue d’une famille de griots. Le griot, dans la tradition africaine, a pour fonction de chanter les louanges des dignitaires, mais aussi d’être le gardien de la mémoire collective du pays. Mais Malouma a choisi de s’écarter de la tradition en abordant des sujets tabous en Mauritanie. Sa libre parole lui a valu la censure pendant des années, la poussant à exporter sa musique sur les scènes du monde entier. - Tarif : de 5€ à 6€ - Lieu : Espace Prévert, Scène du monde, 4 place du Miroir d'Eau au Plessis-le-Roi, Savigny-le-Temple (77) - Rens. 01 64 10 55 10 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

mercredi 20 novembre à 14h30 : Club ciné : film d'animation de Michel Ocelot - à partir de 6 ans - Le grand-père nous accueille dans sa grotte bleue, pour de nouvelles confidences. Il restait encore de beaux souvenirs de l'enfance de Kirikou à évoquer : les moments où il a aidé les hommes et les femmes de son village et d'ailleurs. - Lieu : Médiathèque de Lieusaint, Centre culturel Côté cour, 86 rue de Paris à Lieusaint (77) - Rens. 01 64 13 55 71 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

mercredi 20 novembre à 15h30 : Projection d'un film documentaire de Cheikh N'Diaye : A Nouakchott, la chanteuse Malouma est issue d’une famille de griots. Le griot, dans la tradition africaine, a pour fonction de chanter les louanges des dignitaires, mais aussi d’être le gardien de la mémoire collective du pays. Mais Malouma a choisi de s’écarter de la tradition en abordant des sujets tabous en Mauritanie. Sa libre parole lui a valu la censure pendant des années, la poussant à exporter sa musique sur les scènes du monde entier. - Lieu : Médiathèque de Combs-la-Ville, Rue Jean-François Millet à Combs-la-Ville (77) - Rens. 01 64 88 61 53 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 23 novembre à 10h30 : Mon p'tit ciné : à partir de 2 ans Mouk et Chavapa sont des globe-trotters qui font le tour du monde à vélo. De Tokyo à New York, de l'Australie à Madagascar en passant par la Crête, les deux copains vont à la rencontre des habitants de la planète..... Au-delà de toutes les différences, ils partagent une belle expérience et se font des copains aux quatre coins du monde. Chaque épisode débute par une conversation entre Mouk/Chavapa et leurs copains Popo/Mita restés à la maison. - Lieu : Médiathèque de Lieusaint, Centre culturel Côté cour – 86 rue de Paris à Lieusaint (77) - Rens. 01 64 13 55 71 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 23 novembre à 10h30 : Mon p'tit ciné : « Kituka » (contes) par Gabriel Kinsa – à partir de 4 ans - Gabriel Kinsa écrit, met en scène et interprète des spectacles de contes inspiré du Congo. Ses histoires sont racontées, jouées, mimées, dansées et chantées. A chaque conte, inspiré des ancêtres, Gabriel Kinsa injecte sa part d’originalité contemporaine et multiculturelle qu’il présente toujours avec beaucoup d’humour. - Lieu : Bibliothèque municipale Gérard Philippe, 11 place Condorcet, Vert-Saint-Denis (77) - Rens. 01 64 10 83 95 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 23 novembre à 15h30 : « Les contes de la Téranga » par Souleymane Mbodj - La Téranga est un mot wolof du Sénégal. C’est un concept qui recouvre les valeurs d’hospitalité, d’accueil, de disponibilité et de générosité. Raconter une histoire, c’est offrir le plus beau des cadeaux, un cadeau qui se transmet de génération en génération, un cadeau qui se partage. Souleymane Mbodj, conteur, auteur et musicien, nous fait voyager à travers les contes où hommes et animaux jouent pour nous une drôle de comédie humaine. Entre philosophie, humour et dérision, Souleymane fait revivre toute la magie de la tradition orale africaine. - Lieu : Médiathèque de Moissy-Cramayel, Place du 14 juillet 1789 à Moissy-Cramayel (77) - Rens. 01 64 88 17 40 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 23 novembre à 17h : Table ronde littéraire « La Mauritanie en partage » avec les auteurs Beyrouk, Bios Diallo et Abdoul Ali War - Une occasion de découvrir trois écrivains aux univers fort différents, aux écritures diverses mais qui ont tous quelque chose de… la Mauritanie.- Animation : Bernard Magnier - Lieu : Médiathèque des Cités Unies - Savigny-le-Temple, 1 place Paul Desphelipon – 77176 Savigny-le-Temple (77) - Rens. 01 64 79 61 70 à Savigny-le-Temple - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

samedi 23 novembre à 20h30 : Concert de « Corry » de son vrai nom Louise Corinne Denguemo, est une jeune chanteuse à la voix exceptionnelle née à Oveng près de Yaoundé. Elle fait ses premiers pas dans la musique en 1998 avec le groupe « MACASE » dont elle est lead voice et avec lequel elle réalise trois albums et obtient quatre récompenses dont le prix « Radio France Internationale Musique du Monde » en 2001 et le prix CICIBA au Fespam en 2003. - Lieu : Jardin Comédien, 53 bis rue de Paris, Lieusaint (77) - Rens. 01 60 60 97 51 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

dimanche 24 novembre à 17h : Projection du film documentaire « Sababou » de Samir Benchikh (2013) suivie d'un débat en présence d'Agathe Thierry, assistante de réalisation Le combat de Rosine, Diabson, Tiken et Michel, qui tentent, à leur échelle, d'améliorer le quotidien de leur pays. Pour un système judiciaire juste, contre les violences en milieu scolaire, ou pour que les artistes aient une place dans la société ils s'engagent, malgré les doutes et les obstacles. Parmi eux, Tiken Joah Fakoly, chanteur reconnu dans le monde entier, se sert de sa notoriété pour porter les préoccupations de ses concitoyens. - Tarif : 3,50 € - Scène nationale de Sénart - La Rotonde, Place du 14 juillet 1789 à Moissy-Cramayel (77) - Rens. 01 60 34 53 60 - Rens. : Bernadette Le Cuziat, Relations internationales et européennes 01 64 13 17 46 b.lecuziat@san-senart.fr www.senart.com

 

Actions situées dans les Yvelines (78)

 

mercredi 6 novembre à 20h45 : Soirée débat avec Kofi Yamgnane autour de son ouvrage (aux Editions Dialogues). Organisé par les Librairies : le Pavé Dans la Mare à Elancourt, le Pavé du Canal à Montigny et l'Association Action Mopti - Lieu : Centre des Sept Mares à Elancourt (78) - Rens. Eric Hardin, Librairie le Pavé du Canal 01 30 44 39 39 hardin@pave.fr

 

vendredi 15 novembre à 20h30 : Projection " Le pain des tropiques" La mobilisation des paysans en Haïti : Organisateur : CCFD-Terre Solidaire de St-Quentin-Est- Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Maison de l’Environnement, des Sciences et du Développement Durable, 6 rue Haroun Tazieff, Magny-les-Hameaux (78) - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

dimanche 17 novembre à 17h : Représentation de « Bonheur voyage » par la compagnie "Théâtre des Oiseaux" Création multidisciplinaire sur le thème des migrants - Spectacle soutenu par la Ligue des Droits de l’Homme, ASAH et Portail humanitaire pour sensibiliser un public intergénérationnel aux difficultés que rencontrent les migrants et aux dangers qu’ils encourent. Cette pièce met en évidence le chemin parcouru par les migrants pour arriver en Europe tout en soulignant la dimension humaine des personnages et leur quête d'un avenir meilleur. - Après la représentation l’équipe de la Compagnie propose un échange avec le public - Lieu : Salle du Bout du Monde, Quartier d’Elisabethville, place Eugène Moin à Epône (78) - Rens. : 01 30 94 51 64 theatredesoiseaux@wanadoo.frwww.theatredesoiseaux.fr - Réservation 01 30 95 60 29

 

Actions situées en Essonne (91)

 

samedi 16 novembre à 14h : Débat autour du gaspillage alimentaire : Film projeté : Taste the waste : Organisateur : EquiTerre Paris à l’occasion du festival ALIMENTERRE, EquiTerre Paris, La Maison de l’Environnement Mobile CAPS et Alter-natifs .- Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Mairie, Angle rue de l’Yvette / rue Charles de Gaulle, Derrière la Mairie ou derrière l’hôpital à Orsay (91) - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

Actions situées dans les Hauts de Seine (92)

 

samedi 2 novembre de 15h à 22h : 2ème édition de Roland Félix Moumié Day et Exposition photos sur le Cameroun (1950 à 196 - Roland Félix Moumié, Héros de l’indépendance du Cameroun - Projection d’un documentaire exceptionnel sur Roland Félix Moumié- Interventions d’historiens, suivies d’un débat sur les aspects de la vision de Roland Félix Moumié pour le Cameroun et l’Afrique - Présentation de l’ouvrage intitulé : La guerre de Libreville - Séance de dédicace de l’auteur Barthélémy Ntoma Mengom- Novembre 1940 : La France sous le régime de l’occupation et l’empire français reste soumis au gouvernement de Vichy en Afrique équatoriale, le Gabon est la seule colonie dont le gouverneur n’a pas rallié l’appel du Général De Gaulle. Soutenu par l’église et les colons locaux le gouverneur Masson organise la défense de la colonie contre une attaque des forces gaullistes en provenance du Cameroun qui vient de rallier à l’appel. - Lieu : Salle des Fête : 2 rue des Anciennes-Mairies à Nanterre (92) - Rens. 06 26 29 43 29  neuronesnews@gmail.com

 

du vendredi 8 au dimanche 24 novembre du mercredi au samedi à 20h45 les dimanches à 17h : représentation de "Une saison au Congo" d’Aimé Césaire - la pièce débute en 58 au Congo belge. Les ex colonisateurs, attisent les dissensions. L’atmosphère de liberté et de luttes politiques fiévreuses pour la conquête de l’indépendance, puis l’ascension de Patrice Lumumba, sont le sujet de la pièce de Césaire. À partir de faits politiques précis, Césaire transfigure la réalité pour faire de Lumumba une figure charismatique à la lucidité exaltée, symbole de toute l’histoire d’un continent. Lumumba, comme Césaire, est un poète « déraisonnable ». Lieu : Les Gémeaux, 49, avenue Georges Clemenceau à Sceaux (92) - Rens. Réservation 01 46 61 36 67 contact@lesgemeaux.com http://www.lesgemeaux.com/

 

mercredi 20 novembre à 14h : Représentation de « Bonheur voyage » par la compagnie "Théâtre des Oiseaux" Création multidisciplinaire sur le thème des migrants - Spectacle soutenu par la Ligue des Droits de l’Homme, ASAH et Portail humanitaire pour sensibiliser un public intergénérationnel aux difficultés que rencontrent les migrants et aux dangers qu’ils encourent. Cette pièce met en évidence le chemin parcouru par les migrants pour arriver en Europe tout en soulignant la dimension humaine des personnages et leur quête d'un avenir meilleur. - Après la représentation l’équipe de la Compagnie propose un échange avec le public - Lieu : Théâtre Rutebeuf 18 Allée Léon Gambetta à Clichy (92) - Rens. : 01 30 94 51 64 theatredesoiseaux@wanadoo.frwww.theatredesoiseaux.fr - Réservation 01 47 15 98 50

 

jeudi 21 novembre à 19h à 22h : Rencontre débat de la plateforme panafricaine sur la thématique des flux migratoires en Europe - Organisé à l'occasion de la semaine de la solidarité internationale - Lieu : 6 rue Adam Ledoux à Courbevoie, quartier Charras, à 200m de la Gare de Courbevoie, ou Bus 275 à partir de la Défense - Rens. 06 24 26 26 72 ppanafricaine@gmail.com

 

mercredi 27 et jeudi 28 novembre : Colloque international « Représenter la ville sud-africaine ». Avec des spécialistes, universitaires mais aussi auteurs et témoins sud-africains invités. - Lieu : Université Paris 10 Nanterre, - Rens. anglais.u-paris10.fr - Rens. www.paris-bibliotheques.org/cycles-et-thematiques/afrique-du-sud-une-nation-en-mouvement

 

Actions situées en Seine St Denis (93)

 

samedi 2 novembre à 20h30 : Concert de Mamani Keïta ( Mali, Musique Mandingue). Mamani Keïta donne à la notion d’«artiste engagée » un sens éminemment personnel : celle d’une femme qui plonge corps et âme dans la musique, voluptueusement et intensément, comme on plongerait dans les eaux à la fois accueillantes et impétueuses d’un fleuve. Dans le cadre du festival Villes des Musiques du Monde - Tarifs : 10€, 5€ - Lieu : Maison Guy Moquet, 119 Av. Paul Vaillant Couturier 93120 La Courneuve (93), M° ou tramway T1 arrêt La Courneuve 8 mai 1945 - Réservation. 01 49 92 61 61 resacentreculturel@ville-la-courneuve.fr

 

mardis 5, 12, 19, 26 novembre, 3 et 10 décembre, de 18h30 à 21h30 : Réussir son projet de solidarité internationale - Rédiger un bilan de son projet, pour les bailleurs et pour son association (réservé aux porteurs de projets ayant déjà réalisé leur projet) - Lieu : Immeuble Diderot (anciens locaux de Via le monde), 2 bis, rue Pablo Picasso à Bobigny (93), (Accès piéton uniquement, par la dalle de la Poste ou par la rue Carnot), M° Ligne 5, Tramway ligne 1, Bus: 134, 347, 146, 148, 234, 251, 322, 303 - Inscriptions au moins 15 jours avant le début de la formation qui vous intéresse à vialemonde@cg93.fr - Rens. 01.41.60.89.17 vialemonde@cg93.fr pschaub@cg93.f www.vialemonde93.net

 

jeudi 7 novembre de 9h à 17h : Rencontres de l’entreprenariat innovant Nord et Sud organisé par l’incubateur Bond’innov. Ce séminaire sera l’occasion, pour différents acteurs (chercheurs, universitaires, bailleurs de fonds privés et publics, entrepreneurs, candidats à l’innovation, collectivités, organisations non gouvernementales), de se réunir et d’échanger sur le thème du soutien à la création d’entreprises innovantes Nord/Sud et Sud. Des tables-rondes réuniront des personnalités du monde scientifique et économique sur des thématiques liées à l’entrepreneuriat : Le financement de l’innovation et de l’entrepreneuriat ; De la recherche à l’innovation ; Les migrants, acteurs de l’entrepreneuriat Nord/Sud. - rencontre des entrepreneurs sur leurs stands - Lieu : Campus IRD France-Nord, 32 avenue Henri Varagnat à Bondy (93) - Rens. Inscription 01 48 02 56 27 contact@bondinnov.com http://www.bondinnov.com/#/les-rencontres-du-7-novembre/4387674

 

samedi 9 novembre de 14h à 22h : Portes ouverte à la coopérative Andines : Expositions, artisanat et produits alimentaires, légumes et fromage bio, musique, films, repas sur inscription…. - Lieu : Andines, 5 rue de la poterie à St Denis (93) (derrière le CCN) - M° Basilique St Denis » ou RER D, 7mn de la gare du Nord, arrêt « St Denis ») - Rens. 01 48 20 48 60 besson.michel@yahoo.frandines@nnx.com www.andines.com

 

mardi 12 novembre et lundi 18 novembre de 9h30 à 16h30 : formation GRDR sur les thématiques « Communication interculturelle et vieillissement » pour améliorer les pratiques des intervenants sociaux auprès des migrants âgés et des femmes originaires de l’Afrique Subsaharienne - Ces formations ambitionnent de permettre à ces acteurs de mieux prendre en compte les déterminants sociaux et culturels dans leurs pratiques d’accompagnement en apportant des références théoriques et des outils pour une pratique efficace, articulant les dimensions sociales et culturelles de la communication. - les cycles de formation sont conçus sous forme de modules de 2 jours – ils peuvent également être organisés à la demande des partenaires (au moins 12 participants), selon les besoins et calendriers définis conjointement.- Lieu : GRDR, 66/72, rue Marceau à Montreuil (93), M° ligne 9: Robespierre - Rens. Inscription obligatoire 01 48 57 75 80 romuald.dzomonkongo@grdr.org, ou samba.yatera@grdr.org www.grdr.org

 

mercredis 13 et 27 novembre de 18h30 à 21h30 : Rédiger un bilan de son action - Monter un projet international avec un public jeune (notamment pour les structures d’accompagnement de jeunes et aux Services Municipaux Jeunesse) - Lieu : Immeuble Diderot (anciens locaux de Via le monde), 2 bis, rue Pablo Picasso à Bobigny (93), (Accès piéton uniquement, par la dalle de la Poste ou par la rue Carnot), M° Ligne 5, Tramway ligne 1, Bus: 134, 347, 146, 148, 234, 251, 322, 303 - Inscriptions au moins 15 jours avant le début de la formation qui vous intéresse à vialemonde@cg93.fr - Rens. 01.41.60.89.17 vialemonde@cg93.fr pschaub@cg93.f www.vialemonde93.net

 

du samedi 16 au 24 novembre : Semaine de la Solidarité internationale dans le 93 : Les informations concernant la Semaine de la Solidarité internationale sont accessibles au Centre ressource Via le monde 7-11 rue Erik Satie 93000 BOBIGNY : 01 41 60 89 17 vialemondessi@gmail.com - ainsi plus de 120 manifestations attendues en Seine-Saint-Denis… vialemonde@cg93.fr www.vialemonde93.net

 

samedi 16 novembre à 20h30 : Chansons de l'exil : Avec des textes soignés et des musiques épurées, Ali Amran est un artiste perfectionniste et exigeant. Ses chansons à textes souvent mélancoliques contrastent avec un rythme à l’univers folk rock et véhiculent l’âme d’une culture trop souvent bâillonnée. Le troisième opus d’Ali Amran, Akk’i D Amur renforce l’idée que celui-ci est un mélodiste hors pair, qui sait s’entourer de musiciens de haut niveau comme Chris Birkett, Jean-Philippe Rykiel ou Abdénour Djamai, tous présents dans l’album. Ali Amran - Dans le cadre du festival Africolor - Tarif : 14€, 10€; 7€ - Lieu : Sevran, salle des fetes , 9 rue Gabriel Péri à Sevran (93), RER B depuis Paris : Gare Sevran-Livry, prendre la direction Mitry-Claye, Gare Sevran-Beaudottes, prendre la direction Aéroport Charles-de-Gaulle - Réservations : 01.49.36.51.75

 

mardi 19, mercredi 20 et jeudi 28 novembre de 9h30 à 17h : Préparer une action de sensibilisation à la citoyenneté internationale pour la Semaine de la Solidarité Internationale 2013 - Lieu : Immeuble Diderot (anciens locaux de Via le monde), 2 bis, rue Pablo Picasso à Bobigny (93), (Accès piéton uniquement, par la dalle de la Poste ou par la rue Carnot), M° Ligne 5, Tramway ligne 1, Bus: 134, 347, 146, 148, 234, 251, 322, 303 - Inscriptions au moins 15 jours avant le début de la formation qui vous intéresse à vialemonde@cg93.fr - Rens. 01.41.60.89.17 vialemonde@cg93.fr pschaub@cg93.f www.vialemonde93.net

 

mardi 19 novembre à 20h : Ahamada Smis, les chants de la mer - Jeune public - Le grand livre des contes et berceuses des Comores s’ouvre avec l’histoire de Twamaya où le voyage dans ces îles lointaines nous éveille sur le monde des invisibles qui sous-tendent cette création. - Dans le cadre du festival Africolor - Lieu : Espace Paul Eluard, place Marcel Pointet à Stains - Rens. 01 49 71 82 25 http://www.africolor.com/

 

samedi 23 novembre à 20h : Concert Coqueiros de Olinda - Au rythme des atabaques, tambours jouant le samba de roda, c’est une invitation à entrer dans la « roda », cercle de danses des esclaves à l’ombre des dimanches après-midi du Nordeste brésilien. Esquina do Samba Les voix de Rodrigo de Oliveira et de Matthieu Doat alias « Tom Cruz » nous entrainent au cœur des racines de la samba, des années 50 à nos jours dans une ambiance festive et populaire - Dans le cadre du festival Africolor - Tarif 8.20€, 6.70€ - Lieu : Espace Marcel Chauzy, Esplanade Claude Fuzier à Bondy (93) - Rens. 01 48 50 54 68 http://www.africolor.com/

 

jeudi 28 novembre à 20h : Projection de LoveMEATender - Il est urgent de nourrir le monde autrement: L’agro-industrie et ses impacts sanitaires et environnementaux font aujourd’hui débat d’un bout… - Organisateur : Via le monde - Conseil général de la Seine-Saint-Denis - Dans le cadre du Festival "Alimenterre" - Lieu : Le Ciné 104, 104, avenue Jean-Lolive à Pantin (93) - Rens. 01 44 83 88 50 info@cfsi.asso.frwww.cfsi.asso.fr www.festival-alimenterre.org

 

vendredi 29 novembre à 20h30 : Concert de Simon Winse Les cordes d’Europe et d’Afrique s’emmêlent, donnant naissance à un répertoire musical empreint de jazz fusion, de blues et de musique traditionnelle burkinabé. – Artiste en résidence - Dans le cadre du festival Africolor -Tarif 5€ - Lieu : Mille Club, 29 rue Guynemer, Le Bourget (93) - Rens. 01 48 38 50 14 http://www.africolor.com/

 

vendredi 29 novembre à 21h : Concert Batida Batida, un savant cocktail de « rythme », qui mélange kuduro, sample des musiques traditionnelles d’Angola des 70’s et l’électro-dance sur fond de vidjing. - Dans le cadre du festival Africolor - Tarif 14€ - Lieu : Nouveau Théâtre de Montreuil, Grande salle Jean-Pierre Vernant, 10 place Jean Jaurès à Montreuil (93) - Rens. 01 48 70 48 90 http://www.africolor.com/

 

samedi 30 novembre à 20h30 : Concert El Fassa Percussions viriles, instruments acoustiques, cette musique s’inspire d’immersions africaines et caribéennes. Un mélange d’afro beats, électro aux allures de transe. Mixatac Essaouira Une rencontre entre les rythmes gnawas d’Hassan Boussou, l’électro-rock de Nasser et le rappeur marocain Komy : du son made in Méditerranée. - Dans le cadre du festival Africolor - Tarif 10€ - Lieu : Esp aces V • Av. Jean Fourgeaud à Villepinte - Rens. 01 55 85 96 10 http://www.africolor.com/

 

Actions situées dans le Val de Marne (94)

 

jusqu'au 3 décembre, mardi, jeudi, vendredi et samedi de 15h30 à 18h30 : Expo photos sur la Marche de 1983 : Exposition Photographique sur la Marche pour l'égalité et contre le racisme de 1983 : Le 15 octobre 1983, 17 personnes dont la plupart sont des jeunes de Lyon, de la cité des Minguettes, quittent Marseille et traversent la France pour réclamer le droit à l'égalité dénonçant le racisme ambiant et les exactions policières à l'égard des jeunes issus de l'immigration. De ville en ville, ils font des émules et se retrouvent à une quarantaine de Marcheurs-permanents. Arrivés à Paris, le 3 décembre 83, c'est la consécration. Cent mille personnes sont là pour les accueillir et François Mitterrand, Président de la République leur ouvre les portes de l'Elysée. C'est l'entrée dans la citoyenneté des jeunes issus de l'immigration et la fin du mythe du « retour ». Ces photos retracent leur périple. - Lieu : Galerie Buzz'art c/CSPPS, 43 rue Maurice Deménitroux à Créteil (94), M° Créteil Universités, sortie Conservatoire - Rens. ffrsalih@aol.com http://www.ville-creteil.fr/exposition-photographique

 

vendredi 8 novembre de 18h à 21h : Rencontre débat sur la crise humanitaire en Centrafrique : Quels sont les facteurs qui ont conduits à cette crise, Chronologie de la politique Centrafricaine, Situation économique, perspective pour une sortie de crise, Quelle architecture pour une Centrafrique nouvelle avec Victor Bissengue, écrivain et webmaster du Site Internet « Sangonet »; Fred Loubangui, économiste, Jean Pierre Mara, acteur politique, Marie-Christine Bissiengue, Présidente de Parfum d’Afrique France et Niamoye DIARRA - Lieu : Forum social d'Ivry, 10 Promené Gérard Philippe à Ivry-sur-Seine (94), Ligne 7. Direction Mairie-D’Ivry, terminus. - Rens. : 06 73 61 59 82 parfumdafriquefrance@gmail.com

 

dimanche 10 novembre de 15h à 18h30 Bal afro Bamako : Chants et Danses du Mali - Autour d'un répertoire de danses du Mali, Manu Sissoko vous initiera au lien danse-musique avec pédagogie, énergie et finesse dans une ambiance digne des meilleures cérémonies bamakoises !" PAF : 30€ avec adhésion, 35€ sans adhésion - Lieu : Salle Marcel Paul , 17 rue Raymond Lefèvre à Gentilly (94) - Rens. http://manusissoko.jimdo.com - Inscription pazonote@yahoo.fr www.pazonote.com

 

mardi 19 novembre à 19h : Conférence sur la crise humanitaire en Centrafrique : Quels sont les facteurs qui ont conduits cette crise, Chronologie de la politique Centrafricaine, situation économique, perspective pour une sortie de crise, Quelle architecture pour une Centrafrique nouvelle avec Victor Bissengue, écrivain et webmaster du Site Internet « Sangonet »; Jean Pierre Mara, acteur politique, Niamoye Diarra, journaliste Consultante Inter Culturel, Conseillère Municipale du 13ème arrondissement de Paris, Marie-Christine Bissengue, Présidente de Parfum d’Afrique France et Cécile Nzouango, Présidente de l’Association Maboko oko - Suivis d’un Repas, Participation libre en soutiens à notre action, envoie des collectes - Lieu : Salle Robespierre à Ivry-sur-Seine (94) Ligne 7. Direction Mairie-d’Ivry, terminus - Rens. : 06 73 61 59 82 parfumdafriquefrance@gmail.com - Réservation avant le 8 novembre 2013

 

samedi 23 novembre de 10h à 17h : Atelier de cuisine et Repas Guinéen en soutien à nos actions au quartier Monmousseau. puis à 14h : Atelier de jeux « Découverte de la Solidarité » par l’Association « Le Choix d’Etre Humain » Appel aux dons : à déposer sur rdv à la Permanence de Parfum d’Afrique France les mercredis de 14h à 17h au Forum social d'Ivry, 10 Promené Gérard Philippe à Ivry-sur-Seine (94) : . Médicaments, Produits alimentaires, Fournitures scolaires, Vêtements propres (dans l’urgence couvertures, tentes, lampes torches, Sacs de couchage, imperméables, lits picots, matelas gonflants, jouets...) - Lieu : Maison de la Citoyenneté du Plateau Monmousseau. 17, rue Gaston Monmousseau à Ivry sur Seine (94) - Rens. : 06 73 61 59 82 parfumdafriquefrance@gmail.com - Reservation avant le 8 novembre 2013

 

Petites annonces

 

Le CADTM Comité pour l'Annulation de la Dette du Tiers Monde et Les Mutins de Pangée présentent "Afrique 50 + De sable et de sang" (LIVRE-DVD). Dans ce livre (134 pages), René Vautier, raconte l’aventure extraordinaire du tournage d’Afrique 50 (que vous pouvez voir dans le DVD), images tournées clandestinement en 1949 à travers l’Afrique coloniale et sauvées in extremis de la censure. Le pamphlet époustouflant d’un jeune cinéaste de 20 ans qui voulait témoigner de ce qu’il voyait en Afrique et qui le révoltait. Ce récit trépidant et plein d’humour, accompagné de textes d’historiens et d’illustrations de l’époque, nous amène à réfléchir sur l’héritage et la colonisation et le rôle fondamental du cinéma. Le DVD contient les films AFRIQUE 50 (de René Vautier, 17mn - N&B - 1950) et DE SABLE ET DE SANG (de Michel Le Thomas avec René Vautier, 27mn - Couleurs - 2012), ainsi que des compléments (144 mn de vidéo au total) : Entretien avec René Vautier « Le point de vue renforcé », avec Nicole Brenez, historienne du cinéma, avec Alain Ruscio, historien de la colonisation, avec Damien Millet, porte-parole du CADTM France et la Sarkolonisation : détournement du discours de Sarkozy à Dakar http://www.cadtm.org/Livres-brochures et commandez-les en ligne!

 

Offre de Partenariat pour Notre Espace Stand au Salon du livre de Paris 2014 : SINIG , maison d'édition de création à compte d'édition et de productions de contenus numérique aura son stand au Salon du Livre de Paris en mars 2014.Comme l'année dernière nous lançons une offre de partenariat pour le partage du stand à l'attention des auteurs-auto édités, aux petites maisons d'éditions et aux Associations.. - Info : 12 rue Robert Legros à Montreuil (93) - tél 01 49 88 10 41 ou 06 12 21 87 36 www.sinig.fr


Angers découvre, du 5 au 9 novembre, le théâtre de Tchikaya U Tam'si

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Depuis de nombreuses années je travaille avec des lycéens "apprentis"  comédiens  en France… et depuis quelques années il en est de même  au Congo Brazzaville…

Un pont, grâce à la mise en place d’un jumelage,  s’est établi entre ces deux espaces de création…

A plusieurs reprises de jeunes français m’ont accompagné à Pointe-Noire. 6 spectacles y ont été créés et joués  mais seulement une seule fois 4 jeunes congolais ont pu nous rejoindre  en France. Problèmes de financement, problèmes administratifs…

Cette année l’objectif était de faire venir 12 jeunes Congolais à Angers pour y créer un spectacle.

Après de nombreuses péripéties et des visas obtenus seulement 4 heures avant de prendre l’avion, onze d’entre eux sont enfin arrivés…Et je vous propose de venir découvrir le résultat de cette aventure qui va bien au-delà de la seule production théâtrale.

A bientôt, j’espère.

JacK Percher

 

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d'après un texte de  Tchicaya U Tam'si. Libre adaptation et mise ne scène de JacK Percher

 

Tchicaya U Tam’si (1931-1988), grand poète congolais, né à Pointe-Noire, a écrit trois pièces de théâtre, dont ce Destin glorieux du Maréchal Nnikon Nniku  en 1979.

Il y brocarde allègrement les abus du pouvoir et les pantalonnades des militaires et autres politicards qui exploitent les populations africaines (et pas seulement !).

Leur cruauté est ici présentée comme une farce dérisoire et  tellement énorme qu’elle ne devrait pas être vraisemblable… et pourtant !

 

Avec un sens de l’observation certain, un humour décapant, il décrit des situations  qu’on peut reconnaître, hélas, dans bien des pays africains encore aujourd’hui…

Lundi 4, Mardi 5, Jeudi 7, Vendredi 8

et Samedi 9 Novembre 2013

à 20 h 30 dans la Salle Capitulaire du Lycée Joachim du Bellay à Angers

Durée : 1 h 30.

Réservations possibles au 02 41 47 05 46 en laissant vos coordonnées sur le répondeur.

 

Tarifs : 4,00 € pour scolaires et étudiants / 8,00 € pour les autres

 

Doing Business : 1 - Pigasse : 0

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Maître Pigasse dans son éditorial de ce jour des "Dépêches de Brazzaville" (alias le Tamtam de Mpila) déverse son éloge quotidien :
"Il ne fait plus de doute pour personne que le Congo devient, au fil des mois et des années, l’un des pays africains émergents dont les investisseurs observent l’évolution avec une grande attention. Figurant parmi les pays les plus stables, les plus sécurisés, donc les plus sûrs du continent, il constitue une plate forme idéale pour qui s’intéresse au Bassin du Congo, cet espace géographique vaste comme trois fois l’Europe qui sera à coup sûr demain l’un des marchés les plus attractifs du tiers-monde."
 
Fatalité éditoriale, dans le même numéro du même journal, au bas droite de la page suivante pour être précis, on peut lire le titre suivant :

RAPPORT DOING BUSINESS 2014,

Le Congo reste parmi les derniers

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Le chapeau qui suit en rajoute une couche :
"La République du Congo occupe actuellement la 185e place sur 189 selon ce rapport, avec l’ajout de 4 autres pays. L’an dernier, le Congo était 183e sur 185 pays."

Comme pris de remords, ou de crainte que JPP ne le congédie, le journaliste tempère en clôturant son header par la phrase suivante :
"Quelques avancées ont toutefois été enregistrées."

Nous ne pousserons pas plus loin cette analyse éditoriale tant la suite de chacun des deux papiers est affligeante, mais nous irons consulter le cas de notre pays bien aimé dans le rapport Doing Business.

Congo (République du)

 

Retenons que nous sommes plus mal classés que l’Erythrée et la RDC, mais mieux que le Sud Soudan, la Lybie, la RCA et le Tchad qui bon dernier ferme la marche. [Global ranking ] On y voit que le Gabon est 163ème, que la Guinée équatoriale se classe 166ème alors que le Cameroun est à la 168ème place.

Pas de doute l'Afrique centrale est bien peu attractive pour les investisseurs, a contrario de ce que nous dit le griot blanc...

 

JPP, qui ne parviendrait pas à placer une pige dans « La Gazette de Plougastel », ne ferait pas davantage un acceptable attaché de presse d’un sous-préfet de la Creuse. En revanche, sous les tropiques, sans avoir à se fatiguer à s’enquérir de réalités dont il n’a que faire, il lui suffit, tel le Renard de la fable, de flatter le Corbeau pour s’emparer d'une part de fromage.

Bravo très cher collègue, poursuivez, ça nous donne du grain à moudre.
Une chose est certaine, vous êtes aux antipodes des journalistes qui prennent, les imbéciles, le risque de se faire flinguer pour nous faire connaître une vérité.

Ya Sanza

Accroc à la concurence dans les télécoms mobiles : Warid tombe dans la panse d'Airtel

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Le Congo n'a plus que 3 opérateurs de téléphonie mobile depuis qu'Airtel s'est offert Warid Congo pour une modique somme oscilant entre 70 et 80 millions d'US$. Airtel par cette opération repasse en tête des opérateurs congolais coiffant MTN. 

Le consomateur va-t-il y gagner ?
Rien n'est moins sûr.
Il est plus que probable que ce regroupement va motiver MTN dans l'acquisition du Petit Poucet Azur afin de tenter de reprendre le leadership. Il va sans dire qu'une telle bipolarisation ne pourra que favoriser les ententes tacites et relever les tarifs à la hausse quand l'arrivée des deux "petits" les avaient tirés vers le bas au grand bénéfice des usagers.
Il est vrai aussi que la place laissée libre peut pousser d'autres majors comme Vodaphone ou Orange à se positionner sur le marché congolais pour peu qu'il y ait mutualisation des infrastructures. Dans le contexte actuel, ce n'est pas pour demain.

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(Agence Ecofin) - Bharti Airtel a annoncé, le 5 novembre, avoir conclu un accord avec le groupe émirati Warid pour l'acquisition de Warid Congo. Selon le journal indien Business Standard, le montant de la transaction se situe entre 70 et 80 millions de dollars. 

L’opération, qui reste soumise à l'approbation des autorités de régulation, doit permettre  à Bharti Airtel de devenir le premier opérateur mobile du Congo-Brazzaville devant MTN, avec 2,6 millions de clients. Actuellement deuxième opérateur du Congo-Brazzaville avec 1,6 millions de clients, Airtel va, en effet, récupérer  un million de clients de Warid, numéro trois du marché.

Il s’agit de la deuxième acquisition de l'année pour Airtel auprès du groupe contrôlé par le prince héritier de la famille royale d'Abu Dhabi. En avril dernier, Bharti Airtel avait repris Warid Uganda.

«Cette acquisition est en ligne avec notre stratégie affichée de renforcer nos positions via des acquisitions dans les pays dans lesquels nous sommes présents», a souligné Manoj Kohli, directeur général et CEO de Bharti Airtel.  Et d’ajouter : « Comme en Ouganda, cette fusion apportera davantage de valeur aux clients sous la forme de tarifs data et roaming plus accessibles, de produits innovants, d'Airtel Money, de réseaux de classe mondiale et de soin accordé à la relation clients».

Leader en Inde, Airtel est présent dans 17 pays africains, avec 66 millions de clients et plus de 5000 employés.

 Inquétudes pour les employés de Warid

Braconnage : Sur le vif à Diosso

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 Photo prise vers 11h le 11 novembre 2013 à proximité de Diosso ( 20km de Pointe-Noire)

Immatriculation du véhicule : 025 FP 6

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Fibre optique ou serpent de mer ? Encore deux années d’impatience...

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 Un lecteur assidu nous signale que son affichage change l’illustration de cet article en une photo porno. Nous n'en sommes nullement responsables. Notre illustration montre une gravure du serpent de mer et rien dans l’analyse des codes de la publication ne mous permet de comprendre ce qui se passe. Nous nous en excusons auprès de nos lecteurs s’ils sont face au même désagrément.

Alors qu’un article paru dans lafibreoptique.com titrait le 12/11/13, Le Congo goûte aux vertus de la fibre et nous annonçait (extraits) :

Qui l'eut cru ? Alors que bon nombre de régions françaises n'ont toujours pas accès au très haut débit, le Congo, pays pourtant peu (re)connu jusqu'à présent pour son avant-gardisme technologique, propose désormais la fibre optique à ses habitants…/…

…/…De Pointe-Noire à Brazzaville, les abonnés de MTN (opérateur membre du consortium WACS) peuvent dès à présent surfer en THD, grâce à la convergence de plusieurs technologies : fibre optique, 3G, Wimax, faisceaux hertziens, Edge...). Muni d'un forfait mensuel, tout abonné à MTN bénéficie d'une adresse IP publique et d'une connexion illimitée…/…

D’évidence la peau de l’ours était vendue bien avant que l’animal ne soit tué. Un papier publié le 14/11/13 dans « Les dépêches de Brazzaville » vient contredire ces propos et nous demande de patienter deux ans de plus.

Nous nous abstiendrons de questionner le ministre en charge, Thierry Moungalla, sur ce sujet qui soit lui échappe entièrement, soit auquel il ne répond que par des promesses qu'il est incapable de tenir.

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FIBRE OPTIQUE : La construction des infrastructures se présente comme un challenge

Le projet réseau de télécommunication haut débit d’Afrique centrale (central African Backbone-CAB-) du Congo a terminé toutes les assistances techniques et est en phase de démarrer les travaux de la fibre optique malgré les obstacles qui se présentent.

Le coordonnateur du projet, Luc Missidimbazi, a confirmé l’information le 12 novembre au cours d’une séance de restitution de la mission du projet à Ouesso couplée à la réunion technique d’interconnexion des réseaux à fibre optique entre le Cameroun et le Congo, qui s’est tenue à Ntam, au Cameroun.

Après la visite des lieux, le travail est immense même si l’échéance est prévue dans deux ans, a-t-il souligné. « Au jour d’aujourd’hui, le projet est faisable. L’enjeu ou le défi, c’est de pouvoir trouver le juste milieu, c’est-à-dire s’accorder avec les acteurs clefs pour exécuter convenablement ledit projet », a-t-il précisé, et d’ajouter : « Ce qui nous bloque, c’est la cohérence, la synergie avec les Grands Travaux. » Selon les animateurs du projet, il était important, avant de poser la première pierre, d’en finir avec le cadre réglementaire et institutionnel : c’est ce qui a été fait durant cette année. Par ailleurs, avant de lancer l’appel d’offres, il fallait s’assurer que celui-ci répondait à un besoin.

Au cours de cette visite sur le terrain, les responsables du projet ont pu se faire une idée claire de la réalité, après avoir constaté les avancées et pris connaissance de l’environnement. « Nous sommes impactés par la construction des routes, un programme de la Banque africaine de développement (BAD)-Banque mondiale et BAD-Grands Travaux pour l’aménagement des voies, surtout pour la partie nord. Il nous reste à construire le réseau et avant de le faire, il faut que l’on s’organise de telle sorte que nous soyons en phase avec les autres acteurs. Nous y travaillons », a expliqué Luc Missidimbazi.

Du compte rendu de la réunion de Ntam, on retient trois faits principaux. Le premier est d’ordre national : les efforts consentis par chacune des parties concernées par le développement des infrastructures, à savoir la délégation générale des Grands travaux, le projet CAB et les autorités locales, sont positifs. Les travaux routiers sont en cours, et il reste à harmoniser les agendas.

Le deuxième fait est lié à l’international : la construction des infrastructures passives et actives en prenant en compte les aspects juridiques est en discussion avec le Cameroun. Reste à réfléchir sur tout ce qui touche aux différentes phases, à l’harmonisation, au déploiement et au financement.« Il existe plusieurs financements sur l’ensemble de ces infrastructures, c’est pourquoi nous avons prévu d’organiser, en février 2014, une réunion bilatérale avec les Affaires étrangères, les autorités locales, les acteurs clefs du secteur de la télécommunication et des infrastructures des travaux publics pour harmoniser le type d’interconnexion », a rappelé le coordonnateur du projet CAB au Congo.

Quant au troisième point, il concerne le challenge de faire en sorte que le projet s’exécute dans de bonnes conditions, avec une coordination mutualisée. Pour ce faire, un tableau de bord commun pour l’ensemble des infrastructures est évoqué  ainsi que la mutualisation des ressources pour lever les fonds nécessaires qui manquent sur certains tronçons.

Un autre point abordé a porté sur l’évolution du projet relatif au point d’atterrissement à fibre optique WACS dans chacun des pays et du partage des expériences.

Nancy France Loutoumba

©Les Dépêches de Brazzaville 14/11/2013

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